Derniers Avis : La Vie devant ses yeux - Page 3

Ce film est une daube absolue !!!! Tout est vide l histoire n à aucun sens ! Fuyez !!!!!!!

J'ai vraiment apprécié ce film !! Pour sa complexité, son twist ending, ses acteurs, ses décors, les flashbacks, tout ! Il est parfois un peu dur à comprendre, mais il suffit de le regarder une deuxième fois, voire une troisième, et après tout devient très clair !

Et ben mon dieu que ce film est compliqué !!...je viens de le visionné, bah si j'avais pas lu les critiques qui donne quelques explications sur cette fin ridicule et grotesque j’aurais strictement rien compris tellement c'est mal fait !!!...Mais sans déconné quesque uma thurman fou dans ce navet!! dommage il y avais du potentiel avec un sujet pareil, mais la réalisation est a chier !! trop de flash bac, il y en a tellement qu'on est complètement perdu...1 étoile pour les actrices qui s'en sorte pas mal, mais c'est très loin de sauvé ce narvallo...

On entend souvent qu’u moment de sa mort l’être humain revoit en un fragment de temps toute sa vie… Partant du postulat inverse (il verrait sa vie future, celle qu’il n’aura pas), Laura Kasischke avait écrit un excellent roman dont le film de Perelman est tiré. Il en reprend bien sûr les principales évolutions narratives mais avec une différence significative qui saute aux yeux d’entrée : là où le roman privilégiait la vie future de Diana avec son mari et sa fille, le film se centre la plupart du temps sur le passé et sa relation avec sa camarade de classe. La fin est particulièrement représentative de ce changement de point de vue puisque là où Laura Kasischke procédait par sous entendus (très réussis sur le plan littéraire), Perelman rend la situation totalement explicite en montrant les scènes du carnage initial et en montrant une « vérité », celle de l’image, irréfutable et ne laissant plus de place à l’imaginaire… C’est du coup toute la poésie qui s’en va en même temps que la force principale du récit. C’est bien dommage car, cette restriction importante mise à part, le reste n’est pas mauvais du tout au niveau de la réalisation, du jeu des acteurs (même si Uma Thurman n’est pas tout à fait à l’aise dans le rôle de Diana adulte) et surtout d’une « atmosphère » très réussie où l’on retrouve parfois les sensations éprouvées à la lecture du roman…

Superbe, mais surtout bouleversant.
Ce film est une mélodie, qui se répète invariablement, et qui chaque fois, éclaire d'autres points de vue.
Alternant entre les scènes passées et actuelles (ou futures c'est selon) le choix de 2 actrices pour incarner l'héroïne lors de ces 2 périodes aide vraiment à la compréhension. Evan Rachel Wood y est vraiment touchante et magnifique dans le rôle de cette jeune fille de banlieue, orgueilleuse et fragile, qui s'émancipe et se heurte à la vie et ses désillusions.
C'est un puzzle, que l'on recompose peu à peu, et qui éclaire la révélation que l'on perçoit progressivement. La scène finale, qui résume le film et répond enfin à nos interrogations est très réaliste, dure mais touchante et belle malgré tout.

bah a fond dedans jusqu'a la fin ou je me suis posée plein de question ! a voir tout de meme !

Le film est très subtile, faut vraiment le suivre et sa demande parfois même une deuxième vision. Et le secret il est vraiment bon à savoir ou pas ? En faite c'est pas trop une question de secret, c'est quand tu regarde tout le film que tu te rend compte que tout tourne pas rond. C'est surtout une question de percevoir ce que tu vois à l'écran.
Quoi que oui le secret est là mais il faut bien regarder le film et comprendre les choix de la jeune fille avec sa meilleure amie. Et puis on vois la jeune fille des années après jouer par Uma Thurman. je pense que tu devrais le regarder ça vaut le coup si tu veux bien te bouger les neurones. Les scènes avec l'étudiant qui pète un plombs et met le carnage dans le lycée quand elle y revient des années plus tard jouer par (Uma Thurman), c'est très bien mener. Et la jeune jouer par Evan Rachel Wood est vraiment super dedans. Bonne intrigue qui faut surtout percevoir.

Très beau film, avec deux actrices fantastiques, qui nous donnent deux visions du personnage du Dana, une adulte et une jeune. Le film nous met en tension dès le début, le rythme se ralentit un peu après, mais la fin nous laisse bouche bée. Ce n'est pas le genre de film où on s'attend à une fin aussi remarquable. J'ai vraiment beaucoup aimé, et ça m'a vraiment ému aussi. Dommage que, par moments, le rythme soit trop décousu, on ne se perd jamais, mais il faut s'adapter. Cela reste un beau film, qui nous donne une autre vision de l'atrocité des fusillades dans les écoles américaines.

Un film qui gagnerait à traumatiser plus le spectateur : il n'y a que des bonnes pistes, mais l'on est frustré à beaucoup de niveau : l'assassin n'en a pas le profil (il ne fait vraiment ado perturbé ou instable), on ne s'identifie à aucun personnage, on ne reste pas assez longtemps ni dans le temps soit-disant présent et le temps soit-disant passé, on se sent toujours abusivement interrompu quand on commence à rentrer dans une scène. L'idée du montage est donc bonne mais mal gérée. Par ailleurs on perd à ne pas voir plus Uma Thurman, qui nous donne un aperçu de luminosité dont on n'a pas le temps de profiter. Le film est néanmoins tout à fait honnête, ne visant pas tellement plus haut que son niveau. En cela il mérite toute notre sympathie.

14 . 5 / 20 Ce film complexe détient autant de qualités que de défauts. Pour commencer , les brillantes prestations de nos deux actices (Uma Thurman - Evan Rachel Wood) font une grande partie de la sensibilité du film qui est accentué par une photographie pétillante , des dialogues touchants , envoutants et une mise en scène à couper le souffle. L'ambiance qui en ressort au générique de fin se montre douce , agréable ou même mélancolique. Mais le tout reste assez confus. Nous avons à faire à un rythme plûtot lent , un ennuit présent dans la deuxième partie qui nous ferait croire à un essouflement du scènario. Aussi , L'apparition de nombreux Flash back tous au long est très génant , la fin est trop focalisée sur le drame passé ce qui fait allusion à beaucoup de répétitions (encore la faute des retours en arrières qui se ressemblent). Tous celà est dommage , puisque le reste du final est réussi , très surprenant , pas un instant prévisible , et celui ci est à revisionné pour mieu comprendre. Je pense quand même que les fans de drame intenses seront déçus , l'émotion est présente mais peu être mal interprétée , je ne sais pas trop , ce qui est sur , c'est que sa reste pour moi un bon film dans l'ensemble , et je redonne un merci aux deux actrices. La vie devant ses yeux vous envoutera peux être par son aspect banal , sa mise en scène originale et comme je l'ai dit , ses dialogues poignants et touchants.

Un bon film qui est bien réalisé et assez bien joué, plutôt divertissant dans l'ensemble.

1/5 pour ce pseudo drame catastrophiquement interprété par U. Thurman (même elle ni croit pas !). 1/5 pour l'interprétation remarquée de E. R. Wood. Le scénario aguicheur des premières minutes transcrit rapidement un essoufflement d'un film prétentieux au contenu (totalement vide). On attend (patiemment) les 1h30 pour découvrir une absurdité complète : qu'aurais-je vécu si j'avais vécu !!! (mdr ... désolé). L'idée est bonne, mais pitié ! pas traitée de la sorte. A éviter réellement !!!

« La vie devant ses yeux » est un film que je voulais voir puisqu’il traite d’un sujet très douloureux qui me révolte et m’inquiète : l’assassinat général dans des écoles par un étudiant. Heureusement que je ne m’attendais pas à grand-chose puisque le résultat final est moyen, en tout cas sur le traitement du thème. Si les scènes dans l’école sont puissantes, le sujet traité est trop court, se concentrant plus sur la mémoire d’une ancienne élève devenu adulte que la reconstruction d’une vie juste après l’évènement ! De plus, on aurait aimé en savoir plus sur l’élève qui tue, comme par exemple, découvrir plus sa vie d’avant, pour par exemple nous amener à de la pitié avant de voir ses intentions véritables. La réalisation, les acteurs et les transitions sont sublimes et l’histoire n’hésite pas (à tort ?) à aborder d’autres thèmes comme l’amitié (bien traité !). Une fin un peu confuse où chacun à sa propre opinion ce qui est à la fois passionnant et frustrant.

La vie devant ses yeux
Un film de Vadim Perelman

Briar Hill est une petite ville paisible du Connecticut. Elle ne l’a pas toujours été. Il y a une quinzaine d’années, un massacre inexpliqué s’y est déroulé, au cœur du lycée.

Dans le Hillview High School, une fusillade avait alors enlevé la vie à de nombreux lycéens. Une fusillade comme les établissements américains en sont malheureusement parfois le théâtre, horrible et imprévisible, et qui plongea toute la petite communauté dans la stupeur. Diana McFee, adolescente au fort tempérament, avait perdu ce jour-là une grande partie des membres de sa classe, échappant de justesse au massacre, dans des circonstances assez mystérieuses.
Bien des années plus tard, Diana mène une existence confortable, entre les cours sur les beaux arts qu’elle enseigne à l’université, son époux, lui-même professeur émérite, et sa fille, Emma, une adorable petite fille, rebelle à ses heures, et qui lui rappelle sa propre enfance. Sa vie est bien remplie, raisonnablement active, et n’est pas dénuée d’imprévus, lesquels ont souvent Emma pour origine. Il n’y a guère que cette fameuse semaine, au cours de laquelle le massacre perpétré par l’un de ses camarades de classe, Michael Patrick, est remémoré, qui lui pose problème. Durant cette semaine, Diana est envahie par des sentiments contradictoires la faisant douter, au point où elle en vient parfois à éprouver des difficultés à discerner le monde réel des visions issues de son imagination. Sans cela, son existence serait on ne peut plus normale, bercée par un train-train douillet. Et mérité, serait-on tenté d’ajouter, au regard du traumatisme qu’elle a traversé.
Au cœur de sa petite banlieue proprette, Diana n’a pas pu effacer le souvenir de cette journée, pas plus que celui du visage de ses camarades enlevés par la démence de l’un des leurs. Le metteur en scène a illustré ce passé qui ressurgit par des flashbacks aussi réels que possible. Le passé remonte en effet à la surface, mais il le fait progressivement, paraissant plus compliqué à chaque flash.
Vadim Perelman a construit son film sur deux niveaux, qui fonctionnent en parallèle, le second (l’adolescence mouvementée de Diana) dévoilant à chaque scène un peu plus le premier (Diana adulte), et la vérité. Quand l’imagination de Diana se met à lui jouer des tours, la ville est au cœur des préparatifs de la cérémonie de commémoration de ce jour noir. Ses troubles vont s’amplifiant, le film évoluant alors aux frontières d’un autre genre, qu’il maîtrise peut-être moins. De thriller, La vie devant ses yeux se mue alors en film à tiroirs lorgnant sur le Fantastique. Certaines scènes pourront paraître plus conventionnelles, mais n’empêchent pas le film de monter d’un cran dans la tension.
Jusqu’au final, qui propose une relecture intégrale de l’histoire. La comédienne Uma Thurman est parvenue à faire oublier son physique de mannequin, au profit d’un personnage blessé, âbimé par la vie, qui peine à trouver un équilibre. Perdue au cœur d’une conscience vacillante, sa perception du monde qui l’entoure est brouillée ; paradoxal, quand les souvenirs de son adolescence paraissent si claires, si précis…

Un film très décevant, je m'attendais à beaucoup mieux. Des flashs-back répétitifs, une lenteur accablante, un scénario passe partout. Bref, un film a petit budget sans beaucoup d'intérêt qui vous fera perdre votre temps. Passez..