Eli ROTH livre un film de vengeance familiale basique avec un Bruce WILLIS de retour en grande forme. C'est divertissant malgré le manque total de surprise au niveau du scénario. "Death Wish" remplit son cahier des charges avec du rythme et de l'action !
La dégringolade se poursuit pour Bruce Willis, plus monolithe que jamais dans ce remake plus que douteux que ne l’était déjà « le Justicier dans la Ville » original.
Un thriller bien moins sanglant qu'attendu. Eli Roth ne brille pas par sa mise en scène, semblant aussi paumé que son personnage. Une star sans conviction et un manque d'authenticité, difficile hélas de convaincre. Un projet sans âme.
Remake d'un vigilante avec un Charles Branson veillissant. Bruce Willis essaye ou pas de donner du mordant a un film ou il joue comme dans la plupart de ces films, sa veut dire en roue libre.Malgrer une réalisation au poil et Kirby Bliss Blanton lors de c'est rare apparition, le film ne se sauve pas de l'ennui
Vulgaire et bête, doté d'une réalisation tout aussi inutile et interprété par un Bruce Willis particulièrement paresseux, ce remake du classique avec Charles Bronson fait plus pensé aux derniers opus de la saga produits par la Cannon qu'au premier opus. Et ce final... Totalement dispensable
Attaquer : Jamais ! Protéger : Toujours ! – Pourquoi n'importe qui aurait-il le droit de devenir un criminel ?
« Ne faites pas aux autres ce que vous ne voulez pas qu'on vous fasse. » a enseigné Confucius. Une « règle d'or » qui est devenue la base des sociétés humaines.
Comme Eli Roth a répondu aux critiques : « Le film parle de la famille et de la protection de votre famille et ce que vous faites lorsque vous ne pouvez pas obtenir justice pour votre famille – Ce n'est pas pro-armes à feu ! » « Death Wish » a un message essentiel : pourquoi, au nom de la « démocratie », de la « liberté » et des « droits de l'homme » devrait-on avoir le droit de devenir un criminel !? La santé est la première de toutes les libertés et le droit à la vie est le premier de tous les droits humains.
Dans cette nouvelle adaptation du roman de Brian Garfield de 1972, Paul Kersey est un médecin qui a consacré sa vie à sauver des vies, mais quand sa fille est violée et sa femme assassinée, il en a assez de la forme de fascisme qui protège les agresseurs et accuse les victimes.
Lorsque des créatures féroces violent et tuent des victimes innocentes dans des souffrances atroces, lorsqu'elles aiment commettre des crimes aussi horribles et prennent un plaisir intense à le faire, lorsqu'une société et sa « justice » acceptent ce fait en ne condamnant pas fermement ces actes horribles – qu'il s'agisse d'un question de volonté, de capacité ou de corruption – Paul est un humaniste, qui protège le plus fondamental de tous les droits humains : le droit à la vie !
Que méritent les esprits criminels qui jouissent en faisant souffrir atrocement les autres ? Eh bien, la réponse de Gardiens, de Justiciers, tels que « Cobra », « L’Inspecteur Harry », « Un Justicier dans la ville » et de tout autre Protecteur à l’esprit chevalier est de loin la plus juste et la plus efficace afin de garantir que le respect de soi et des autres prévale :spoiler: « Vous avez juste fait ce que tout homme ferait pour protéger sa famille ! » conclut le détective Kevin Raines.
PS A lire : Quotes And Leadership Lessons From Death Wish (jmlalonde.com)
Du pur Bruce Willis dans ce film, ces rôles la lui colle à la peur et lui va encore une nouvelle fois très bien. Un scénario royale et parfait en font un redoutable tueur et un justicier solitaire.
Ça fait du bien de revoir Bruce Willis, et encore plus dans un film crédible où les personnages sont très authentiques et pas seulement un tas de muscles. Il passe bien en tout cas, je conseille!!
Je ne vais pas le faire long. Le SEUL et unique point positif pour ce remake foiré, comparé à l'original, est que ICI, les méchants ne sont nullement TOUS Blacks, Latinos ou Portoricains, comme c'était le cas dans le film de Michael Winner. Car voir un film où le "gentil" est un bon Américain, Blanc, en qui la plupart des gens peuvent se reconnaître, et que en face de lui, les méchants sont TOUS issus de la "diversité", avouez que si ça,ce n'est pas une autoroute ouverte à la stigmatisation systématique...C'est à dire que les méchants de la terre sont tous, Blacks.... Ici, dans le film de Elie Roth, RIEN de tout ça. Les bad guys sont la plupart Blancs, donc... Le seul problème, c'est que ça reste un pur bidon de lessive bien Hollywoodien, que le pauvre Joe Carnahan - qui devait au départ le réaliser - à du se contenter seulement d'écrire et de fermer sa gueule face aux producteurs obsédés par le compteur du nombre d'entrées. Bonjour le formatage... Non, c'est un film grand public, en plus très certainement subventionné par la NRA la ligue nationale des armes à feu. car le sujet déborde largement de problème de la simple auto-défense.
Le film de l'année tout simplement et pourquoi? l'adrénaline de ce film est vraiment maîtrisée de par le jeux des acteurs, le choix des acteurs mais alors le scénario qui est une claque. j'ai vraiment adorer l'histoire de ce film car il dépasse tout ce que j'ai pu imaginer car il propose quelque chose de super. La vengeance d'un père, le retournement de situation complètement inattendue, la patience du père par rapport à son histoire est extraordinaire et qui amène justement notre curiosité à patienter pour découvrir ce qu'il se passe. Willis cartonne dans un rôle inattendu et qui est un vrai régale très heureux se posséder ce film en BluRay.
Après 4 ans à faire uniquement des DTV, Bruce Willis est de retour en salles dans un rôle qui lui ressemble même si dans un premier temps ce n'est pas le cas puisqu'il incarne un chirurgien bien sous tout rapport qui va uniquement se transformer en justicier à la suite d'un drame qui l'oblige à prendre les armes. Le message est un peu bizarre puisque tout d'abord, Eli Roth insiste sur les dégâts des armes avec de nombreux chiffres à la clé puis il laisse sous-entendre qu'agir est la seule solution et qu'être armé est l'unique façon de pouvoir se protéger. Après, ça reste un revenge movie donc il faut préparer le terrain d'une façon ou d'une autre et cela sert la psychologie du personnage, mais bon... "Death Wish" qui est le remake du film avec Charles Bronson est un divertissement sympathique. S'il n'était pas sorti en salles, cela n'aurait pas été une honte non plus. On passe un moment agréable en voyant Bruce Willis dégommer des méchants, mais ça reste très classique et prévisible. Les scènes d'action sont divertissantes, mais ça manque d'ambition au niveau du récit puis surtout ce n'est pas très subtil même pour un film d'Eli Roth. En somme, c'est pas mal, mais pas inoubliable.
Je garde un souvenir assez vague d' « Un justicier dans la ville », celui d'un « vigilante movie » efficace, forcément un peu borderline mais suffisamment bien fait pour que cela passe à peu près. Voici la version 2018, modernisée pour l'occasion, sans apporter quoi que ce soit de vraiment nouveau tant le résultat sent la série B de bout en bout. À ce titre, il est amusant de voir que si Eli Roth essaie de ne pas l'être totalement, ce remake est sans doute encore plus réactionnaire que le premier, montrant un héros finissant par prendre plaisir au sadisme à travers quelques mises à mort des plus violentes, où ceux prenant parti contre la vengeance personnelle sont souvent reléguées au second plan ou présentés comme des idéalistes déconnectés. La transformation du gentil héros en bourreau urbain est d'ailleurs peu crédible, passant quasiment d'un extrême à un autre en très peu de temps, ne montrant presque aucune évolution dans son cheminement. Dans cette perspective, il aurait d'ailleurs été intéressant de poursuivre l'idée de présenter trois criminels au comportement très différent lors de l'agression, que le réalisateur abandonne totalement par la suite. On a également le droit à une police forcément assez incompétente spoiler: (mais en définitive plus que complaisante lorsqu'il s'agit de laisser impuni l'auteur de plusieurs meurtres) , jouant beaucoup trop peu sur l'ambiguïté du protagoniste et des dérives quasi-inévitables pouvant en découler. Roth nuance toutefois (légèrement) son discours sur la fin, signant une production se regardant par ailleurs sans déplaisir et plutôt efficace dans sa logique basique, revoir Bruce Willis en tête d'affiche au cinéma après une longue liste de DTV souvent lamentables pouvant faire sourire, même si lui aussi apparaît clairement en mode mineur. Une poignée de seconds rôles potables (Vincent D'Onofrio, Dean Norris, Camila Morrone), interprétant pour autant des figures convenues dans le genre. Cela se laisse voir, le sujet se prêtant bien (hélas) à la modernisation, mais ne dépasse jamais le statut de remake passable et sans grande envergure.
Et bien moi j'ai franchement adoré. Le côté vengeur masqué et violence brute de Willis sont très bien mises en avant. Il est dommage de ne pas avoir plus de profondeur dans la psyché et l'enquête, comme si ce film n'était qu'un premier volet entrant dans un rythme de trilogie... Donc très sympa mais un peu frustrant.