Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Parisien
par Michel Valentin
Et pourtant… « The Killer » version 2024 constitue plutôt une bonne surprise. Car John Woo tente de faire du John Woo de la grande époque, à grand renfort de fusillades intenses, d’exaltation de l’honneur et de l’amitié, et en reprenant certains des tics cinématographiques qui ont fait sa renommée et fonctionnent comme des madeleines de Proust…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"The Killer" 2024 reflète son époque, dans un film aux qualités techniques impressionnantes, un rien complaisant sur sa durée, efficace, mais vite oublié.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Si son baroque suscite parfois un sourire, The Killer n’est certainement pas une comédie. Face à un film à ce point hanté par le pardon biblique, saluons plutôt la résurrection (en espérant qu’elle ne soit pas éphémère) d’un maître du cinéma d’action.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Quand il les rattache [les scènes d’action] à une perception obstruée, différée ou faussée, Woo démontre encore son habileté de metteur en scène. Pour le reste, il l’emporte à l’esbroufe. Plaisir coupable, à picorer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Pierre angulaire du cinéma d’action des années 80, The Killer revient. Mais la version de 2024, pourtant aussi réalisé par John Woo est bien plus banale.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
John Woo récite ses gimmicks dans un spot touristique aux antipodes de l’atmosphère poisseuse du Hong Kong des années 1980. Restent quelques fulgurances, auxquelles on s’accroche autant que possible.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Si The Killer 2024 est divertissant et a des qualités certaines (notamment ses acteurs principaux), un manque de finition dans les scènes d’actions ou dans son scénario rend ce remake dispensable.
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Mieux vaut revoir l’original.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ce remake plat, sans émotions, à mille lieues du John Woo lyrique et inspiré, aura peut-être le mérite de faire redécouvrir le chef-d’œuvre original.
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Cette version édulcorée, voire inoffensive, de "The Killer" se rapproche plutôt, et ce malgré une quantité d'idées visuelles et d'expérimentations bienvenues, de l'embarrassant "Blackjack" que le maître signait en 1998...
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
John Woo réalise un remake décevant de son film culte. L’originalité et l’audace de l’œuvre d’origine laissent place à un produit convenu et sans âme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Fabrice Fuentes
Si les corps sautent, tombent, font volte-face et saignent dans The Killer, cette libération de forces et de mouvements s’avère en pure perte.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
A l’image de son casting, cette série B ressemble aux nanars qu’usinait le producteur Luc Besson dans les années 2000, rehaussée par les brefs éclairs de savoir-faire d’un Woo aux fraises.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
John Woo signe lui-même le remake de son polar hongkongais, transposé dans un Paris de carte postale avec Omar Sy qui se bat comme un manche.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. J.
Rien, pourtant, qui puisse faire oublier les nombreux couacs : casting international mal accordé, scénario au rabais, clichés et laideur visuelle au cœur d’un Paris livré sur un plateau.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A Paris, le cinéaste hongkongais tente de refaire son film culte avec, cette fois, Omar Sy. Mauvaise idée.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le remake par John Woo de son chef-d’œuvre est un bâclage en tout point qui ne mérite pas d’usurper la légende de l’original.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Le cinéaste hongkongais tient sa ligne de vieux maître déchu luttant contre l’oubli avec le remake désespérément vide et transparent de son thriller de 1989.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Du beau monde au service de pas grand-chose… Les dialogues volent bas, l’émotion est aux abonnées absentes et le résultat souffre de la comparaison avec l’original.
Ouest France
par Sylvestre Picard
Le résultat ressemble plus à une de ces sous-séries B usinées par Luc Besson qu'à du pur, du beau Woo.
Première
par Sylvestre Picard
John Woo remake lui-même son plus beau film, 35 ans plus tard et à Paris. Autant arracher le sparadrap d'un coup, le résultat est désastreux : The Killer 2024 ressemble à un film Europa Corp des années 2000 (fun fact n°1 : Omar Sy joue un flic nommé Sey), où le style de Woo n'apparaît que par apparitions fugaces et frustrantes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Pendant deux heures, les dialogues volent bas, l’émotion absente et le résultat souffre de la comparaison avec l’original. Le réalisateur répète en effet ses motifs en multipliant les fusillades au ralenti, en oubliant qu’en trente ans, des blockbusters comme « John Wick » ont dynamité un style qu’il a en partie inventé.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par C.B.
Ce polar d'action est produit sans grande saveur, tout semble déjà vu.
Le Parisien
Et pourtant… « The Killer » version 2024 constitue plutôt une bonne surprise. Car John Woo tente de faire du John Woo de la grande époque, à grand renfort de fusillades intenses, d’exaltation de l’honneur et de l’amitié, et en reprenant certains des tics cinématographiques qui ont fait sa renommée et fonctionnent comme des madeleines de Proust…
Franceinfo Culture
"The Killer" 2024 reflète son époque, dans un film aux qualités techniques impressionnantes, un rien complaisant sur sa durée, efficace, mais vite oublié.
Télérama
Si son baroque suscite parfois un sourire, The Killer n’est certainement pas une comédie. Face à un film à ce point hanté par le pardon biblique, saluons plutôt la résurrection (en espérant qu’elle ne soit pas éphémère) d’un maître du cinéma d’action.
Cahiers du Cinéma
Quand il les rattache [les scènes d’action] à une perception obstruée, différée ou faussée, Woo démontre encore son habileté de metteur en scène. Pour le reste, il l’emporte à l’esbroufe. Plaisir coupable, à picorer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Pierre angulaire du cinéma d’action des années 80, The Killer revient. Mais la version de 2024, pourtant aussi réalisé par John Woo est bien plus banale.
Ecran Large
John Woo récite ses gimmicks dans un spot touristique aux antipodes de l’atmosphère poisseuse du Hong Kong des années 1980. Restent quelques fulgurances, auxquelles on s’accroche autant que possible.
Le Dauphiné Libéré
Si The Killer 2024 est divertissant et a des qualités certaines (notamment ses acteurs principaux), un manque de finition dans les scènes d’actions ou dans son scénario rend ce remake dispensable.
Le Journal du Dimanche
Mieux vaut revoir l’original.
Les Fiches du Cinéma
Ce remake plat, sans émotions, à mille lieues du John Woo lyrique et inspiré, aura peut-être le mérite de faire redécouvrir le chef-d’œuvre original.
Mad Movies
Cette version édulcorée, voire inoffensive, de "The Killer" se rapproche plutôt, et ce malgré une quantité d'idées visuelles et d'expérimentations bienvenues, de l'embarrassant "Blackjack" que le maître signait en 1998...
aVoir-aLire.com
John Woo réalise un remake décevant de son film culte. L’originalité et l’audace de l’œuvre d’origine laissent place à un produit convenu et sans âme.
Critikat.com
Si les corps sautent, tombent, font volte-face et saignent dans The Killer, cette libération de forces et de mouvements s’avère en pure perte.
L'Obs
A l’image de son casting, cette série B ressemble aux nanars qu’usinait le producteur Luc Besson dans les années 2000, rehaussée par les brefs éclairs de savoir-faire d’un Woo aux fraises.
Le Figaro
John Woo signe lui-même le remake de son polar hongkongais, transposé dans un Paris de carte postale avec Omar Sy qui se bat comme un manche.
Le Monde
Rien, pourtant, qui puisse faire oublier les nombreux couacs : casting international mal accordé, scénario au rabais, clichés et laideur visuelle au cœur d’un Paris livré sur un plateau.
Les Echos
A Paris, le cinéaste hongkongais tente de refaire son film culte avec, cette fois, Omar Sy. Mauvaise idée.
Les Inrockuptibles
Le remake par John Woo de son chef-d’œuvre est un bâclage en tout point qui ne mérite pas d’usurper la légende de l’original.
Libération
Le cinéaste hongkongais tient sa ligne de vieux maître déchu luttant contre l’oubli avec le remake désespérément vide et transparent de son thriller de 1989.
Nice-Matin
Du beau monde au service de pas grand-chose… Les dialogues volent bas, l’émotion est aux abonnées absentes et le résultat souffre de la comparaison avec l’original.
Ouest France
Le résultat ressemble plus à une de ces sous-séries B usinées par Luc Besson qu'à du pur, du beau Woo.
Première
John Woo remake lui-même son plus beau film, 35 ans plus tard et à Paris. Autant arracher le sparadrap d'un coup, le résultat est désastreux : The Killer 2024 ressemble à un film Europa Corp des années 2000 (fun fact n°1 : Omar Sy joue un flic nommé Sey), où le style de Woo n'apparaît que par apparitions fugaces et frustrantes.
Sud Ouest
Pendant deux heures, les dialogues volent bas, l’émotion absente et le résultat souffre de la comparaison avec l’original. Le réalisateur répète en effet ses motifs en multipliant les fusillades au ralenti, en oubliant qu’en trente ans, des blockbusters comme « John Wick » ont dynamité un style qu’il a en partie inventé.
Télé 2 semaines
Ce polar d'action est produit sans grande saveur, tout semble déjà vu.