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Un visiteur
0,5
Publiée le 4 mars 2009
Dans une vague de thrillers français, LE PREMIER CERCLE surfe sur ces récents succès. En se tournant cette fois-ci sur une famille mafieuse dont l’un des membres souhaite une tout autre vie. Mal tourné, et surtout mal dirigé, les acteurs sont en roue libre et ne sont guère convaincants pour la plupart (on a l’impression d’assister à la première lecture du script quand Jean Reno ou Gaspard Ulliel parlent). Mauvais d’un bout à l’autre, le film est à peine sauver par quelques beaux plans avec coucher de soleil. LE PREMIER CERCLE a un scénario des plus classiques où le suspense est aux abonnés absents. Seule la scène du casse final mérite attention. Sinon, passez votre chemin, car ce film n’a aucune étincelle, pas même la plus petite flamme. Mauvais
« L’amour contrarié sur fond de clan mafieux » semble être un des premiers cercles du polar à la française, celui dont nos cinéastes ont du mal à se sortir, faisant sombrer peu à peu le spectateur le plus conciliant dans un profond ennui. Ce film, hélas, ne déroge pas à la règle et aggrave son cas en cumulant tous les poncifs en cours sur le genre. Du chef de clan dur et intransigeant au policier opiniâtre cherchant vengeance en passant par la jeune femme innocente prise dans la tourmente. On y trouve même un super casse génial… Enfin sur le papier, parce qu’à l’écran c’est plutôt économie de moyens et rebondissements improbables. (Il faut dire que le réalisateur a tellement bien cloisonné son gang Arménien qu’il lui faut une énormité scénaristique pour pouvoir faire avancer son intrigue). Et les acteurs dans tout ça ? Ils tentent courageusement de faire exister leur personnage dans un registre limité et très (trop ?) codifié. Mention spéciale à Gaspard Ulliel et à Sami Bouajila. Quant à Jean Reno… Le regard morne et le visage inexpressif, il semble avoir décroché le rôle du chef de clan uniquement parce que Droopy n’était pas disponible pour le tournage. Cinéastes et scénaristes : unissez-vous et élargissez vos horizons car, à trop vouloir rester dans le premier cercle, vous finissez fatalement par tourner en rond !
C'est «Le Clan des Arméniens», dirigé par un Jean Reno à la manière de Gabin. Il prépare une opération d'envergure, avant de passer la main à son fils. Les truands se ressembles tous et la Camargue devient carte postale. Un film d'une totale banalité.
Le cinéma réserve parfois de bonnes surprises, à l'image de ce beau film dont je ne comprends pas pourquoi je ne suis pas allé le voir à l'époque au cinéma, et encore moins le désamour le la critique et du public : même pas 300 000 personnes en salles alors que beaucoup de navets atteignent les 500 000 ! Mauvaise affiche ou titre peu accrocheur ? Manque de promotion, timidité du réalisateur qui à 48 ans n'a fait "que" 5 films (en 2015) celui-ci étant l'avant-dernier ? Jean Reno nous fait pourtant ici une démonstration de la très large palette de son talent, et de grâce, qu'on arrête de le comparer à Pierre, Paul ou Tartempion. Jean Reno est à nul autre pareil, incomparable : il est entouré dans ce film d'un casting peu connu mais terriblement efficace, autour d'un scénario bien construit qui certes, est peu crédible, mais qu'importe, on fait "comme si" et on se laisse entraîner par ce clan de malfrats qui constitue une famille. Mais une famille composée exclusivement d'hommes, de vrais, de tueurs où il n'y a pas de place pour une femme qui constituerait une menace. Mais seulement voilà : l'une d'elles va être le grain de sable de cette aventure trop bien huilée ! Un scénario un brin didactique aussi : depuis que j'ai vu comment on vole une Ferrari, je ne laisse plus, quel qu'en soit le motif, les clefs au tableau de bord de la mienne. Une alerte sonore vient du reste me le rappeler ! Ce film déborde d'animation, avec des moments d'émotion, et on en redemande ! willycopresto
En visionnant ce film, j'ai eu la sensation d'un patchwork. L'impression que le réalisateur a pris plusieurs films et en a fait un. L'impréssion d'avoir déja vu dans d'autes films certaines scènes de celui ci. Le fils qui veut changer de vie, Jean Réno enlisé dans le même rôle, Les seins de Giocante que l'on voit dans tout ses films, à croire que c'est une obligation pour masquer son jeu d'actrice, la famille, arménienne, Italienne, juive ou on s'en fout, qui magouille et veut faire le casse du siecle. Vous avez déja vu ce genre de film? Alors passez votre chemin car il n'y a pas de talent dans ce navet, simplement un mauvais "copier, coller".
Un petit polar bien fade, en manque permanent de rythme et de prises de risques. Si le scénario n'est pas inintéressant dans sa conception, il l'est vraiment dans sa réalisation. Jamais les différents acteurs n'arrivent à susciter un quelconque charisme ou tout autre ressenti chez le spectateur, et cela manque cruellement à donner une dimension satisfaisante au film. Les paysages sont beaux et la jeune actrice apporte une certaine volupté au film, mais c'est bien tout. On suit un clan familial de braqueurs, avec seulement Jean Reno comme véritable acteur, les autres étant beaucoup trop éteints à mon sens. La fin est toutefois assez intéressante et soulève des questions quant à l'obsession de Milo de faire de son fils son allié. Mais les dernières minutes du film, quoi que bien pensées, sont mal réalisées à mon sens et auraient gagné à être plus développées pour laisser transpirer plus d'émotions.
Sans aucun intêret. Un film plat sans aucune innovation. Le scénario est minable et la réalisation trés médiocre. Quant au jeu des acteurs, je préfère ne pas en parler. C'est tout simplement une abberation totale, voir une honte d'être aussi nul.
Le clan des siciliens du pauvre campé par une famille arménienne qui pourrait être de n'importe quelle autre nationalité. Le film s'ouvre sur des images d'archives du génocide arménien, peut-être pour donner une profondeur historique à des personnages creux qui évoluent dans une intrigue sans chair ni os, tout simplement vide. Le gros coup qui consiste à s'emparer du chargement d'un avion de ligne est resté à l'état d'ébauche tant l'écriture manque d'inspiration. Pour donner un semblant de consistance à ce film mort-né, on incorpore une histoire d'amour aussi factice que tout le reste, guère plus épaisse que dans un roman de plage. Jean Reno, cet acteur en bois blanc qui enchaine les navets à la vitesse de la lumière, ânonne des répliques affligeantes de vacuité qui consistent à lui faire dire que la famille c'est sacré, qu'on ne doit pas toucher à la famille et se méfier de tous ceux qui n'en font pas partie. Le temps d'une scène aussi inutile que tout le reste, on le voit témoigner de l'affection à sa vieille mère en adoptant les manières et le ton de Roger Hanin dans Le Grand pardon. Gaspard Ulliel n'a rien à faire de particulier, sinon promettre à sa promise qu'il va bientôt lâcher tout ça et balancer un coup de casque dans la tronche d'un type qui l'a trahi. Bien évidemment le tout est filmé comme une publicité pour les pattes Barilla sur une côte d'azur vaguement toscane. Affligeant de la première à la dernière scène. On se relève difficilement d'une telle purge.
vraiment pas grand chose a dire sur ce film tres moyen et sans saveur du debut a la fin je m'attarderai pas trop dessus. un scenario basique simple et sans rebondissements qui pourrait nous faire accrocher. des acteurs qui surjouent mcomme jean reno sans etre vraiment bon et d'autre qui ne joue pas du tous sans avoir le profil du personnage , aucun cote psycho des personnages n'est travaille tous banales... l'action est pauvre le rythme est faible et on ne se sent jamais rentrer reeelement dans ce film la mise en scene est myenne tous comme l'ensemble un petit bemol l'acteur qui joue le flic est vraiment pas mal a suivre sinon une pauvre realisation francaise qui continue dans la tradition que le cinema francais a bien du mal a realiser de bon film dans certaine categories ici on en a encore la preuve on sent que sa aete fais a la va vite sans avoir pris le temps d'ettofer ce scenario et la mise en scene dommage
Quel dommage que ce film déçoit par son manque d'originalité dans la mise en scène, et par sa fin décevante, malgré un bon casting et un scénario peu original mais attachant.
Un mauvais filmage, des scènes sans intérêts et quelques longueurs. Mais de bons acteurs, une histoire qui tient debout et de jolis décors. Un bon divertissement.
Vraiment très médiocre... Jean Réno, qui n'a pas tourné un bon film depuis que sa route a croisé celle de Christian Clavier ("Les Visiteurs"), ne parvient pas une seconde à nous faire croire à son personnage, pas plus que Gaspard Ulliel, pourtant très bon dans d'autres films. Quant à Vahina Giocante, il faudrait qu'elle essaie à interpréter des personnages un peu moins nunuches...