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Kubrock68
42 abonnés
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3,5
Publiée le 15 avril 2014
Un braqueur de baques revient après 20 ans d'absence vivre chez mère. Tout l'univers de Dupontel tient dans ce film. C'est à la fois loufoque et très inventif, absolument inracontable et parfaitement maitrisé. C'est clairement plus abouti que Bernie, mais moins original, d'où ma préférence pour son premier film, le meilleur selon moi. Après cette disgression, il faut vraiment recommander ce film, c'est une forme de comique rare et puis catherine Frot et Dupontel sont prodigieux dans leurs rôles respectifs. Une belle occasion de rire.
Très bon film ! Vannes efficaces, mise en scène très inventive notamment avec la tortue, très rythmé : on s'ennuie jamais ! Une des meilleures comédies françaises de ses dernières années !!
Étant totalement fan de l'humour d'Albert Dupontel, j'ai bien sûr adoré ce film qui me l'a fait découvrir. Un univers particulier mais vraiment drôle qui nous font aimer ce personnage. La réalisation est bien faite, on se sent dans un autre temps, une autre époque et pourtant nous sommes bien en 2009. Quelques plans sympathique. Mais la force du film tient dans un premier temps à son scénario, magnifiquement construit, une histoire haletante et des gags aussi drôle les uns que les autres. Dans un second temps, c'est Catherine Frot qui est merveilleuse dans ce film, elle joue parfaitement cette femme vieillissante pensant être touché par une malédiction. Moi en tout cas je suis fan de ce film, je le recommande car même les personnes d'apparences hermétique à l'humour, le trouvant plaisant.
Une fois encore, Albert Dupontel étonne et détonne. Mais il laisse un peu le spectateur sur sa faim. Et on ne rit pas autant qu'escompté. Sympa et assez original mais, contrairement à d'autres de ses oeuvres, pas inoubliable.
Aller voir un film avec Albert Dupontel, de plus fabriqué par ses soins est toujours une expérience unique tellement le "monsieur 1000 volts" du cinéma français n'y va pas par quatre chemins, empruntant systématiquement la voie de la radicalité tant au niveau des thèmes choisis que de leur traitement. "Le vilain" comme toujours écrit et dialogué par Dupontel lui-même ne déroge pas à la règle. Sidney Thomas dit "le vilain" est un malfrat de la pire engeance qui pourchassé par des complices qu'il a trahi, se replie chez sa mère qu'il n'a pas vue depuis vingt ans. Celle-ci quand elle comprend comment a "mal" tourné son fils se met dans la tête que si elle n'arrive pas à quitter cette terre, échappant à tous les malheurs de la vie, c'est parce qu'elle est maudite pour l'avoir mal éduqué. Il faut donc qu'elle répare l'erreur initiale en faisant expier à son rejeton devenu grand les petits crimes de sa prime enfance. A voir les procédés de la maman gâteau, jouée par une Catherine Frot au transformisme impeccable, on comprend mieux comment son mioche a viré au sûr et on se dit qu'il a été doté d-s ke départ de solides gênes pour se faire un chemin dans le grand banditisme. Avec son imagerie habituelle qui flirte tout à la fois avec le mauvais goût assumé de Mocky et l'univers enchanteur baroque de Jeunet, Dupontel se régale et nous avec lui des vilains tours que la maman joue à son fils indigne. Quelques personnages complètement déjantés se joignent à l'affrontement notamment le médecin joué par un inénarrable Nicolas Marié, partenaire récurrent du réalisateur ou Bernard Farcy vieux célibataire acariâtre dont la relation amoureuse avait été brisée par les photos compromettantes mises en circulation par l'horrible garnement . Mais le risque qui menace toujours quand on force à ce point le trait est la tentation de la surenchère qui peut rompre le fil conducteur du récit et finir faute d'inspiration par faire tomber les gags dans les affres de la répétition. Dupontel est un peu tombé dans le panneau et il a du mal à finir son film dont il ne reste que quelques bons moments jubilatoires qui à eux seuls méritent le détour. Mais quelle énérgie et quelle imagination débridée et féroce !
On devine les rebondissements dix minutes à l'avance donc on ne peut dire que l'intrigue soit d'une folle originalité. Mais par dessus cette intrigue peu originale, on peut en trouver à travers la réalisation volontiers cartoonesque et Albert Dupontel est loin de manquer d'imagination, en particulier pour ce qui est de réussir à faire s'en sortir de manière improbable son personnage à chaque fois... A côté de cela, on peut se marrer des gags de répétition, surtout ceux qui tournent du médecin qui a complètement perdu la boule, et aussi d'une Catherine Frot complètement à l'aise et qui a vraiment l'air de prendre son pied en vieille mère qui veut remettre désespérément son fils dans le droit chemin. La comédie idéale, sans prise de tête, pour passer une bonne soirée...
Le Vilain : Une comédie typique de Albert Dupontel car on reconnaît bien son univers et son délire. Vraiment, c’est très décalé et farfelu mais c’est amusant à suivre et original. Car, l’histoire et les personnages : il y en a pas deux comme eux, ils sont tous droit sortis du délire de Albert Dupontel. Déjà rien que l’histoire : c’est une mère qui ne meurt jamais car elle a toujours de la chance. Elle a beau faire ce quel veut, elle ne meurt pas. Et donc, elle va se demander pourquoi et enfaite, c’est son fils qu’elle a mal éduqué quand il était petit, car maintenant, c’est un voleur... Et il va venir se réfugié chez maman et elle va essayer de réparés ces tords. Donc vous avez vu : scénario assez surprenant mais c’est ça qui est bien chez Albert Dupontel. Et puis, ça réalisation est efficace car elle est appuyer par son style. Et il est aussi bon derrière que devant la caméra car comme acteur : il est impeccable et très marrant. Tout comme Catherine Frot qui est parfaite en veille mère : ils forment un bon duo. Donc voila, une comédie qui ne paye pas de mine mais qui se vaut être très sympathique et divertissante.
Un film jubilatoire, moins irrévérencieux que les précédents opus de Dupontel, mais qui nous offre un duel savoureux. La fin paraît un peu sèche et sage, bien loin des délires du Créateur ou d'Enfermés dehors, mais encore une fois le casting est irréprochable, et les péripéties du duo mère-fils sont par moments franchement hilarantes.
Albert Dupontel aime décidément jouer les méchants... Et ça c'est typique des vrais gentils ! Mais là n'est pas la question. Dans "Le Vilain", c'est une maman quelque peu caricaturale - interprétée par Catherine Frot - qui va déguster lorsque son ingrat de rejeton va réapparaître pour se planquer chez elle. Une fois de plus, on a droit à d'excellents seconds rôles (Pascal Marié, Bouli Lanners) et des gags bien perchés, avec toujours ce petit côté "mécanique des dominos". Bon, c'est pas toujours très crédible, mais on s'en fout ! Parce que c'est efficace. Par contre, la tortue et compagnie, c'est un peu lourd, et ça casse le rythme... Pas le meilleur Dupontel, loin s'en faut, mais ça reste très sympa...
Quel plaisir de voir la méchanceté comique au cinéma!! Excellente idée Catherine Frot en petite vieille. Cela dit, le traitement du sujet est loin d'être parfait, avec de nombreuses maladresses et finalement trop peu de réels rires; dommage.
Excellent film assez déjanté avec le talentueux Albert Dupontel en pleine forme! Les situations sont super comiques et très souvent inattendue y'a de quoi passer un super moment.