Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C'est très beau, Angelopoulos maîtrisant toujours aussi bien son cinéma, les mouvements de foule comme les scènes plus intimes (...). Des images, des plans, des scènes d'une puissance émotionnelle dont on a du mal à saisir la raison pour laquelle ils nous bouleversent autant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Alain Masson
Les lettres, les voix et à un degré formel différent les possibilités du montage maintiennent la présence dans la séparation, mais le dialogue et les mêmes possibilités insinuent l'inévitable éloignement dans chaque rencontre. L'émotion du spectateur, semblable à celle du protagoniste, repose sur cette alternance ou cette intimité réciproque.
La critique complète est disponible sur le site Positif
La Croix
par Arnaud Schwartz
Plans d'une grande force visuelle, présence appuyée de la neige et de l'hiver, scènes à l'onirisme puissant ou au symbolisme frappant (...) : tous les ingrédients du cinéma de Theo Angelopoulos sont réunis dans "La Poussière du temps".
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio CinéLive.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette oeuvre d'une beauté intense demande un véritable effort (...) pour se faire aimer. [Mais] en se laissant emporter, (...) on se dit que [Theo Angelopoulos] va diablement nous manquer.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Laurent Pécha
Un beau et convaincant casting pour le nouveau Angelopoulos. Une oeuvre forte, histoire d'amour tragique, que le cinéaste filme avec une poésie communicative.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Le film posthume de Theo Angelopoulos mêle avec grâce les grands sentiments aux crises de l'histoire. Inégal mais poignant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Si la partie "1953", d'une majestueuse beauté, en impose parfois, il n'en va pas de même pour le récit plus actuel, figé dans un esthétisme solennel.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Comment le Cinéma peut-il rendre compte de l'Histoire ? Ce qui a toujours gêné chez Angelopoulos, c'est évidemment cette utilisation des majuscules, le recours au symbolisme et la solennité déployée, tel un tapis rouge, pour accueillir et (se) recueillir (sur) les vestiges de l'histoire.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"La Poussière du temps" donne l'impression de ressasser les thèmes et la manière chers au cinéaste, en l'absence de l'acuité et de la contemporanéité qui en faisaient le prix.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Bernard Achour
Malgré la splendeur calculée des images, cette quête sentimentalo-familiale sur fond d'immigration grecque (...) réduit le chant du cygne à un roman-photo exténuant de sérieux et de naïveté.
TF1 News
par Romain Le Vern
A l'arrivée, une compilation de tout ce que Angelopoulos a déjà fait auparavant (...), mais en moins stimulant.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Florence Maillard
Le film s'évertue à faire croire à la vérité de personnages quand le propos, malgré toutes les circonvolutions du scénario, demeure confit dans le ciel des Idées (...).
Libération
par La rédaction
Pesante méditation sur l'histoire du XXe siècle. (...) Le récit (...) se veut ample, mais tombe généralement à plat avec des séquences (...) qui ne parviennent jamais à communiquer le sentiment de destins au long cours.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
Dans ce film, réalisé par Theo Angelopoulos trois ans avant sa mort, rien n'émeut. (...) Comble de la déception : on voit Angelopoulos, maître de la stylisation, obéir aux règles d'un réalisme qu'il méprisait tant. (...) Un vrai faux pas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
C'est très beau, Angelopoulos maîtrisant toujours aussi bien son cinéma, les mouvements de foule comme les scènes plus intimes (...). Des images, des plans, des scènes d'une puissance émotionnelle dont on a du mal à saisir la raison pour laquelle ils nous bouleversent autant.
Positif
Les lettres, les voix et à un degré formel différent les possibilités du montage maintiennent la présence dans la séparation, mais le dialogue et les mêmes possibilités insinuent l'inévitable éloignement dans chaque rencontre. L'émotion du spectateur, semblable à celle du protagoniste, repose sur cette alternance ou cette intimité réciproque.
La Croix
Plans d'une grande force visuelle, présence appuyée de la neige et de l'hiver, scènes à l'onirisme puissant ou au symbolisme frappant (...) : tous les ingrédients du cinéma de Theo Angelopoulos sont réunis dans "La Poussière du temps".
Studio Ciné Live
Voir le site Studio CinéLive.
20 Minutes
Cette oeuvre d'une beauté intense demande un véritable effort (...) pour se faire aimer. [Mais] en se laissant emporter, (...) on se dit que [Theo Angelopoulos] va diablement nous manquer.
Ecran Large
Un beau et convaincant casting pour le nouveau Angelopoulos. Une oeuvre forte, histoire d'amour tragique, que le cinéaste filme avec une poésie communicative.
Les Fiches du Cinéma
Le film posthume de Theo Angelopoulos mêle avec grâce les grands sentiments aux crises de l'histoire. Inégal mais poignant.
TéléCinéObs
Si la partie "1953", d'une majestueuse beauté, en impose parfois, il n'en va pas de même pour le récit plus actuel, figé dans un esthétisme solennel.
Cahiers du Cinéma
Comment le Cinéma peut-il rendre compte de l'Histoire ? Ce qui a toujours gêné chez Angelopoulos, c'est évidemment cette utilisation des majuscules, le recours au symbolisme et la solennité déployée, tel un tapis rouge, pour accueillir et (se) recueillir (sur) les vestiges de l'histoire.
Le Monde
"La Poussière du temps" donne l'impression de ressasser les thèmes et la manière chers au cinéaste, en l'absence de l'acuité et de la contemporanéité qui en faisaient le prix.
Première
Malgré la splendeur calculée des images, cette quête sentimentalo-familiale sur fond d'immigration grecque (...) réduit le chant du cygne à un roman-photo exténuant de sérieux et de naïveté.
TF1 News
A l'arrivée, une compilation de tout ce que Angelopoulos a déjà fait auparavant (...), mais en moins stimulant.
Transfuge
Le film s'évertue à faire croire à la vérité de personnages quand le propos, malgré toutes les circonvolutions du scénario, demeure confit dans le ciel des Idées (...).
Libération
Pesante méditation sur l'histoire du XXe siècle. (...) Le récit (...) se veut ample, mais tombe généralement à plat avec des séquences (...) qui ne parviennent jamais à communiquer le sentiment de destins au long cours.
Télérama
Dans ce film, réalisé par Theo Angelopoulos trois ans avant sa mort, rien n'émeut. (...) Comble de la déception : on voit Angelopoulos, maître de la stylisation, obéir aux règles d'un réalisme qu'il méprisait tant. (...) Un vrai faux pas.