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Votre avis sur The Blind Side ?
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Belle histoire vraie mise en film d'un jeune noir sans domicile qui se fait adopter par une famille blanche riche et lui permet de s'épanouir. Film très bien pour encourager la fraternité entre les races aux États-Unis sans ébranler l'ordre établi. Il prouve quand même plusieurs choses à propos des races i.e. l'environnement est un facteur important, la force de caractère peut surmonter les difficultés, etc. Point faible: le même adulte joue le noir à l'âge d'écolier, ce qui rend l'histoire peu crédible au départ.
Accumulant à fond les ballons l'espoir, les clichès, les naïvetès et les bons sentiments anti-racistes, The Blind Side (2009) s'inspire comme on se doute d'une histoire vraie! Bien que ce film très très amèricain n'ait rien d'original, il se laisse regarder sans dèplaisir, notamment pour la prestation touchante et remarquèe de Quinton Aaron qui est tout sauf stupide! On pourra toujours dire à Sandra Bullock que son talent d'actrice est bien plus impressionnant dans "Gravity" (2013) qu'ici! Car toute oscarisèe qu'elle soit pour "The Blind Side", c'est bien Carey Mulligan qui le mèritait cette annèe là pour "An Education" [...] Le stèrèotype de « l'amèricain » et de son bien pensè. Une critique de la sociètè bourgeoise dans ce qu'il y a de plus beau et dègoulinant! Le feel good movie à la « Forrest Gump » où les notions du Football amèricain passent en second! A noter le rôle amusant de Kathy Bates en prof à domicile dèmocrate...
bsalvert
Une très belle histoire (vraie de surcroît) qui nous permet de retrouver Sandra Bullock dans le rôle d'une bourgeoise qui veut aider son prochain. Un film positif.
Henrico
Le film de John Lee Hancock est extrêmement touchant. D’abord par le fait que l’intrigue est totalement basée sur les faits réels, eux-mêmes, objectivement émouvants. Le film l’est aussi grâce à la performance hors pair de Quinton Aaron dont le flegme naturel est impressionnant. Pour ce qui est de la performance de Sandra Bullock, tout en étant fort bonne, celle-ci ne méritait sans doute pas la pluie d « awards » qu’elle a reçus . De toute évidence, le jury a salué l’action et la personnalité extraordinaires de de Leigh Anne Tuohy, plus que la performance de l’actrice Bullock. D’ailleurs, tout le film est un hymne à cette mère adoptive blanche, bourgeoise, qui contre toute attente, jette son dévolu sur ce jeune noir, pauvre et désoeuvré. L’hymne tombe dans le projet de propagande politique pour la gauche Américaine. Plusieurs répliques (peu bien rendues en Version française) attestent de la volonté de Hancock de faire passer son message pro-démocrate. Un autre défaut du film est à déplorer. Si l’engagement de cette mère adoptive est bien décrit, les causes profondes, les motivations de cet engagement sont peu expliquées. Enfin il règne une certaine confusion lorsque la carrière du jeune joueur s’enclenche. L’abondance de détails, notamment les tenants et les aboutissants de l’enquête dont il fera l’objet, font plus tomber le rythme de l’action, qu’autre chose. Malgré tout cela, l’ensemble est fort intéressant.
Excellent film avec un bon scénario, un excellent casting (l'acteur qui joue Michael est une révélation ) et de magnifiques messages !! C'est très agréable à voir...
Film émouvant sur un pauvre gamin recueilli par une famille bourgeoise.
Le côté football américain ne prend pas trop le dessus sur le film.
Le côté football américain ne prend pas trop le dessus sur le film.
En regardant de près, il est normal pour un distributeur hexagonal de ne pas distribuer "The Blind Side" qui coche toutes les mauvaises cases. En premier, une apologie du catholicisme au pays des WASP, le mileu du cinéma français étant sous l'emprise des intellectuels de gauche toujours prêt à dégainer face à l'église romaine, ce point est évidemment très négatif. En deuxième une héroïne républicaine qui ne pompe pas le sang du bon peuple américain (mais comment est-ce possible?). En troisième, les riches sont gentils alors que dans l'inconscient collectif ils ne peuvent être que des ordures. En quatrième le film ne prend pas ouvertement parti pour les afro-américains contre les WASP. En cinquième il parle du football américain, version dégénérée de "notre" jeu à XIII. Enfin, il expose avec complaisance l'"American way of life" dont tout bon français qui se respecte se doit de penser que c'est l'enfer. Effectivement pourquoi distribuer un tel film? Peut-être par ce que la réalisation est superbe, le casting épatant (mais un oscar pour Sandra Bullock? Sérieusement ?) avec une mention pour Jae Head. Mais aussi par ce que cette histoire vraie est parfaitement scénarisée en évitant la boite de mouchoirs en papier, même si la rencontre des deux mères est un moment aussi poignant qu'horrible. Enfin par ce si la société américaine est beaucoup moins inégalitaire que ce que l'on raconte en Europe (surtout en terme de soins), le récit touche du doigt cette profonde injustice de classe quant à 'enseignement supérieur aux USA. Imaginons un instant que Michael Oher n'ait pas bénéficié de ce physique...
Yetcha
Un scénario original basé sur une histoire vraie qui accroche, qui est émouvante et sincère. C'est bon de retrouver Sandra au top si ce n'est cette couleur blonde qui ne lui va décidément pas du tout! Un bon film, simplement...
Audrey L
On vous prévient de suite : oui, The Blind Side est gorgé de bons sentiments...et alors ? Pourtant frileux à la bienpensance d'habitude, on a suivi cette adaptation d'une histoire vraie pleine de cœur avec l'envie de s'accorder le droit de rêver, pour une fois. Il faut dire que l'optimisme est ici le maître-mot, nous montre tout ce qu'une main tendue peut faire pour plus démuni que soi, même si l'on n'est pas Crésus comme la courageuse mère de famille qui a adopté et poussé ce jeune SDF à réaliser ses ambitions. Évidemment, on se dit que les billets verts aident grandement, mais on pense alors immédiatement à tous ceux qui ont encore davantage, et n'en lâche pas un centime pour autrui... Alors, chapeau (ou plutôt : casque) bas à cette dame. Le géant qui a peur de bousculer les autres (au football américain... Il faut le faire !), rapidement comparé à Ferdinand (le plus grand taureau de la ferme qui est aussi le plus doux, pour ceux qui n'ont pas lu ou vu l'adaptation) est attachant, surtout campé par l'imposant Quinton Aaron, en face de qui Sandra Bullock (solaire, en femme à fort caractère !) fait petite, du haut de ses 1m71 honorables (tout de même !). Puisqu'à présent, vous devez vous le demander : Quinton Aaron mesure 2m04... You're welcome. On suit donc la montée en puissance et en confiance de ce jeune homme, dont le match final ne fait aucun doute mais dont on vit tout de même chaque action comme s'il s'agissait d'un direct, et de notre joueur favori. The Blind Side est très fort pour vous faire aimer ses personnages, et on ne regrette pas d'avoir accroché notre sérieux à l'entrée du film, pour profiter de toute sa passion pour cette belle histoire inspirante. Trente-trois centimètres d'écart, et entre : beaucoup d'amour.
Vanessa L
Très belle histoire de Michael Oher qui se fait aider par toute une famille lorsqu’il en avait besoin et que personne ne le faisait. Il est adopté comme leur fils dès le début et il l’aide à rattraper tout ce qu’il n’avait pas pu avoir depuis son enfance : de l’amour, une éducation, une famille. Tiré d’une histoire vraie ce film est à voir absolument. En plus, on retrouve la Sandra Bullock d’avant comme on l’aimait dans ces films !
Ce n est pas mauvais mais qu est ce que c est à la limite de l écœurement tellement c est rempli de mélo. En plus c est beaucoup trop long plus de 2 heures pour une histoire même adaptée de faits réels qui sonne un peu creux .
John Lee Hancock est devenu en quelques années un réalisateur de biopics apprécié tant par le public que par la presse. Il en a fait sa marque de fabrique et dans The Blind Side nous dévoile toutes ses compétences en la matière. Touchant, émouvant, drôle et réaliste, The Blind Side se hisse au rang des bons films avec des acteurs talentueux et une histoire bien prenante malgré quelques longueurs.
Une bourgeoise conservatrice décide d'adopter un jeune colosse noir, pauvre, un peu simplet d'apparence et ayant connu une enfance difficile! Il se révèlera être un prodige du football américain! Un pitch improbable, d'autant plus qu'il est adapté d'une histoire vraie! Tout est bigger than life, le royal portrait de l'Amérique tel qu'elle aimerait se voir! Et c'est justement la plus belle réussite du film que de parvenir à faire ressortir l'humanité de ses personnages à partir d'une illustration à la limite de la caricature! L'émotion parvient alors à submerger tout éventuel scepticisme, en grande partie grâce à l'exceptionnelle interprétation de Sandra Bullock!
selenie
Comme bon nombre de film tiré d'une histoire vaie les américains prouvent qu'ils osnt très forts dans ce genre de film plus ou moins mélodramatiques avec ce qu'il faut de bons sentiments. Malgré la pointe de message politique derrière tout ça (une famille républicaine pas plus mauvaise qu'une famille démocrate... blablabla...) il faut avouer que le film fait mouche. Une Sandra Bullock parfaite (mais pour l'Oscar c'est un peu poussé !) porte le film sur ses épaules. Le gros problème reste l'interprète de Quinton Aaron (donc l'enfant adopté Michael Oher) qui ne joue pas, est presque absent tant il est monolithique (dans le mauvais sens du terme) ; sans émotion, sans mouvement, au regard vide... En tant que personnage principal c'est gênant. Cependant le film étant centré sur la mère adoptive (Sandra Bullock donc) le film sauve sa peau. Classique du film bio et mélo à l'américaine mais on se fait encore avoir.
Si ce film n’était pas inspiré d’une histoire vraie, il tomberait vite aux oubliettes. En effet, le réalisateur John Lee Hancock propose un récit dégoulinant de bons sentiments propre à satisfaire la conscience collective des jurys des plus grandes récompenses cinématographiques. Le parcours de ce jeune garçon noir, qui va devenir une vedette de football américain après avoir été recueilli par une famille charitable, cumule les clichés. Dans le rôle de la mère adoptive, Sandra Bullock (étonnamment récompensée par l’Oscar 2010 de la meilleure actrice) s’agite dans tous les sens pour répandre son amour et son dévouement. C’est parfois excessif même si l’ensemble reste attendrissant. Bref, un divertissement bienpensant portant de belles valeurs humaines.
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