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Panta G
9 abonnés
22 critiques
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1,0
Publiée le 26 mars 2010
Film prétentieux, ennuyant, plastiquement pompeux, certainement un beau roman à la base, masi dévoyé par un scenario insipide ou on voit clairement le scenariste crier "au secours, je ne comprends plus moi même" . 1 étoile pour Uma . Un mélange de pathos hollywoodien et de prétention indépendante. A oublier.
A la fin du film on est perplexe, on ne comprend pas tout, La vie devant ses yeux est un film qui sur le papier peut être bon mais qui au final est raté!!! Dommage!!!, ce qui sauve le film est l'interprétation de Evan Rachel Wood. une petite déception Uma thurman qui est souvent à l'ouest dans le film et on a du mal à comprendre son comportement un peu trop passif !!!
Allez voir ce film, n'écoutez pas ou ne lisez pas les critiques professionnels blasés et grassement payés... Sont ils partis avant la fin ou se sont ils endormis ? Ou bien alors faute professionelle ? Trés bon film, qui prête à réfléchir, surprenant, dérangeant, et malheureusement d'actualité depuis hier et le massacre effroyable en Finlande... Acteurs trés trés bons, crédibles, histoire originale, qui donne envie de lire le livre... et de le revoir une deuxième fois.. On y repense souvent des heures et des jours aprés l'avoir vu... Peut-Etre le film de la rentrée 2008 ? Faites confiance aux spectateurs...
ca commence plutot "bien" avec cette tuerie..on pense qu'une etude du comportement va nous etre presentée mais le tout ne tient pas vraiment la route et au final, on reste sur sa faim (fin).
Pour débuter : je souhaite que l'abruti qui a raconté la fin du film sur Allociné dès la première phrase de sa critique soit pendu par les pieds jusqu'à ce que mort s'ensuive. Du coup je ne saurais jamais si j'eus mieux apprécié l'œuvre en découvrant la surprise finale, pas dégueulasse d'ailleurs. Pour le reste, si le propos est on ne peut plus honorable et que « La Vie devant ses yeux » nous offre quelques jolis moments, difficile d'être totalement sensible à un drame se complaisant trop souvent dans la niaiserie, voire dans le New Age de mauvais goût, à l'image d'un délire « rococo-Malickien » régulier et pas franchement convaincant. Je comprends parfaitement que l'on essaye de donner une patte visuelle à son titre, c'est même très estimable. Mais encore faut-il le faire avec un minimum de maîtrise et de sens, parce que ces fleurs filmées face au vent de façon récurrente, ce n'est juste pas possible. Enfin, si la partie consacrée à l'adolescence de Diana est globalement réussie, c'est beaucoup moins vrai pour celle s'intéressant à sa vie d'adulte, souvent lourdaude, niaise voire un peu ennuyeuse. A l'image de l'interprétation d'ailleurs : Uma Thurman n'est pas vraiment pas terrible, totalement éclipsée par Evan Rachel Wood, exceptionnelle. Bref, de belles idées et un postulat fort ne suffisent pas toujours à faire un bon film : « La Vie devant devant ses yeux » en est un parfait exemple.
La Vie Devant Ses Yeux est un film moyen. Un drame aux frontières du fantastique malheureusement sous exploité avec des séquences répétitives qui finissent par barber, et des flashbacks incessants qui lassent très vites avec du coup un rythme et un montage non maîtrisés qui rendent l’œuvre presque longue en dépit de sa courte durée mais reste cependant intrigante et pas totalement mauvaise. L’histoire débute, dans une bourgade américaine où deux adolescentes se rendent aux toilettes au moment où débute une fusillade dans leur lycée. Le tueur, un de leurs camarades, les débusque et leur propose de désigner elles-mêmes celle des deux qui mourra. Quinze ans plus tard, alors qu'un hommage aux victimes de la tuerie se prépare, une mère de famille (l'une des deux jeunes filles ?) est hantée par des souvenirs traumatiques. Cette petite œuvre est au final quelque peu plus compliquée qu’il n’y parait. Et le réalisateur évoque en montage parallèle l’amitié des deux adolescentes dans les mois qui précèdent la tuerie et la vie brisée d’une rescapée, interprétée avec sobriété par Uma Thurman. A-t-elle demandé au tueur de lui laisser la vie sauve, condamnant ainsi son amie à mort ? La réponse ne sera dévoilée que tardivement. Le récit aura eu, entre-temps, la faculté d'agir comme un précis de décomposition, déroulant un tragique destin de femme dans une Amérique aussi puritaine que violente. D’après certains lecteurs, le film préserve l’écriture sensorielle du roman éponyme de la romancière américaine Laura Kasischke, inspiré de la fusillade de Columbine, et l'amplifie jusqu'à la métaphore. Le métrage dispose d’une très belle bande son composée par le non moins excellent James Horner l’un de mes compositeurs favoris, avec des morceaux mystiques et très beau qui colle bien à l’ambiance de l’œuvre mais n’est malheureusement pas assez présente. Le cinéaste méconnu Vadim Perelman signe ici son second long métrage en se vautrant quelque peu dans son montage et dans le rythme du film mais pas dans sa réalisation plutôt belle à voir. Pour moi le film est sauvé de justesse par sa belle bande son bien que finalement pas assez présente comme dit au-dessus et par son casting dont les présences n’ont rien de mineur notamment les électrisantes Uma Thurman et Evan Rachel Wood. Avec aussi Eva Amurri, Gabrielle Brennan, Oscar Isaac. A vous de juger si vous avez envie de voir la vie devant ses yeux. Ma note : 5/10 !
Il n’y a pas eu d’erreur de casting, il n’y a pas un mauvais réalisateur, la photo et la musique son d’une pureté (d’ailleurs je dois trouver la BO)
Alors ou est le problème…, ? Dans le scripte et le montage. On dit souvent d’un film qu’il y a des longueurs, ici au contraire il manque bien 20 minutes.
Pour s’eux qui n’auraient pas compris tout le film, bien lire le titre du film ca aide a la compréhension.
"LA VIE DEVANT LES YEUX" joue la linéarité classique les 10 première minutes du récit, pour éclater et dissoudre ses fragments en cours de route. Ce film utilise des repères temporels inversés comme l'avait si brillament exploité "L'ECHELLE DE JACOB" en 1991, pour détraquer la "boussole" de l'objectivité du spectateur. D'où cette sensation d'être aspiré dans un fait divers tragique dont on ne possède pas les clés pour comprendre et prévoir le dénouement sanglant. Perelman en marionnettiste diabolique joue avec les fils de la logique du spectateur, en placant le "présent" temporel de l'histoire dans un future incertain et fantasmé. Savoir que l'on va mourrir ouvre des portes sâcrées et des perceptions enfouies en l'homme, et permèt à celui-ci de reconsidérer l'instant présent dans toute sa pureté et sa singularité magnifique. C'est du moins ce que fait ressentir ce film vibrant. En cela, la profondeur de l'instant présent en tant qu'expérience mentale individuelle, totale et subjective, est traduite à l'écran par un jeu d'images ralenties et d'effèts multipliants les gros plans sur les "détails" quotidiens, comme les pollens des fleurs en suspensions dans l'air, alterné avec des mouvements flottants de caméra prés des corps dénudés. Les peaux étant effleurées par la caméra telle la main de dieu ou carressées par celle du diable. Cette mécanique troublante du visuel est mise en place pour déformer la matière du réèl. La scène de la piscine, dont le fluide lumineux et bleuté symbôlise le liquide amniotique, fait cohabiter la mort et la conception, dans le "bain originel" de la vie. Cette visite des dernières minutes de vie d'une ado pressentant sa mort, se lit comme son testament composé de ses regrèts et de ses remords. A cet effèt, Diana au lieu de revivre son passé, s'échappe dans un future reconstitué fantasmagoriquement de ses désirs assouvis et de ses blessures intimes corrigées, pour livrer son méa-culpa vis à vis d'elle-mème.
Dommage que la fin nous laisse sur notre faim. On comprend assez vite dans le film que tout la vie d'Uma Thurman est une vision à condition d'avoir vu déjà des films qui utilise le même genre de ressort. Donc c'est du déjà vu, mais ici très mal mis en place. La réalisation est pompeuse, les trop nombreux flash-backs rallongent la sauce sans interêt. La fin est amenée d'une façon grotesque. Je comprends les commentaires d'incompréhension de nombreux internautes. Un film plutôt raté à mon goût et c'est encore plus rageant à mon avis, alors qu'il y avait un réel potentiel. Par contre un grand bravo aux 3 actrices (Uma Thurman, Evan Rachel Wood, Eva Amurri).
J'étais vraiment tenté de voir ce film malgré les critiques négatives! Malheureusement j'ai vite constaté que ce film n'étais vraiment pas une réussite! D'une part ce film est super brouillon, on passe d'une séquence à l'autre de manière anarchique! Ensuite il est lassant de voir plusieurs la même scène et a final il n'y a pas de vrai interet à tout ça! Même la fin est très décevante on nous balance le fin mot de l"histoire mais je dois dire que cette conclusion me laisse perplexe! Pour finir même uma thurman est un peu décevante elle semble létargique tout le film Alors pourquoi je met une étoile malgré cet avis négatif?? Tout simplement car je tiens à noter la justesse de jeu de la jeune evan rachel wood, ensuite il y a "quelques" belles prises de vues je dirai et ensuite car il faut dire que j'ai vu pire !!
C'est un beau film, calme, paisible du début à la fin avec un beau cadre et une belle ambiance. L'histoire est elle aussi belle et tragique, mais la fin reste très flou...
J'ai beaucoup aimé ce film, il ne m'a pas laissé indifférente et m'a vraiment touché. C'est un film sans prétention qui vaut la peine d'être vue. Uma Thurman est au top !
Malgré une entame intéréssante, le film se perd dans un récit inconsistant,alourdit par toute une série de flashbacks qui trouve son apogée dans une fin quasi incompréhensible.
Un film où les gamines passent leurs temps à parler de mecs et que la mère Uma Thurman passe son temps à s'inquiéter cela vous dit? Et si je vous dit qu'en plus la fin qui est l'élément qu'on attent le plus dans le film alors que c'est l'élément le plus loupé où on sort de cet daube totalement frustré de ne pas avoir compris l'essentiel. Alors cela vous dit toujours?