Mon compte
    L'Amour dure trois ans
    Note moyenne
    2,9
    5993 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Amour dure trois ans ?

    711 critiques spectateurs

    5
    33 critiques
    4
    156 critiques
    3
    202 critiques
    2
    153 critiques
    1
    88 critiques
    0
    79 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 février 2012
    Le livre est bon... Mais le film est une belle bouze ! On s'ennuie, on ne rit pas (la salle était encore plus atterré me semble t'il), les acteurs jouent mal... Bref, tout tombe à plat.
    C'est la déception 2012 !!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 février 2012
    Bonne comédie romantique Louise Bourgoin toujours aussi naturelle et Gaspard Proust Fidel a son personnage j'ai passé un bon moment
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 février 2012
    "L'Amour dure trois ans", du nouveau dans le cinéma littéraire français ?

    Frédéric Beigbeder soulève une vague (comme à la fin du film en fait) ! Va t'il soulevé d'un coup de filet réalisateurs et interprètes ?

    Sensé montrer la dépression de l'artiste, on est attiré par la non décision qui s'incarne dans Gaspard Proust... L'Homme ne connaît le repos de l'esprit qu'entre comparses qui, entre eux, n'ont rien à prouver puisqu'il partage la même vision du monde...

    La vie en société est dure pour tout le monde : tout le monde est là, on se regarde, on s'épie... On fait quoi en ce moment, sinon attendre que la guerre nous soit déclarée ?

    Je suis un homme, j'ai été particulièrement touché par Arianne (euh pardon, Louise Bourgoin).... Franchement vulgaire, chantant "sans sentiments vivants"; fille de "la haute" paumée, elle ressemble à Cruela jusqu'au dernier plan... Louise Bourgoin va sûrement devenir plus qu'un espoir féminin ! (à suivre)...

    Dommage que le mot vague soit déjà utilisé par la nouvelle vague ! En est-il finit du réalisme ? ;=)

    A bon entendeur,
    Signé Georges Gurdjieff
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 339 abonnés 7 542 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2012
    Première réalisation pour l’écrivain Frédéric Beigbeder, après avoir confié l’un de ses romans au réalisateur Jan Kounen (99 francs - 2007), il adapte lui-même son roman éponyme (publié en 1997) où il met en scène un trentenaire, écrivain le jour et chroniqueur nocturne la nuit (le roman est en partie autobiographique). Qu’en est-il au final de ce premier essai derrière la caméra ? Frédéric Beigbeder s’en sort admirablement bien, reprenant quelques idées de grands réalisateurs ici et là (cela se ressent quelque fois dans la mise en scène), il en résulte une sympathique (et hilarante) "rom/com" qui aurait cependant gagnée a être plus corrosive. Niveau distribution, Frédéric Beigbeder en profite pour faire jouer son carnet d’adresse et convie du beau monde autour de ses rôles principaux (que ce soit pour des rôles récurrents ou de simples apparitions), ainsi on retrouve entre-autre Jonathan Lambert, Frédérique Bel, Nicolas Bedos, Valérie Lemercier, l’écrivain Marc Lévy, le compositeur Michel Legrand et bien d’autres. Et dans les rôles principaux, le tandem est incarné par l’humoriste Gaspard Proust (qui s’en sort remarquablement bien dans la peau de Beigbeder) et l’ex-miss météo de Canal (la toujours aussi radieuse) Louise Bourgoin. On prendra aussi un malin plaisir à retrouver Didier Morville (Joey Starr) dans un rôle à contre-emploi (!), entre humour et répliques grinçantes, L'Amour dure trois ans (2012) convainc sans la moindre difficulté, même si on l’aurait préféré plus culotté.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 février 2012
    Une adaptation très réussie, bien qu'assez éloignée du roman, mais dans laquelle on retrouve le style Beigbeder par son cynisme et son humour cinglant à chaque réplique. Une Louise Bourgoin pétillante et parfaite dans le rôle d'Alice. Quant à Gaspard Proust, une étonnante découverte, un acteur plein de talent.
    Thomas P
    Thomas P

    36 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 février 2012
    On va tenter de rester original dans cette critique et ne pas tomber dans les « l’ennui dure 1h30 »... Etoffons tout ça. Ma première déception concerne le jeu de Gaspard Proust et celui de Louise Bourgoin. Le premier est un très bon comique qui laisse espérer un rôle sur mesure mais…en fait non. La seconde bénéficie d’un physique adapté mais doit encore faire ses preuves au cinéma. Un propos misogyne ? Peut-être mais cela fait une parfaite transition vers le thème que Frédéric Beigbeder aborde sous forme de chapitres dans le film. L’amour dure trois ans ! Comment un best-seller a comme origine un défouloir post divorce. Pour Marc (Gaspard Proust), cette vision fluctue au gré de ses sentiments. Offensé par un échec amoureux, il défendra cette idée jusqu’à l’entêtement. La frustration masculine… Et autour de lui une pléiade d’acteurs secondaires plus convainquant notamment Frédérique Bel et Jonathan Lambert que l’amour dur comme fer irritera ce cher Marc. Enfin bref, l’amour est partout dans le film et sous toutes les formes. Mais bon, tout ça devient lourd le temps passant et se termine en fleur bleue. J’ai quand même esquissé deux ou trois sourires !
    ShiningLuffy
    ShiningLuffy

    31 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2012
    Une bonne comédie avec un Gaspard Proust excellent (je ne le connaissais pas avant), mais une Louise Bourgoin beaucoup trop effacée...dommage, dans la bande-annonce, elle parraissait aussi fraîche que dans "Adèle Blanc-Sec" il y a deux ans..., n'aimant pas vraiment Beigbeder en tant que réalisateur, je ne m'attendait vraiment pas à grand chose, mais il m'a vraiment surpris pour le coup, surtout quand on voit le résumé (Marc Marronnier, critique littéraire le jour et chroniqueur mondain la nuit, vient de divorcer d’Anne. Il est sûr à présent que l’amour ne dure que 3 ans. Il a même écrit un pamphlet pour le démontrer mais sa rencontre avec Alice va renverser toutes ses certitudes.) et le fait qu'il adapte son propre roman (souvent signe d'une histoire trop mavaise...) qui ne présager donc rien de bon...avec des second-rôles excellents (Joey Starr, Frédérique Bel...) cette comédie romantique est vraiment pas mal...plus de la moyenne voir largement...14/20.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 février 2012
    Une bouze! Pour les intellos bobo dandy a la c*** ! A éviter !
    thebat
    thebat

    20 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 février 2012
    Je n’ai pas du tout aimé ce film, dés le départ j’ai su que j’allais passer un mauvais moment.
    Le film est à l’image de son personnage principal c’est à dire prétentieux. Il essaye, en vain, de nous montrer qu’il est cool, brillant, tout en décalage mais moi j’ai trouvé ça très lourd, pas drôle du tout et rempli de situations aberrantes, la fin est d’un ridicule affligeant. Les personnages sont chiants à mourir, et je n’ai pas cru une seconde à leur histoire d’amour.
    Bref seule Louise Bourgoin par sa fraicheur sauve un peu ce film que je ne recommande pas de tout …
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 février 2012
    Une bande-annonce qui dit tout et qui enlève son intérêt - s'il en a un - au film. Certes, c'est une histoire que l'on pourrait qualifier de "gentille", qu'on est satisfait de trouver le soir en allumant la télé, mais pas à aller voir au cinéma. Il n'y a pas vraiment de trame, tout est un peu embrouillé, le jeu des acteurs est passable. Ce n'est pas du grand cinéma. Quant au sujet, malgré un "happy-ending", le film laisse peu d'espoir et de chance à l'amour, qui a priori selon le cinéaste, n'existerait pas ou du moins serait sans cesse souillé par les mensonges, l'adultère, la tromperie. Enfin, en suivant la tendance des films français contemporains, il semble qu'ici l'amour soit encore confondu avec sexe et désir, sans ajouter d'autres composantes essentielles à ce dernier. En effet, c'est à peine si les personnages principaux se parlent !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 février 2012
    Film agréable, je m'attendais à quelque chose de plus trash de la part de Beigbeder mais cela véhicule finalement un message positif de l'amour. Les acteurs sont excellents. On passe un très bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 1 février 2012
    Le mise en scène me dérange beaucoup. Gaspard Proust n'est pas bon. La seule bonne surprise est Louise Bourgoin ... Le scénario est assez pauvre. Il suffit juste de voir la B.A
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 février 2012
    Vendredi 20 janvier 2012, 19h50 au Gaumont Opéra du Boulevard des Italiens. Projection : "l’amour dure 3 ans" du réalisateur Frédéric Beigbeder.

    Signes particuliers du réalisateur : publicitaire, auteur touche à tout, membre sous ecstasy du Rotary Club, consommateur de drogues dures sur les capots de voitures, amateur de blondes, brunes, rousses mesurant plus de 1m75, barbe fournie pour cacher un menton fuyant, fréquente exclusivement la rive gauche.

    20h20, la salle pleine à craquer de ses 411 spectateurs, plonge dans le noir. En route pour "l’amour dure 3 ans", adaptation du roman paru en 1997, qui fit le buzz le temps d’un automne littéraire.

    Premier plan impeccable : interview désabusée de Charles Bukowski. Première chanson de fort bon gout : la voix mélancolique de Ellie Goulding nous berce d’un « This is your song », chipé à Elton John. Sur l’écran, Elisa Sednaoui alias Anne et Gaspard Proust alias Marc Marronnier sont mariés, marchent sur les quais de Seine, profitent de la lumière déclinante, achètent des meubles, lisent ensemble puis séparément, font l’amour ensemble puis séparément. Images de scopitone et musique langoureuse. Serait-ce la dernière pub Chloé pour le lancement de son nouveau parfum l’éphémère ?

    Eh bien non, le spectateur assiste au film « L’amour dure 3 ans ».

    Au commencement, il y a Marc Marronnier : chroniqueur mondain, désabusé de fêtes et de vacuité, qui se fait larguer par Anne. Anne, dont la douce main blanche, s’est transformée après 3 ans de vie commune, en un gant Mapa de ménagère de plus de 50 ans. Au bout du rouleau, notre héros interprété par un Gaspard Proust handicapé du sourire, décide de coucher sur papier ce triste constat amoureux. S’ensuit le nihilisme dans la débauche du trentenaire accablé d’ennui. Que c’est difficile d’être écrivain, on boit, on se vomit dessus et Beigbeder réalisateur écrit sur l’écran de ses nuits blanches ses jolie phrases toutes faites sur l’impossibilité d’aimer. Nous sommes déjà sous le charme Moet et Chandon de notre ingénieux réalisateur publicitaire. Enfin, notre héros, rencontre le temps d’un enterrement familial à Guéthary - village du pays basque nimbé de vagues géantes et de bleu Klein - celle qui va tout changer, comprenez Alice.

    Alice, sublime "Louise Bourgoin" -chapeauté d’une capeline, lèvres ourlées de cerise - plante dans le cœur de Marc son regard de nymphe libérée. Seul petit hic, Alice est la femme du cousin de Marc, joué par un "Nicolas Bedos" versus polo Lacoste et mocassins Tod’s. Marronnier, « pas très famille », va renouer avec les sentiments et tout faire pour conquérir sa belle. Malchanceux, alors qu'il vit sa love story avec Alice, son premier roman intitulé "l'amour dure trois ans" est publié par une éditrice vénéneuse, irrésistible "Valérie Lemercier". Le Qui proquo littéraire va tourner au fiasco sentimental sous les ors du Café de Flore.

    Pour ses premiers pas de réalisateur, Frédéric Beigbeder s’est donc auto-adapté. On sent qu’il aime Sautet, Woody Allen ou Billy Wilder mais a-t-il digéré son SOME LIKE IT HOT ? Habilement - parce qu'il a forcément du talent - Beigbeder réussit à insuffler des moments de grâce à son premier long métrage. J’ai aimé la référence musicale à "Michel Legrand", qui berce avec beaucoup de romantisme stylé les errances sentimentales du héros. J’ai aimé Alice-Louise Bourgoin, sorte de Bardot moderne avec le côté dur des filles d’aujourd’hui. J’ai aimé Valérie Lemercier en éditrice blasée ; Frédérique Bel-Jonathan Lambert forment un couple branché langue anglaise à mourir de rire. Anny Duperey, mère féministe revancharde et Bernard MENEZ, père frivole amateur de chinoiseries, sont de délicieux macarons forcément Pierre Hermé. Seul Joey Starr ne tire pas son épingle du jeu et n’est pas crédible dans le rôle du meilleur pote. Là ou Maiwenn avait sur tirer parti de sa vérité dans Polisse, Beigbeder le ridiculise. L’icône du rap n’est pas à sa place chez les bobos en Zadig et Voltaire.

    Cependant, quelque chose n’aboutit pas dans ce film, au même titre que dans de nombreux ouvrages de l’auteur. Tout comme ses illustres aînés, Beibgbeder veut lui aussi dépeindre son microcosme bourgeois avec piscine dans appartement de 500 m2. Mais là où Claude Sautet donne une dimension universelle à sa peinture sociale, Beigbeder ne réussit qu’à peindre son sujet sans lui donner une autre couleur. L’amour dure 3 ans n’est pas César et Rosalie ; L’amour dure trois, tel un bel objet dans une bibliothèque Conran Shop, finira par prendre la poussière. Le film ne possède pas cette petite musique qui permet à une œuvre d’art de passer le cap des années, tout simplement parce que la virtuosité n’est rien sans le cœur. L’amour dure 3 ans mais le film ne dure que 1h38 minutes.

    22 heures. Fin de la projection. Il est temps d’aller manger des sushis en méditant cette phrase de Marcel Proust : « l'art véritable n'a que faire de proclamations et s'accomplit dans le silence ». A bon entendeur, salut.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 février 2012
    Aux inconditionnels de FB (Frederic Beigbeder et non Facebook) vous retrouverez tout le charme mélancolique et narcissique d'un auteur "jet setteur artichaut-coeur". Jolies réparties, belles répliques. Casting de 1er choix, on ne s’ennuie pas, on sourit, rit et se divertit !
    Marc Marronnier, si tu me lis... ne m'appelle pas, philosophe en moi...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 février 2012
    Un grand moment de bonheur. On reste bien sur dans l'ambiance "délurée" de Begbedé, et on retrouve le cynisme caractéristique de ses créations . À ne pas manquer !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top