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Aulanius
196 abonnés
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1,0
Publiée le 22 juillet 2013
Mon dieu ... mais qu'est-ce que c'est que ça ? Sérieux, Jean Reno qui m'a fait rêver dans des rôles comme dans "Léon" ou il dégage quelque chose d’absolument exceptionnel, passer à ça ? C'est triste. Bon Gaspard Ulliel se prend pour une star alors qu'il avait si bien commencé avec "Un long dimanche de fiançailles", depuis il se sent plus avec ses pubs pour le parfum et cie. Vahina Gociante, je ne l'ai jamais vraiment apprécié donc ça ne change pas grand chose pour moi. Au niveau du scénario, c'est du vu et revu autant pour le sujet principal : la "mafia" et le second qu'est la famille. On ne peut pas dire que l'on s'ennuie, ce serait mentir mais alors le film en lui même est digne d'un téléfilm sur TF1 à 15h30, un jour de semaine. Je sais pas quel genre de public a voulu convaincre le réalisateur mais en tout cas, je n'en fait pas parti. Et puis il n'y a même pas de bande originale, c'est quand même rare de nos jours et surtout elle peut sauver un long métrage de la noyade. Bon, je vais m'arrêter car franchement, c'est une honte pour le cinéma français de nous sortir un truc (et je pèse mes mots) comme ça. 6/20.
Un polar français qui affiche clairement son ambition : concurrencer l'Amérique sur leur terrain avec un budget très confortable... Mais encore faut-il avoir un réalisateur avec les reins solides et du talent. Scéanrio sans grande inventivité et mise en scène mollassonne font que le rythme est en bas régime. Le casting est celui d'une grosse prod (Reno bof Vahina Giocante sous exploitée mais un Ulliel et un Bouajila en grande forme) mais le film n'est pas tenu de main ferme ; les scènes d'action sont d'ailleurs lamentables, par exemple l'attaque de l'avion est illisible, les flics semblent immobiles... Bref n'est pas Michael Mann qui veut...
Après le très sympathique et original Jean-Philippe Laurent Tuel change de genre. Malgré une bande-annonce alléchante le film déçoit. Le tout manque cette fois-ci cruellement d'originalité justement ! Que ce soit dans la forme ou sur le fond. L'histoire a été vue cent fois et en plus prenant, c'est bourré de clichés, prévisible scène par scène, vraiment rien de palpitant. La mise en scène est bâclée, les images sont souvent trop claires et finissent par éblouir. L'interprétation n'arrange rien. Jean Reno est coincé au possible au essayant de parodier tous les parrains que l'on a déjà vu maintes fois en bien mieux. Gaspard Ulliel est sans doute celui qui s'en sort le mieux mais tout juste. Quant à Vahina Giocante, même si elle est bien, elle est juste là pour remplir l'obligatoire rôle féminin sexy qui n'ajoute rien à l'intrigue. Bref pas terrible tout ça. Dommage il y avait pourtant matière à un bon polar.
Les films de gangsters, cela est quelque chose qui se fait rare dans le cinéma Français. Je crois meme que depuis "Le grand pardon" et quelques autres films réalisé par Alexandre Arcady, on en avait vus d'aussi réussit, ce qui est le cas du troisième film de Laurent Tuel, "Le premier cercle", cinéaste intérressant qui avait fait "Jeux d'enfants" avec Charles Berling et Karin Viard plutot pas mal. Dans ce film, on y suit une famille mafieux Arménienne nommé Malakian avec une introduction qui nous met dans l'ambiance filmé en noir et blanc retraçant l'histoire de l'Arménie et ses immigrants venant en France comme cette famille. Le clan vit et travaille dans les combines, vols de grosses bagnoles, cambriolages qui se fait de tradition dans la famille avec un père qui initie son fils Anton au métier et ses méthodes. La famille prépare un gros coup qui vaut des briques mais est surveillé de trés prés par la police et le fils Anton fréquente secretement avec une fille qui peut nuire à l'opération risqué qui les attendent... En voyant la page du film sur Allociné, le film est descendu par les critiques presses ce qui m'étonne un peu!! J'ai assisté à un trés bon polar réussit dans l'ensemble meme si l'histoire patine un peu sur des passages, ce film parle de mafia, de famille, avec une réalisation aux lumières et décors du Sud réussit tout comme les scènes d'actions à couper le souffle. Et puis ce film parle aussi d'amour et de relation père/fils bien raconté emmenés par Jean Reno qu'on a pas vu aussi bon depuis "L'enquete Corse" d'Alain Berbérian et dont le personnage rappelle un certain Roger Hanin dans "Le grand pardon", Gaspard Ulliel impeccable, Vahina Giocante belle et lumineuse, Sami Bouajila toujours excellent et Isaac Sharry, trés bon acteur qu'on aimerait voir plus souvent au cinéma. N'hésitez pas à voir ce film, vous ne serez pas déçus!!!
Un polar noir moyennement réussi. Les points forts sont l'atmosphère pesante qui règne tout le long du film sans avoir recours au sensationnel, ainsi que la relation père-fils se trouvant enfermée dans un cercle familial ou la criminalité se transmet de génération en génération. Le gros point faible vient du scénario qui est bien trop prévisible, absolument pas crédible et a la fâcheuse tendance de tourner en rond. Une réalisation de Laurent Tuel inégale.
Jean Reno est Milo Malakian, parrain d'une petite mafia franco-arménienne toujours dans le collimateur de la police mais jamais coincée pour ses crimes. Milo doit désormais composer avec un commissaire vigilant. Le polar de Laurent Tuel a pour lui sa modestie et la simplicité de sa mise en scène: pas d'affectation stylistique ni de violence complaisante et malsaine. On suit l'intrigue mi-policière, mi-familiale sans ennui ni passion non plus....Car sa simplicité est aussi une limite du film. On le mesure d'abord à un scénario un peu terne, ni véritablement singulier ni astucieux. Ensuite, même si le réalisateur n'a pas l'ambition de jouer les Coppola ou les Scorsese, ses mafieux à l'arménienne n'ont sans doute pas suffisamment de charisme et d'étoffe, de telle sorte que le film manque d'intensité. La description du clan Malakian évite la "frime" tout en restant assez superficielle au sens où le lien social, l'appartenance au groupe, qui font généralement l'intérêt des "familles", ne sont pas ici très significatifs.
Lauent Tuel veut nous montrer qu'il est un peu un touche-à-tout en abordant un nouveau genre, bien loin de son "Jean-Philippe" par exemple. Seulement, ça me peut pas marcher à chaque fois. Il nous embarque dans une histoire de mafia autour de relations familiales tumultueuses. Bah oui, l'un ne va pas sans l'autre, car comme on sait "l'important c'est la famille", et c'est là encore le point central de ce film. Pour donner un côté original à son film, Tuel choisit la mafia Arménienne. C'est vrai que ça change un peu des ritals pour une fois, mais le problème c'est que côté scénario : rien de nouveau. Tuel nous incorpore une histoire d'amour impossible, style Roméo et Juliette qui ne tient pas debout pour tenter de nous faire comprendre que fils de parrain, bah c'est pas facile tous les jours. Du coup, on s'ennuie rapidement, d'autant que Jean Reno ne joue pas, ou seulement en mode pépère, juste pour justifier son cachet. Alors, au travers de cette intrigue sans la moindre ambition, on est finalement plus proche du téléfilm du jeudi de TF1 que des "Affranchis".
Laurent Tuel s’essaierait t’il à tout les genres dans le cinéma ? : Jeux d’enfants et Jean-Philippe ces précédents films qui bien qu’en restant simple aussi bien dans la réalisation que dans l’histoire. Le revoici donc avec « Le premier cercle », dont il s’agit ici d’une bonne surprise tout en n’atteignant pas des sommets dans le genre. Il n’en demeure pas moins que le film reste une vaine tentative de relancer les français dans ce genre de film dont on parvenait à le faire auparavant avec les Melville, Lautner…. Il faut se pencher d’abord du côté des acteurs pour essayer de comprendre : Jean Reno, Gaspard Ulliel jouant certes de façon remarquable ne peuvent égaler les Delon, Ventura ou Gabin. Aussi par leurs jeux que par leur présence à l’écran. Mais Jean Reno dont il faut quand même avoué qu’il nous a habitués à mieux tiens la route en chef de famille, Gaspard Ulliel n’est pas non plus au top de sa forme. Alors d’où vient l’originalité me diriez vous : dans la photographie, on découvre des plans magnifique de cette belle région de France, enfin la bande son qui colle vraiment à l’ambiance du film. Le film présenté comme un thriller, Laurent Tuel dit même « j’ai voulu développer cette thématique dans le contexte du thriller » en voulant exprimer des sentiments de façon violente. Il a voulu ainsi développer les relations humaines notamment entre un père et son fils. Mais ne lui jetons pas la pierre, le scénario, bien que l’ambiance, le cadre, l’atmosphère soient respectés ne peut pousser Le premier cercle au rang de bons films de gangsters et c’est bien dommage car il ne manquait qu’une petite touche à la Olivier Marchal pour que le film puisse sortir la tête de l’eau. A côté de ça, celui-ci ne se positionnera avec les autres films qui auront tentés de jouer avec les grands sans y arriver. On regardera mais oubliera une fois le générique de fin passé.
Un film qui commence très bien ... on rentre vite dans le sujet et dans l'action... mais plus le temps passe plus le film et le scénario devient banal ... malgré de bonnes scénes et de bon acteurs ... le film aurai pu être beaucoup plus original ... dommage
Troisième réalisation pour Laurent Tuel (Jean-Philippe - 2006) qui cette fois-ci, change de registre pour le film de gangsters et le thriller à la française, en s’intéressant à un gang Arménien du Sud de la France. Si la mise en scène a du style et que les moyens ont été mis en œuvre lors de certaines séquences demandant un minimum de crédibilité, Le Premier Cercle peine à convaincre et à tenir en haleine jusqu’à la fin du film malgré cela, les interprétations sont justes et les comédiens parfaits (Jean Reno, Gaspard Ulliel & Vahina Giocante), mais l’histoire centrale ne séduit pas.
Cinéphiles, passez votre chemin! Les inspecteurs Navarro et autre Derrick peuvent dormir sur leurs deux oreilles; Un scénario totalement prévisible, sauf pour Jean Reno dont l'ennui est tellement visible qu'il avait du mal à se tenir éveillé et à articuler. Un navet français de première grandeur. Le seul intérêt de ce film (et encore!)réside dans la plastique avantageuse de Vahina Giocante qu'on ne voit malheureusement que très épisodiquement.
Le premier Cercle tient beaucoup plus de Julie Lescaut et autre Navarro que du polar à la Scorcese ou à la James Gray mais d'un côté c'est le réalisateur du tiedasse Jean Philippe qui est à la barre ce qui explique peut être le résultat. Visuellement c'est cadré et découpé comme du pure téléfilm et c'est joué sans conviction notamment par un Jean Reno guère motivé tandis que Gaspard Ulliel a beau essayé de rouler des mécaniques, il reste un gentil minet loin d'un Joaquim Phoenix ou d'un Ray Liotta de l'époque. Le final est aussi foiré, c'est anti-spectaculaire au possible et surtout complétement fauché, le salaire de Reno étant sans doute passé par là.