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Louisciné85
1 critique
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0,5
Publiée le 12 juillet 2023
Cherchant un film à regarder un soir sur Netflix, je tombe sur un film primé et parlant du football américain. Curieux et enthousiasmé je lance le film "The Blind side". GROSSE ERREUR !! Ce film (ou plutôt ce téléfilm) est catastrophique. C'est un film républicain et très chrétien qui ne raconte rien, et son histoire n'existe que pour faire passer Sandra Bullock (qui offre une prestation catastrophique) pour Mère Térèsa. Sandra Bullock aura ( à la grande surprise génerale et totalement pas mérité) l' oscar de la meilleure actrice pour ce rôle. Les autres personnages sont tous inintéressants, sauf peut-être Michael, le héros pour qui on s'attache un tout petit peu. Un film à éviter à tout prix si vous ne voulez pas perdre votre temps.
"The Blind Side" est un film qui vous touche en plein cœur et vous emporte dans une histoire vraie remplie d'émotion et d'espoir. Dirigé par John Lee Hancock, ce long métrage nous livre une performance exceptionnelle de Sandra Bullock, récompensée par un Oscar pour son rôle dans ce film. Avec un scénario captivant et des personnages attachants, "The Blind Side" raconte du mieux possible une histoire vraie.
Sandra Bullock livre une performance extraordinaire dans le rôle de Leigh Anne Tuohy. Elle incarne à la perfection la force et la vulnérabilité de ce personnage, nous offrant un portrait nuancé et authentique d'une femme exceptionnelle. Son interprétation est si convaincante qu'elle nous fait oublier qu'il s'agit d'une actrice jouant un rôle, nous faisant ressentir chaque émotion avec intensité.
Le reste du casting est également brillant. Quinton Aaron, dans le rôle de Michael Oher, apporte une présence calme et puissante à l'écran. Les interactions entre Sandra Bullock et Quinton Aaron sont touchantes et leur alchimie est palpable. Le soutien de Tim McGraw en tant que Sean Tuohy, le mari de Leigh Anne, ajoute une profondeur supplémentaire à l'histoire.
Le film regorge de répliques forçant au sourire et à l’émotion. Et la simplicité du jeu des acteurs donne libre cours à un visionnage contrôlé et adéquat au biopic. L’affiche nous montre les deux personnages principaux du film, Big Mick (Quinton Aaron) doté d’un équipement de footballeur américain et Miss Touhy (Sandra Bullock). De dos. Marchant ensemble vers un objectif commun. Y arriveront-ils ? Une découverte pour moi : la chanson de Cello Song par Jose Gonzalez qui accompagne Big Mick dès les premières images centrées sur lui ; des paroles aidant à présumer de la suite de cette histoire. Le foot américain n’est qu’au second plan, voire inexistant. Dans The Blind Side, on y voit ce qu’est « Avoir un comportement chrétien ». Miss Touhy, chrétienne modérée, essaie de montrer l’exemple à suivre dans les faits. Encore faut-il que Big Mick, pupille de l’état et abandonné, accepte sa main tendue.
Un magnifique film, mettant en scène une sublime histoire vraie. C'est plein de finesse et de douceur, un film remplis de bon sentiments qui fait du bien au cœur. Sandra Bullock est parfaite.
Très belle histoire vraie. La douceur de Michael et le caractère bien trempé de Leigh Anne. Un mix parfait. Un acte qui à entièrement bouleversé plusieurs vies. S’ouvrir aux autres est la clé de ce film.
On vous prévient de suite : oui, The Blind Side est gorgé de bons sentiments...et alors ? Pourtant frileux à la bienpensance d'habitude, on a suivi cette adaptation d'une histoire vraie pleine de cœur avec l'envie de s'accorder le droit de rêver, pour une fois. Il faut dire que l'optimisme est ici le maître-mot, nous montre tout ce qu'une main tendue peut faire pour plus démuni que soi, même si l'on n'est pas Crésus comme la courageuse mère de famille qui a adopté et poussé ce jeune SDF à réaliser ses ambitions. Évidemment, on se dit que les billets verts aident grandement, mais on pense alors immédiatement à tous ceux qui ont encore davantage, et n'en lâche pas un centime pour autrui... Alors, chapeau (ou plutôt : casque) bas à cette dame. Le géant qui a peur de bousculer les autres (au football américain... Il faut le faire !), rapidement comparé à Ferdinand (le plus grand taureau de la ferme qui est aussi le plus doux, pour ceux qui n'ont pas lu ou vu l'adaptation) est attachant, surtout campé par l'imposant Quinton Aaron, en face de qui Sandra Bullock (solaire, en femme à fort caractère !) fait petite, du haut de ses 1m71 honorables (tout de même !). Puisqu'à présent, vous devez vous le demander : Quinton Aaron mesure 2m04... You're welcome. On suit donc la montée en puissance et en confiance de ce jeune homme, dont le match final ne fait aucun doute mais dont on vit tout de même chaque action comme s'il s'agissait d'un direct, et de notre joueur favori. The Blind Side est très fort pour vous faire aimer ses personnages, et on ne regrette pas d'avoir accroché notre sérieux à l'entrée du film, pour profiter de toute sa passion pour cette belle histoire inspirante. Trente-trois centimètres d'écart, et entre : beaucoup d'amour.
Histoire vraie de Michael Oher, footballer américain. Une histoire qui, même si elle n'était pas vraie, est bouleversante. Tellement de choses paraissent évidentes et ne le sont pas : une chambre et un lit à soi, des vêtements, une histoire racontée par sa maman avant de s'endormir, une photo de famille à Noël, etc. Quinton Aron, qui interprète le héros, est impressionnant par ses silences. On comprend la souffrance de son enfance, enfouie au fond de lui. Il croise sur sa route Leigh Anne Tuohy (interprétée par l'excellente Sandra Bullock), dont la générosité semble sans limite. Les deux se font confiance, s'adoptent, progressent mutuellement. Le tout sous le regard bienveillant de Sean Tuohy (interprété par Tim McGraw qui chante aussi la chanson du générique de fin !) qui fait gentiment ce que sa femme lui demande : "Dis-moi ce que tu penses, comme ça je saurai ce que je suis sensé penser". L'histoire est belle, les acteurs sont bons, les émotions sont fortes, on est heureux pour ce jeune touché par la grâce et par tant de générosité. À voir avec un paquet de mouchoirs à portée de narines.
Belle histoire vraie mise en film d'un jeune noir sans domicile qui se fait adopter par une famille blanche riche et lui permet de s'épanouir. Film très bien pour encourager la fraternité entre les races aux États-Unis sans ébranler l'ordre établi. Il prouve quand même plusieurs choses à propos des races i.e. l'environnement est un facteur important, la force de caractère peut surmonter les difficultés, etc. Point faible: le même adulte joue le noir à l'âge d'écolier, ce qui rend l'histoire peu crédible au départ.
Un feelgood moovie inspiré d'une histoire vraie dans la plus pure tradition américaine qu'il faut visionner comme un film du dimanche après-midi. Même Sandra Bullock peine à remonter le niveau. À voir quand on a pas trop envie de se creuser les méninges.
Ce film nous montre la grandeur de l'Amour. Existe-t-elle encore maintenant? Cette famille va accepter de rompre sa routine. Pour moi le football américain passe au second plan. Il faut remettre ce film dans son époque 2009 et peut-être y apprendre quelque chose.
Une très belle histoire (vraie de surcroît) qui nous permet de retrouver Sandra Bullock dans le rôle d'une bourgeoise qui veut aider son prochain. Un film positif.
Que c'est miévreux et dégoulinant de bons sentiments à outrance.
Franchement quand j'avais lu que ce film avait reçu énormément de bonnes critiques, que Bullock avait eu l'Oscar de la meilleure actrice je m'attendais vraiment à un superbe long métrage.
Et finalement j'ai vu quoi : un téléfilm du mercredi après midi, cousu de fil blanc , mielleux et manichéen à souhait. Le film qui glorifie la bonne famille blanche catholique américaine où tout se déroule comme dans un compte de fée sans aucune embûche ( ah si un petit accrochage avec la nouvelle voiture mais pas grave papa maman pourront l'a racheter sans sourciller).
Bref le film qui vraiment est déconnecté de la réalité si bien que cette histoire"vraie" sonne très faux.
La réalisation est fainéante avec des plans plus que basique, je me demande comment Bullock a eu son Oscar car elle ne casse pas 3 pattes à un canard dans son rôle. Et le dernier tiers du film devient vraiment une torture de bons sentiments...