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Caine78
6 716 abonnés
7 398 critiques
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1,0
Publiée le 25 octobre 2013
Auteur du séduisant « Jean-Philippe » trois ans plus tôt, c'était avec un a priori favorable que j'ai découvert « Le Premier cercle » de Laurent Tuel, qui n'a hélas rien de comparable à un autre cercle illustre : rouge, celui-ci. J'ai d'ailleurs rapidement compris que j'allais connaître un calvaire devant des dialogues à hurler, des situations risibles, des personnages bidons et des acteurs souvent en roue libre sans la moindre once de charisme. Pour être d'ailleurs honnête, j'ai déjà oublié 90% du film, si ce n'est son incapacité chronique à provoquer une quelconque tension, empathie durant 95 minutes. Heureusement que la plastique sublime de Vahina Giocante est là pour nous occuper un peu les yeux et le règlement de comptes final plutôt bien fait, car pour le reste, Tuel se plante en beauté, signant probablement l'une des réalisations les plus lourdes et insignifiantes (les deux en même temps, fallait le faire!) de ces dernières années, à l'image d'un dénouement absolument ridicule, mais parfaitement à l'image de l'œuvre. A fuir !
Le premier cercle est un thriller qui manque de mordant. L'action est mal organisée, les personnages trop sensibles, ce qui donne un tout trop tendre. Pas forcément envie d'être méchant avec ce film, juste signaler l'absence cruel de fantaisie, ce qui donne un résultant très peu convaincant, à la limite de l'ennuie.
Très déçu alors que tout les ingrédients étaient présents. Le film est plat avec une interprétation sans relief de Jean Réno. Le manque de rythme fait que le film devient vite ennuyeux... Dommage.
Mon dieu ... mais qu'est-ce que c'est que ça ? Sérieux, Jean Reno qui m'a fait rêver dans des rôles comme dans "Léon" ou il dégage quelque chose d’absolument exceptionnel, passer à ça ? C'est triste. Bon Gaspard Ulliel se prend pour une star alors qu'il avait si bien commencé avec "Un long dimanche de fiançailles", depuis il se sent plus avec ses pubs pour le parfum et cie. Vahina Gociante, je ne l'ai jamais vraiment apprécié donc ça ne change pas grand chose pour moi. Au niveau du scénario, c'est du vu et revu autant pour le sujet principal : la "mafia" et le second qu'est la famille. On ne peut pas dire que l'on s'ennuie, ce serait mentir mais alors le film en lui même est digne d'un téléfilm sur TF1 à 15h30, un jour de semaine. Je sais pas quel genre de public a voulu convaincre le réalisateur mais en tout cas, je n'en fait pas parti. Et puis il n'y a même pas de bande originale, c'est quand même rare de nos jours et surtout elle peut sauver un long métrage de la noyade. Bon, je vais m'arrêter car franchement, c'est une honte pour le cinéma français de nous sortir un truc (et je pèse mes mots) comme ça. 6/20.
Encore une fois, dans le registre du film de "parrain" le cinéma français ne produit qu'une pâle copie du grand frère américain. Effectivement, un film qui a pour décorum la Riviera, la mafia arménienne, pourquoi pas ? Mais l'ensemble tourne court, assez vite et on se lasse des stéréotypes et des idées convenues qui jalonnent l'intrigue et les personnages. Jean Reno est tout en retenu et toujours aussi taciturne et joue le parrain un brin parano et excessif, la sempiternelle histoire de la protection du clan avec son énorme invraisemblance lorsqu'il s'en prend directement à la police. Gaspad Ulliel, le fils "prodigue" et rebelle qui finira bien sûr en martyr incompris, qui ne sait jamais choisir.... La compagne qui elle aussi, garde comme "un héritage maudit" , un bambino orphelin...Et enfin, le flic (peut-être le perso le plus solide), accrocheur, perspicace, courageux, et pschiiiiiiiiiiiiiiittt on ne sait pas ce qui lui après le succès du braquage... Bref l"histoire fait la part belle (trop) au drame du clan (énième fois vu au ciné) et en oublie son scénario,et la fin de l'histoire, et certains personnages.
Dommage car il est vrai que ce film en touches noir et blanc (comme la bande son piano qui nous berce tout le long du film) montre une esthétique très travaillée. On laisse passer ou pas la lumière ou l'ombre sur des personnages, la nature est le baromètre de leurs sentiments fait d'espoir et de rancoeur, le dress code du film donne dans ce même mélange noir -blanc où la blance infirmière s'oppose aux noirs costumes des gangsters, à la grisaille des flics....
On passe un petit moment sympathique dans cette saga mafieuse familiale, mais peu originale, à la conclusion trop hâtive et au fatalisme irritant pour ma part (l'ombre du parrain se penche sur le berceau, la généalogie du sang continue....clap de fin conventionnel ....)
Je ne comprend pas les mauvaises notes! Enfin un film sur la mafia qui n est pas violent à outrance et qui dégage une belle atmosphère. La trame vient peu à peu et l ambiance est toute en finesse.
Petit retour en arrière, avec un film que j’avais pu apprécier voilà quelque temps maintenant. Il faut parfois ressortir de vieux dvd pour en apprécier le contenu, toutefois, je m’abstiendrai de remonter trop dans le temps !
Toujours autant passionné par ces histoires mafieuses, par le code d’honneur qui régis ces familles, par les méthodes utilisées, par les liens fraternels, par tout ce monde de l’ombre. C’est un sujet inépuisable pour le monde cinématographique, tant qu’il est tourné convenablement. Ici, c’est le cas pour « Le Premier Cercle » qui nous entraine au cœur même d’une famille arménienne implantée sur la Côte d’Azur, et évoluant dans le grand banditisme.
Jean Reno est bluffant dans son rôle de « Padre » de la famille Malakian, de bandit au cœur meurtri. Il nous laisse « rêveur » et attendrit fasse aux décisions qu’il prend en grand chef d’orchestre qu’il est. Un casting réussi pour ce film, malgré le peu d’accroche avec l’inspecteur Saunier, alias Sami Bouajila, qui semble hors contexte. Mais le tout rattrape un peu ce genre de point noir.
Au final, il est toujours plaisant en tant que Sudiste de voir sa Côte d’Azur dans un film, et de mettre en lumière les défauts de montage entre différentes prises de vue dans le long métrage. Etre à Juan-les-Pins puis Nice en un virage, parcourir des kilomètres à pied en un claquement de cil, ça n’a pas de prix ! Un film a voir pour sûr, aussi bien pour l’interprétation faite par Jean Reno, que par l’ambiance générale, où par la mise en scène !
Affligeant ! Comment un acteur de la pointure de Reno a-t'il pu se commettre dans une pareille nullité. Un misérable navet qui est une insulte au 7e art.[spoiler]
Un film qui parle d'une bande organisé autour de Jean Reno et qui font des gros casses sur la Côte d'Azur. L'histoire est un peu trop lisse et on ne rentre pas assez dans la psychologie des personnages. Ici on retrouve un trés bon Reno avec de bons jeunes acteurs à ses côtés. Je ne me suis pas ennyé malgré tout car le rythme est là.
tres deçu de ce polar bien maigre en fin de compte!!! vu le sceanrio on s'attend a mieux et en fin de compte on retient pas grand chose!!! surtout avec jean reno qui est d'habitude promet dans ce genre de scenario,une deception totale comparer a leon,l'immortel.., bref on reste sur notre faim
En visionnant ce film, j'ai eu la sensation d'un patchwork. L'impression que le réalisateur a pris plusieurs films et en a fait un. L'impréssion d'avoir déja vu dans d'autes films certaines scènes de celui ci. Le fils qui veut changer de vie, Jean Réno enlisé dans le même rôle, Les seins de Giocante que l'on voit dans tout ses films, à croire que c'est une obligation pour masquer son jeu d'actrice, la famille, arménienne, Italienne, juive ou on s'en fout, qui magouille et veut faire le casse du siecle. Vous avez déja vu ce genre de film? Alors passez votre chemin car il n'y a pas de talent dans ce navet, simplement un mauvais "copier, coller".