Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Excessif
par Nicolas Gilli
De son épure totale dans la mise en scène immaculée, sublimant des décors lourds en symboles, il se dégage [de ce film] un hymne à la vie malgré ses tonalités glaciales. C'est un premier essai d'une maîtrise insolente porté par des acteurs remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Dassa
Cette première réalisation prometteuse évoque des films cultes tels "They live!" ou encore "Soleil vert" tout en s'appropriant un sujet original et un style propre qui s'éloigne des règles traditionnelles du genre.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Première
par Thomas Agnelli
Ce film d'anticipation est aussi glaçant que ce qu'il dénonce.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Christophe Carrière
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Cécile Mury
Son premier long est un étrange conte d'anticipation, un enfer glacé de béton et d'arbres morts, dans lequel ses héros (Julie Gayet et Sami Bouajila, perdus, émouvants) glissent comme des somnambules. (...) Mais ce qui capte l'attention, c'est le style. En particulier dans l'extraordinaire prologue du film, où chaque image épaissit le mystère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Nicolas Journet
Faute d'un scénario suffisamment charnu, empêtré dans sa noirceur esthétisante, "Carré blanc" rejoint "Dante 01" et "Eden Log" parmi les tentatives ratées de SF à la française.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une allégorie futuriste d'un humour assez noir, mais qui manque un peu du sens de la nuance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Le cinéma d'anticipation n'est souvent qu'un futur antérieur, un passé déformé et "Carré blanc" n'y échappe pas. Il sonne néanmoins davantage pub Manpower eighties antipathique que "Brazil". L'idée tient la distance en court métrage, moins comme film, qui veut se gargariser de sa prétendue étrangeté, mais ne fait que s'assécher en enfilant les clichés sur l'aliénation à venir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Valérie Levilain
A la fois déroutant, fascinant et pavé de symboles, ce film qui sort des sentiers balisés actuels ne s'adresse pas à un large public mais mérite toutefois qu'on s'y attarde.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
[Un] film bancal, porté parfois par une flamboyance de mise en scène et un indéniable sens de l'ambiance paranoïaque [avec] un scénario qui, sur la dénonciation rebattue de la déshumanisation de nos sociétés capitalistes, souffre d'un manichéisme appuyé.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Mad Movies
par Gilles Esposito
N'est pas le "THX 1138" de George Lucas qui veut.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Excessif
De son épure totale dans la mise en scène immaculée, sublimant des décors lourds en symboles, il se dégage [de ce film] un hymne à la vie malgré ses tonalités glaciales. C'est un premier essai d'une maîtrise insolente porté par des acteurs remarquables.
L'Ecran Fantastique
Cette première réalisation prometteuse évoque des films cultes tels "They live!" ou encore "Soleil vert" tout en s'appropriant un sujet original et un style propre qui s'éloigne des règles traditionnelles du genre.
Première
Ce film d'anticipation est aussi glaçant que ce qu'il dénonce.
L'Express
www.lexpress.fr
Le Point
Voir le site lepoint.fr
Télérama
Son premier long est un étrange conte d'anticipation, un enfer glacé de béton et d'arbres morts, dans lequel ses héros (Julie Gayet et Sami Bouajila, perdus, émouvants) glissent comme des somnambules. (...) Mais ce qui capte l'attention, c'est le style. En particulier dans l'extraordinaire prologue du film, où chaque image épaissit le mystère.
Critikat.com
Faute d'un scénario suffisamment charnu, empêtré dans sa noirceur esthétisante, "Carré blanc" rejoint "Dante 01" et "Eden Log" parmi les tentatives ratées de SF à la française.
Le Monde
Une allégorie futuriste d'un humour assez noir, mais qui manque un peu du sens de la nuance.
Les Inrockuptibles
Le cinéma d'anticipation n'est souvent qu'un futur antérieur, un passé déformé et "Carré blanc" n'y échappe pas. Il sonne néanmoins davantage pub Manpower eighties antipathique que "Brazil". L'idée tient la distance en court métrage, moins comme film, qui veut se gargariser de sa prétendue étrangeté, mais ne fait que s'assécher en enfilant les clichés sur l'aliénation à venir.
Metro
A la fois déroutant, fascinant et pavé de symboles, ce film qui sort des sentiers balisés actuels ne s'adresse pas à un large public mais mérite toutefois qu'on s'y attarde.
TéléCinéObs
[Un] film bancal, porté parfois par une flamboyance de mise en scène et un indéniable sens de l'ambiance paranoïaque [avec] un scénario qui, sur la dénonciation rebattue de la déshumanisation de nos sociétés capitalistes, souffre d'un manichéisme appuyé.
Mad Movies
N'est pas le "THX 1138" de George Lucas qui veut.