Derniers Avis : Le Guerrier silencieux, Valhalla Rising - Page 13

Ce qui m'a dérangé avec ce film , c'est qu'en voyant l'affiche et en lisant le synopsis on s'attend à une fresque épique , et quand on regarde le film , on se rend vite compte qu'il s'agit d'une petite production ultra cheap . Alors je dis pas que c'est mauvais , il y a plein de bonnes choses , mais malheureusement ces bonnes choses sont plombées par une narration un peu poussive ( pour ne pas dire pompeuse ) .

Ennuyeux, lent, ennuyeux, mauvais, ennuyeux, prétentieux, ennuyeux, attention pas le voir.
Dans mon vocabulaire j'ai les capacités de construire des phrases, Nicolas Winding Refn nous à également montré qu'il savait réaliser des films (Pusher, Bronson qui commençait déjà à être bizarre, puis l'excellent Drive).
Ici rien de tout ceci, soit il à quitté notre monde, soit il est mal entouré, mal conseillé, mal dormi, mal je sais pas quoi mais y'a un truc (même plusieurs) qui vont pas.
Ne pas se laisser influencer par les pseudos critiques cinéma qui intellectualisent les silences ou interprètent, tels des philosophes, le moindre mouvement de caméra (alors que quand on trébuche ou on rate une marche le résultat peut être le même).
Après tout qu'est-ce que le métier de critique ????
Théorie personnelle : à l'image des arbitres de football qui sont des frustrés car pas assez bon pour être joueur eux-mêmes, ils se sont rapprochés de leurs rêves de la seule manière possible ; ils sont sur le terrain, mais avec de la rancoeur et de la haine dans le regard et ils foutent en l'air la plupart des matches par leur incompétence.
Un parallèle avec les critiques cinéma qui ne sont au final que les arbitres entre les productions et les consommateurs que nous sommes, sans compétences ni expérience dans le domaine (Grosse différence avec les critiques littéraires qui ont la plupart du temps une carrière d'auteur en parallèle de leur activité de critique qui devient alors plus respectable puisqu'ils y sont soumis eux aussi, dans le cinéma à part Axelle Ropert je n'en voit pas d'autre).
Ils décident d'ériger en chef-d'oeuvre des films au budget de 3 euros et descendent (quasi) systématiquement les blockbusters. Même si le talent n'est pas proportionnel à la taille du portefeuille il ne faut pas tomber dans le travers opposé, l'argent ne pourri pas tout non plus.
Comment ces pseudos intellectuels n'ayant rien créer de leur propre chef peuvent-ils être objectif ? Comme les arbitres, ils sont guidés par leur jalousie, leur frustration et déversent leur fiel afin de pouvoir dormir tranquille sans brûlure d'estomac............
Un peu à mon image qui laisse parler la haine que j'ai envers ces critiques de m'avoir fait perdre 1h30 de mon temps pour regarder ce film de M...... parce que oui je l'ai regardé en entier en plus. Quand il commence, on se dit c'est pas possible il va se passer un truc, et bien non, jamais à aucun moment. Ah si, on est soulagé à la fin du générique, ça y est c'est fini.
Essayez par vous même si vous ne me croyez pas mais le tarif après visionnage c'est suivi psychologique à vie ou alors post d'avis de ce genre, aigri et rancunier.

que c'est lent, que c'est ennuyeux, que c'est prétentieux. fan absolu du travail de Nicolas Winding Refn, je considère ce guerrier silencieux comme une erreur de parcours. fort heureusement il y a drive qui le remet en course.

Nicolas Winding Refn, de Pusher à Drive en passant par Valhalla Rising, a toujours voulu faire plus qu'un film : la trilogie Pusher, en plus d'être un véritable coup de massue et une claque cinématographique, est aussi un quasi-documentaire ultra-réaliste sur les bas-fonds de Copenhague, Bronson, en plus d'être une expèrience à part entière, ce qui peut aller dans un sens comme dans un autre, était un biopic violent et sans conscession sur un personnage presque émouvant, et quand à ce Valhalla Rising, Refn, en plus d'avoir livré une fresque lente mais barbare, réalise ici un oeuvre qui part dans un experimentalisme qui touche le métaphysisme, et c'est dire à quel point l'oeuvre est déroutante, surtout flanqué d'une telle campagne de publicité qui apparement ne se fixait comme seul but de toucher le maximum de public (ce qui ne servait pas à grand-chose vu son budget avoisinnant les 5 millions de dollars) et de faire passer le film comme un film d'action sanglant qui multiplie les effusions gores avec une bande-annonce mensongère, au lieu de vraiment certifier le vrai caractère du film, car Le Guerrier Silencieux est une oeuvre qui préfère la contemplation à l'action, le silence aux dialogues, le vide au trop-plein...

De ce point de vue-là, l'expèrience se révèle aussi extrèmement exigante par rapport au spectateur, lui pose des questions sans réponses, le sort de son rôle passif, l'emmène jusqu'au bout du voyage par de long-plans magnifiant des décors inquiètants s'étendant à perte de vue, des choix esthetiques engagés, un personnage principal muet devenant peu à peu une sorte de guide spirituel pour les voyageurs et par le fait pour les spectateur, mettant en valeur un Mads Mickelsen plus fascinant que jamais, et enfin une bande-son atmosphèrique, au début discrète, mais qui met tous les sens en éveil.

Ce voyage, comme celui qu'entreprennent les vikings vers la terre Sainte dans le film, se dirige vers l'inconnu et recquiert donc qu'on y accroche jusqu'au bout, qu'on accepte de voir quelque chose qui nous échappe, qu'on accepte de voir quelque chose qu'on est pas obligé de comprendre, et surtout qu'on accepte de se lancer dans une expèrience souvent mystique. On ne peut pas dire non plus que la lenteur des actions n'autorise pas à Refn quelques montées de violence sauvage (compilées presque en totalité dans la bande-annonce) et dès les premières scènes, cette violence rebutera surement les plus sensibles, éloignant encore une autre catégorie de spectateurs, qui quitteront le voyage avant même la première partie, le film étant divisé en six chapitres : "Le courroux", "Le guerrier Silencieux", "Les hommes de Dieu", "La terre sainte", "Les enfers" et enfin "Le sacrifice", cette structure étant un des rares repère donnés au spectateur.

Et quand on arrive à entrer dans le trip, c'est-à-dire supporter les montées de violences, la lenteur des actions et le manque de dialogue, le film est d'autant plus frustrant qu'il finit sur une impasse, aux interprètations nombreuses mais Nicolas Winding Refn nous aura tellement cuisiné à toutes les sauces son myticisme et son métaphysisme que le plat peut paraître souvent plutôt indigeste, car le cinéaste veut nous y faire voir beaucoup de chose, une réflexion sur la mort, une réflexion sur la religion, mais il ne nous encourage pas le moins du monde avec la façon dont il présente l'ensemble, très décourageant en ce qui concerne de donner un sens à ce que l'on voit et ce qu'il nous montre.

De plus, le guerrier Silencieux se révèle être une expèrience plutôt éphèmère, et dès qu'on est arrivé à suivre "activement" jusqu'au bout le voyage, ce qui peut nécessiter tout de même plusieurs visionnages, ce même voyage est irrémédiablement terminé et revenir dessus n'aurait qu'assez peu d'intêteret, si ce n'est pour admirer une seconde fois les décors magnifiques du Danemark ou la performance de Mads Mickelsen.

Conclusion : pour enfin pouvoir fixer un avis objectif sur ce film, je dirais que l'expèrience, que je ne retenterais pas une deuxième fois, n'a surtout pas été une perte de temps même si recommander l'oeuvre à un spectateur non averti n'est pas recommandable car il n'y verra qu'une odyssée lente sans intérêt sur des vikings déprimés en pleine mise en abîme, attendant tranquillement la mort dans des paysages boueux rappelant tout sauf la Terre Sainte...

Visite du "clan des vikings déprimés". Long (je ne déteste pas les films lents), lourd et sombre. Je n'y ai pas du tout trouvé la "mystique" du guerrier silencieux et la "beauté des paysages" (quelle horreur !) que les critiques Presse encensent.

Ce Valhalla Rising est une œuvre à part dans le genre du film de viking. Pas de drakkar, pas de casque avec des cornes ni de grande bataille épiques, juste une œuvre visuelle. Dotée d'une photographie de toute beauté le film intrigue, dérange même, par sa mise en scène. D'une extrême violence par certains moments, la grande majorité du rythme du film est d'une extrème lenteur, au point de pouvoir perdre de nombreux spectateurs. Bien que l'intigue soit les différentes étapes de la rédemption du personnages principales, incroyablement interprété par l'inquiètant Mads Mikkelsen, et que le film soit imprégnié de mysticisme du début à la fin on fini par se perdre dans une épaisse brume à chercher un sens à tout cela. Véritable expérience cinématographie pour certains, film viking ennuyeux pour les autres, Valhalla Rising ne laissera très clairement personne indifférent.

Nicolas Winding Refn est un réalisateur très intéressant il a acquit un véritable talent dans la mise en scène qui s'est exprimé ici et confirmé dans "Drive". L'ambiance du film nous promet un petit chef d'oeuvre avec ce personnage énigmatique qu'est One-Eye, ne décrochant pas un mot l'acteur Mads Mikkelsen a indéniablement du charisme à revendre et porte sur ses épaules l'intégralité ou presque du film. Passé l'interprétation des acteurs et ses paysages magnifiques il n'y a hélas plus grand chose. Ce scénario assez vide ne me dérange pas vraiment puisque Nicolas Winding Refn nous a prouvé avec son "Drive" que sans scénario ou presque il n'était pas impossible de créer une petite perle. Non, ici c'est plus ce rythme lourd et pesant qui me dérange, cette succession de scènes déconcertantes ou l'on s'interroge mais où l'on reste sans réponse. Ce guerrier silencieux est indéniablement intriguant mais nous ennuie profondément passé la moitié du film.

Se lancer dans ce film est un risque... "Valhalla Rising" est en effet une expérience visuelle et intellectuelle exigeante pour le spectateur. Mais qui ne tente rien... Car d'une beauté formelle (et sonore) à couper le souffle, cet objet cinématographique singulier ne manquera pas de vous d'intriguer, se révélant envoûtant (souvent), déroutant (parfois) mais jamais rebutant. A voir aussi pour l'interprétation habité de l'ensemble des acteurs.

On a souvent associé le nom de Kubrick au réalisateur danois Nicolas Winding Refn. Or dans "Valhalla Rising" cette comparaison est plus que jamais mis à l'évidence étant donné que durant la vision on ne peut s'empêcher de penser à "2001". Mais quel est le rapport entre un film de science fiction et un film de vikings? Simplement le côté expérimental de la mise en scène ainsi que l'ensemble énigmatique que forme ce métrage. L'on suis l'odyssée d'un guerrier viking nommé One-Eye qui, après s'être échappé de la tribu ou il était retenu comme esclave (et aussi après avoir massacré sauvagement ses pourfendeurs) se retrouve livré à lui même accompagné d'un jeune garçon. Après avoir rencontré des soldats chrétiens en pleine croisade vers Jérusalem, les deux protagonistes rejoindront leur rang et feront un voyage vers l'enfer...
Le rythme général est extrêmement lent et c'est ce qui favorise l'ambiance envoutante du film. Refn prend soin de filmer les paysages, les expressions de visages et autres actions. Mais ce qui est d'autant plus intéressant est de voir ce lien affectif qui opère entre One-Eye et le jeune garçon qui, par la force du regard, parviennent à se comprendre. Le final fait énormément penser à un autre film du réalisateur, à savoir "Pusher II", dans lequel Mads Mikkelsen se "sacrifie" pour sauver son "fils".
Une nouvelle fois, Nicolas Winding Refn surprend en nous plongeant dans une odyssée psychédélique et en détournant les codes de ce genre de film.

Encore une merveille de mise en scène pour Winding refn qui nous plonge directement et sans tourner autour du pot dans un monde barbare cruelle, le film comporte quelques scènes bien "dégoutante".

La narration est particulière et ne plaira pas à tout le monde, mais ce film est réalisé avec du style.

Un film qui demande une participation évidente du spectateur, car il faut le ressentir.

Que les choses soient bien claires ; pour aimer ce film, il faut savoir se "masturber" la tête. Ce n'est pas mon cas, je trouve donc que ce film est très très très² mauvais. Il est comparable à l'art contemporain : vide, et chacun y voit ce qu'il veut y voir. Moi je n'y ai rien vu.

De beaux décors... et c'est tout. Pas de dialogue, il ne se passe rien le film défile, semble durer des heures, on somnole, on se dit qu'il va se passer un truc mais non rien. Au final, une grosse perte de temps.

Difficile de mettre une note pour un film dont on a compris si peu de choses. Tout est affaire de sensations, et la façon dont est raconter l'histoire suffit à conseiller au gens averti de voir ce film

nul

Un immense choc cinématographique... Le meilleur film de 2010!!!!