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Michael Haneke s'attaque aux envers des idéaux inatteignables et du désir de pureté."Le Ruban blanc" a reçu la Palme d'or au dernier Festival de Cannes
La critique complète est disponible sur le site Elle
On est éblouit par l'esthétique glacée du film, son noir et blanc, sa lumière inquiétante. (...) C'est brilliant, radical, froid, implacable et oppressant. Il faut en accpeter l'âpreté.
Le film, au-delà de son ancrage historique, prend une pertinence particulière à l'heure où, via Internet et son immense forum d'opinions en continu, se constitue sous nos yeux une nouvelle entité morale prête à bondir et à juger (...).
Le chef d'oeuvre de Haneke, l'apothéose éthique, esthétique, politique d'une oeuvre parfois contestée par sa récurrente manipulation de l'image par l'image (...)
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Avec maestria, Haneke a déjoué tous les pièges du film d'époque pour signer une fable dont la beauté des images en noir et blanc et les finesses de la mise en scène invitent le spectateur à la réflexion
La critique complète est disponible sur le site Positif
Michael Haneke filme sa réflexion sur l'histoire et la morale en noir et blanc - rien qui ne vienne distraire l'oeil, donc - avec une rigueur magistrale.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Lent et somptueux, ce film étrange se déroule dans la pureté éclatante de paysages qui semblent inaccessibles à la noirceur.(...) Une angoisse sourde naît de ces plans-séquences où tout semble constamment caché (...) Haneke filme magistralement la noirceur qui s'infiltre dans les coeurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le vertige de l'innocence et la quête désespérée d'un âge d'or constituent in fine la seule source identifiable du mal. C'est en ce sens seulement que le film d'Haneke, (...) pense, condamne et expérimente, dans la rudesse parfois éprouvante de ses cent quarante-cinq minutes, toute forme d'oppression.
Après avoir réfléchi sur la déréalisation de la violence, Michael Haneke propose le film du renouveau, à la fois anxiogène et dérangeant, qui fustige les principes d'éducation réactionnaire.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
Michael Haneke réfute toute prétention naturaliste du film d'histoire pour mettre en scène avec une grande intensité et autant de rigueur un drame de l'oppression, de la culpabilité et de la répression.
Une oeuvre d'une grande austérité, remarquablement maîtrisée et tendue de bout en bout. Haneke (...) renoue avec (...) ses grands thèmes: le surgissement du mal et son mystère.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Haneke triomphe avec ce qui est sans doute son récit le plus directement accessible, sans qu'il n'ait rien sacrifié de ses pratiques qui aiment entretenir le mystère, la provocation, la perplexité.
(...) cette oeuvre en noir et blanc (...) revendique (...) sa filiation avec un Visconti, un Bergman, un Losey et même un Tarkovski, tant le film possède une puissance hallucinatoire à la limite du surnaturel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Filmée dans un somptueux noir et blanc, cette radiographie de la psyché allemande marquée par la violence des rapports humains (...), le poids de la religion et du puritanisme hypocrite, fait froid dans le dos.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Le Ruban Blanc n'est pas forcément le meilleur film d'Haneke ni son plus novateur. Sa réalisation apparaît même très classique. Mais il est néammoins aussi actuel que la mence d'un cancer non dépisté.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Quant bien même la photo est à couper le souffle, Le Ruban Blanc est à conseiller en priorité aux inconditionnels du cinéaste, les autres s'ennuieront profondément.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Noir et blanc somptueux rappelant les photos de l'époque, cadrages rigoureux à l'extrême, longs plans-séquences, absence de musique...(...) Ardu, passionnant et discutable, " le Ruban blanc " mérite d'être vu. Ne serait-ce que pour s'empoigner à la sortie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...), film hanté par le fantôme du cinéma de genre mais qui, plutôt que de s'assumer et d'en réaliser la puissance, verse dans la boursouflure rhétorique.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
20 Minutes
Ce n'est pas à une partie de plaisir que Michael Haneke convie son public, mais à une leçon de grand cinéma.
Elle
Michael Haneke s'attaque aux envers des idéaux inatteignables et du désir de pureté."Le Ruban blanc" a reçu la Palme d'or au dernier Festival de Cannes
L'Express
www.lexpress.fr
L'Obs
Un noir et blanc somptueux, des acteurs magnifiques, une maîtrise saisissante de toutes les possibilités qu'offre le cinéma (...)
Le Figaroscope
Michael Haneke signe une oeuvre aussi remarquable que redoutable, nette et coupante comme une lame, opaque et dense comme un brouillard.
Le Journal du Dimanche
On est éblouit par l'esthétique glacée du film, son noir et blanc, sa lumière inquiétante. (...) C'est brilliant, radical, froid, implacable et oppressant. Il faut en accpeter l'âpreté.
Le Point
Voir le site du Point
Les Inrockuptibles
Une mise en scène d'une précision manifeste et d'une rigueur imposante, des acteurs au cordeau (...) ici, tout est supérieurement net dans le trait.
Libération
Le film, au-delà de son ancrage historique, prend une pertinence particulière à l'heure où, via Internet et son immense forum d'opinions en continu, se constitue sous nos yeux une nouvelle entité morale prête à bondir et à juger (...).
Marianne
Le chef d'oeuvre de Haneke, l'apothéose éthique, esthétique, politique d'une oeuvre parfois contestée par sa récurrente manipulation de l'image par l'image (...)
Positif
Avec maestria, Haneke a déjoué tous les pièges du film d'époque pour signer une fable dont la beauté des images en noir et blanc et les finesses de la mise en scène invitent le spectateur à la réflexion
Studio Ciné Live
POUR : Voir le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Michael Haneke filme sa réflexion sur l'histoire et la morale en noir et blanc - rien qui ne vienne distraire l'oeil, donc - avec une rigueur magistrale.
Télérama
Lent et somptueux, ce film étrange se déroule dans la pureté éclatante de paysages qui semblent inaccessibles à la noirceur.(...) Une angoisse sourde naît de ces plans-séquences où tout semble constamment caché (...) Haneke filme magistralement la noirceur qui s'infiltre dans les coeurs.
Cahiers du Cinéma
Le vertige de l'innocence et la quête désespérée d'un âge d'or constituent in fine la seule source identifiable du mal. C'est en ce sens seulement que le film d'Haneke, (...) pense, condamne et expérimente, dans la rudesse parfois éprouvante de ses cent quarante-cinq minutes, toute forme d'oppression.
Dvdrama
Après avoir réfléchi sur la déréalisation de la violence, Michael Haneke propose le film du renouveau, à la fois anxiogène et dérangeant, qui fustige les principes d'éducation réactionnaire.
L'Humanité
Michael Haneke réfute toute prétention naturaliste du film d'histoire pour mettre en scène avec une grande intensité et autant de rigueur un drame de l'oppression, de la culpabilité et de la répression.
La Croix
Une oeuvre d'une grande austérité, remarquablement maîtrisée et tendue de bout en bout. Haneke (...) renoue avec (...) ses grands thèmes: le surgissement du mal et son mystère.
Le Monde
Le Ruban blanc, film terrible et pourtant élégant, apparaît comme une espèce de préface aux horreurs de tout le XXe siècle.
Ouest France
Haneke triomphe avec ce qui est sans doute son récit le plus directement accessible, sans qu'il n'ait rien sacrifié de ses pratiques qui aiment entretenir le mystère, la provocation, la perplexité.
Paris Match
(...) cette oeuvre en noir et blanc (...) revendique (...) sa filiation avec un Visconti, un Bergman, un Losey et même un Tarkovski, tant le film possède une puissance hallucinatoire à la limite du surnaturel.
Télé 7 Jours
Filmée dans un somptueux noir et blanc, cette radiographie de la psyché allemande marquée par la violence des rapports humains (...), le poids de la religion et du puritanisme hypocrite, fait froid dans le dos.
Brazil
Le Ruban Blanc n'est pas forcément le meilleur film d'Haneke ni son plus novateur. Sa réalisation apparaît même très classique. Mais il est néammoins aussi actuel que la mence d'un cancer non dépisté.
Filmsactu
Quant bien même la photo est à couper le souffle, Le Ruban Blanc est à conseiller en priorité aux inconditionnels du cinéaste, les autres s'ennuieront profondément.
Le Parisien
Noir et blanc somptueux rappelant les photos de l'époque, cadrages rigoureux à l'extrême, longs plans-séquences, absence de musique...(...) Ardu, passionnant et discutable, " le Ruban blanc " mérite d'être vu. Ne serait-ce que pour s'empoigner à la sortie.
Chronic'art.com
Qu'une Palme d'Or récompense le film le plus ennuyeux du père fouettard autrichien n'est au fond guère une surprise
Charlie Hebdo
(...), film hanté par le fantôme du cinéma de genre mais qui, plutôt que de s'assumer et d'en réaliser la puissance, verse dans la boursouflure rhétorique.
Studio Ciné Live
CONTRE : Voir le site Studio Ciné Live