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Un visiteur
3,5
Publiée le 4 septembre 2014
Franchement jai trouvé le film pas mal, Et quel fût ma stupéfaction quand j'ai su que c'était une histoire vraie, une femme d'un altruisme incroyable surtout a notre époque,par contre sandra bullock n'a pas un jeu extraordinaire qui mérite un oscar
Un très bon film. Moi qui n'aime pas beacoup le sport, ce film a finalement trouvé à mes yeux. Hyper-touchant et divertissant à la fois, et Sandra Bullock qui est géniale dans ce rôle, elle qui était habituée aux rôles dans des films d'action (Speed, 28 jours en sursis, Collision). Dommage que la Warner Bros ait annulé la sortie française.Par contre, il vaut mieux (en fait, il FAUT) le regarder en version original sous-titrée, car le doublage québécois, le seul disponible en français, est abominable...
Film superbe qui ne tombe pas dans un pathos inutile et larmoyant. Film bouleversant et sincère. L'un des plus grands roles de Sandra Bullok, femme de caractère. Ok, on peut voir la caricature d'une famille aisée républicaine chrétienne mais ayant vécu aux States, c'est exactement cela. La caricature n'en est pas une, c'est vraiment la vérité. La plupart de ces whites wasps n'ont pas la générosité et la tolérance de cette famille hors norme, ces familles vivent dans une hypocrisie plus qu'effrayante. Cette famille est sincère. Là, c'est vraiment de l'amour et non une générosité de bonne conscience. La prof démocrate est excellente! Excellente analyse d'une soci'té capitaliste décadente mais le don, le vrai don n'est pas l'apanage des pauvres ni des riches. Voyez, regardez ce film magnifique!
Je me demandais jusqu'ici si ma déception du fait que Carey Mulligan n'ait pas reçu l'Oscar du Meilleure Actrice pour son rôle, où elle est éblouissante, dans "Une Education" était légitime ou pas. Eh ben oui, elle était légitime. Sandra Bullock avait l'air d'avoir pris beaucoup de plaisir à jouer avec énergie cette pygmalion et son plaisir est un peu communicatif mais de là à donner un Oscar pour ça, bon d'accord elle chipe la vedette à tout le monde surtout face à son peu expressif partenaire qui ne dégage pas la moindre émotion, mais faut pas déconner... Mais pour en venir au film précisément, c'est le schéma classique du rêve américain d'une histoire qui ne peut qu'arriver, et qui est arrivée d'ailleurs puisque c'est un biopic, qu'aux Etats-Unis c'est-à-dire l'histoire d'un type qui a-priori n'a rien pour lui, n'a rien pour réussir mais qui pourtant en croyant à lui et à ceux qui lui veulent du bien va atteindre des sommets. Il y a eu des milliers et milliers de films américains autour de ce type d'histoire et il est très rare qu'on s'ennuie devant. "The Blind Side" ne fait pas exception à la règle, il faudrait être hypocrite pour dire qu'on s'est ennuyé devant mais par contre le fait que le film essaye toujours de toucher la corde sensible du spectateur à chaque occasion, et le scénario essaye de les multiplier au maximum, devient parfois franchement saoulant. Allez on prend pas totalement de déplaisir tout de même à voir ce film mais on prend aussi du plaisir à l'oublier facilement. La seule chose que l'on retient vraiment c'est que Carey aurait dû l'avoir...
... et vive l'Amérique. On a là un ramassis de bons sentiments et une morale dignes des films les plus plats qui puissent exister. Une belle histoire, évidemment, mais on sent le romancé et l'édulcoré à souhait. Et puis, un Oscar pour Sandra Bullock ? M'enfin, cette actrice n'est pas si mauvaise, mais elle n'en a jamais mérité aucun.
Une leçon d'humanité magnifique avec des acteurs touchant et plein de sincérité. Dans un contexte sociale de plus en plus morose, ce film présente une réelle leçon de vie pleine d'espoir en ce que peuvent être les Hommes. Quoi de plus beau qu'un tel acte de générosité au contraire de divers dons associatif trop souvent à la fois pour se donner bonne conscience et avant tout pour bénéficier d' intérêts fiscaux... Aussi face à l'esprit individualiste de nos civilisations et aux ambitions vaniteuse, on redonne une place importante aux vraies valeurs humaines dans ce film. Tout cela est sublimé du fait que le film soit inspiré d'une histoire vraie sans quoi la perception en serait évidemment différente comme dirait certain "de la guimauve à l'Américaine". Le football est en toile de fond mais ce n'est pas du tout l'élément principal. Ce n'est donc en aucun cas adressé particulièrement aux amateurs de ce sport ni plus aux hommes qu'aux femmes. L'oscar de Sandra Bullock est remis en question alors qu'elle fait en effet une prestation remarquable et très sincère. Pour ma part, son interprétation m'a séduit et m'a ainsi permis de l'apprécier à sa juste valeur.
Genial. Il est très rare que j'en arrive à mettre 5 étoiles pour un film, mais cette note correspond à la vision positive que j'ai eu pour la prestation de Sandra Bullock et du jeune acteur qui partage avec elle le rôle principal. Sans oublier SJ, les autres membres de la famille et le profésseur de biologie. Basée d'une histoire vraie, très bien réalisé, et concluant une morale sans faille. Bravo!!
Très peu connu chez nous "The Blind Side" est tiré de la véritable histoire de Michael Oher, un champion de football américain recueilli dans sa jeunesse par une famille bourgeoise. Ce film fait partie de ceux qui malgré une dose de guimauve-cliché (sans tomber dans un mélo excessif) et de bons sentiments accrochent véritablement et donnent une réelle leçon d'humilité et d'humanité, le fait ici que ce soit tiré d'une véritable histoire renforce largement le sentiment de bien être que l'on peut ressentir pendant et après la vison de cette réalisation de John Lee Hancock. Même si l'oscar reçu par Sandra Bullock en a énervé plus d'un, et que certains plongeront volontiers dans le "encore une réalisation caricaturale pleine de miel " (ce qui n'est pas le cas car si le film est émouvant il prend fortement en compte une Amérique encore profondément marquée par la coupure entre Noirs et Blancs, en dépassant intelligemment le côté bons démocrates et mauvais républicains) The Blind Side" reste une très belle œuvre à découvrir et qui fait du bien !
The Blind Side retrace fidèlement le parcours assez incroyable de Michael Oher, devenu champion NFL avec Baltimore depuis la sortie du film. John Lee Hancock débite malheureusement son histoire dans une monotonie inversement proportionnelle à l'exceptionnelle ascension de Michael. Le film s'avère trop lisse, trop propre, le scénario se contente de nous balancer un récit téléguidé, sans trop de relief et qui joue sur les bons sentiments à gogo ce qui, au bout de plus de deux heures, finit par agacer légèrement. Ce qui manque à ce film, ce sont des émotions, et en ce sens d'autres réalisateurs, tel que Clint Eastwood par exemple ou pourquoi pas Peter Berg, auraient sans doute su élever le niveau de ce long-métrage pour lequel on ne sait trop comment Sandra Bullock a remporté l'Oscar de la meilleure actrice.
Moi j'ai aimé ce film parce que son message est super puissant et de savoir que cette femme et sa famille existent c'est bon pour le moral je côté " je suis un bon Chrétien" on peut s'en passer selon quel point de vue on regarde le film. Je suis agnostique et ça ne m'a pas dérangée plus que ça, parce que je regardais ailleurs. Les scènes de début sont difficiles et tristes d'ailleurs c'est rare que j'ai des pics de larmes au début d'un film; j'ai aimé Sandra Bullock aussi son personnage est une merveille oscar oui bon;;;; je ne sais pas trop le personnage est touchant une poêlée d'actrices auraient pu nous convaincre aussi bien qu'elle, en tout cas c'est un 3.5/5 bien mérité pour moi !
Avouons le, si ce film n'était pas tiré d'une histoire vraie, il n'aurait pas mérité plus de 2 étoiles. Mais voilà, même si c'est de la guimauve, c'est bien réel et quand même une bonne leçon de vie.
The Blind Side peut être vu de deux manières. Ou bien on apprécie ce récit inspiré d'une histoire vraie comme un roman au casting brillant à la réalisation soignée et touchante. Ou bien on l'interprète comme un long spot de propagande starifiant une famille américaine catholique idéale recueillant un orphelin misérable noir et disproportionné (minorité x2) qui légitime un système capitaliste pour lequel il n'y a rien de choquant à avoir une maison de 500m2 quand votre voisin dort dans la rue. Selon The Blind Side le salut pour les pauvres viendrait moins d'une amélioration (via plus de redistribution e.g : l'école gratuite) d'un système inégalitaire par essence que du bon vouloir de riches familles pieuses soucieuses d'assurer leur passage au paradis tant que l'acte de bonté ne leur coûte pas trop. La pluie de récompense recueillit par le film me fait pencher en faveur de la deuxième lecture.