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Gregory nMeyer
1 critique
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5,0
Publiée le 30 juin 2020
Ce film est une apothéose. Déjà ce sont les plus gros seins de l’histoire du péplum qui sont montrés tout au long du film. Jayne Mansfield prête ses gros nibards à l’héroïne du film, la reine Déjanire. Et c’est une réussite complète. En effet, chaque pose, chaque attitude, chaque geste de Déjanire est une invitation. A chaque fois, Déjanire nous dit : « Regardez. mes seins ! » C’est d’ailleurs la seule chose qu’elle a à faire pendant tout le film et c’est ce qu’elle fait grâce au culot et au savoir faire inégalable de Jayne Manfield et ses obus incomparables. Il n’y a pas une seule scène du film qui montre Déjanire sans mettre d’abord en évidence sa poitrine imposante, à la limite de la décence. Seins qui débordent, tissu qui tombe, respirations profondes et provocantes, poses suggestives, gros plans, tout y passe. Même les dialogues sont une suggestion à la paire de seins phénoménale :
- Hercule : « Mais qui que tu sois, c’est toi que je veux ! » Toi, surtout tes seins ! - Hercule : « Je n’en crois pas mes yeux, ton visage, tes gestes, ton allure… » Et surtout tes seins !! - Hyppolite : « Je suis à toi ! Mon corps est à toi ! » Donc mes seins sont à toi !!!
Les femmes, toutes dominées par Déjanire et les hommes tous en admiration et plein d’envie participent à cette éloge des seins parfaits. D’ailleurs le rôle a été fait entièrement pour Jayne Mansfield, surtout pour sa poitrine en fait. Et elle remplit aussi parfaitement son rôle que les toges qu’elle porte. On ne lui demandait rien d’autre !
Amour, gloire et beauté. Pendant ce temps-là à la Cinecittà, on tourne un péplum de plus. Jolis décors de campagne et carton pâte de studio sont au rendez-vous pour ce péplum sage. Hercule perd sa femme assassiné et décide de la venger. Il arrive dans une cité et tombe amoureux de la princesse locale. Mais elle est en danger et il se retrouve chez les Amazones. Quand au méchant instigateur de complot, il complote mais il le fait bien. A l’évidence point de grosses surprises ici mais un récit assez bien mené qui se suit avec plaisir. On regrettera un Hercule (perso et acteur) un peu trop propre sur lui et finalement assez hors sujet. En revanche on aimera les intrigues royales qui tiennent le suspens (tout est relatif hein) et surtout quelques trouvailles visuelles très intéressantes comme ces hommes transformés en arbres vivants ou cette hydre peu vivace. Cerise sur le gâteau, Jayne Mansfield est assez surréaliste dans ce rôle. Sympa donc.
Une série B tout à fait regardable. Evidemment Mickey Hargitay joue comme une savate, l'Hydre de l'Herne est assez ridicule, et la dernière partie est assez niaise. En revanche Jayne Mansfield n'est pas si mal, et puis sa cohorte de jolies suivantes aux poitrines généreuses mal cachées par des tenues vaporeuses (si on observe attentivement) est tout à fait sympathique. L'histoire est simpliste, mais se suit. Le réalisateur se paie même le luxe de nous éviter spoiler: le duel final entre Hercule et le vilain méchant en faisant intervenir un cyclope assez balourd
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12 423 critiques
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2,0
Publiée le 18 février 2016
Quel est le destin d'Hercule ? Quel nouveau tourment doit-il affronter une fois de plus dans ce produit alimentaire ? Depuis toujours le sang appelle le sang et la vengeance appelle la vengeance! Tournè en Cinèmascope dans les Studios mythiques de la Cinecittà, "Gli amori di Ercole" est ce qu'on appelle un classique du pèplum! D'ailleurs, Renè Chateau prèsenta dans sa collection ce film de Carlo Ludovico Bragaglia comme l'un des plus grands pèplums de l'histoire! C'est poussè le bouchon un peu trop loin quand on sait que cette ènième aventure d'Hercule est interprètèe par Jayne Mansfield! Et c'est ce qui lui vaut sans aucun doute sa postèritè! Pour le reste, Bragaglia, fidèle à sa valeur artistique bien modeste, nous propose un Hercule ni meilleur ni moins mauvais que l'ensemble de ses pèplums, avec son tronc d'arbre en forme de bouclier, son monstre à trois têtes ou son homme singe des cavernes! Le meilleur de "Gli amori di Ercole" ? La sèquence fascinante de ces pauvres hommes transformès en arbre...