Virus est un bon petit film de SF, bien réalisé et qui, malgré un scénario ma foi assez classique, parvient à captiver de bout en bout. L'interprétation de Donald Sutherland est inquiétante à souhait et Jamie Lee Curtis est convaincante en "garçon manqué".
C'est un film raté, un scénario bidon, et surtout un très mauvais jeux des acteurs, exceptés Donald Sutherland et Marshall Bell. Les deux acteurs Jamie Lee Curtis et Willima Baldwin sont à côté de la plaque. La seule étoile c'est pour les effets spéciaux, qui faut le dire sont très réussis.
C'est une daube, c'est prévisible donc ça ne fait pas peur, c'est pas innovant. Les robots méchants sont vraiment très très méchants, mais heureusement William Baldwin garde sa coiffure "effet mouillé décoiffé" en toute circonstance. A oublier
Il est fort dommage que ce film aie pour titre "Virus", car en 1981, un autre film (de nettement meilleure qualité) s'appelait déjà ainsi ("Virus", de Kinji Fukasaku, l'auteur de "Battle Royale"). Dans celui-ci, point de virus qui extermine l'Humanité, juste un scénariste peu inspiré qui fait joujou avec Donald Sutherland. Bon, on va pas démolir le film non plus, ça se laisse regarder, mais force est d'avouer que ce petit film de SF maritime n'entrera jamais au Panthéon du genre. A voir seulement si vous aimez ce style de film.
Un film distrayant, sans plus. On appréciera les effets spéciaux et les quelques scènes d'action, on laissera le reste de côté. Les acteurs, pourtant expérimentés pour la plupart, ne sont pas marquants, il n'y a pas vraiment de suspens (ne vous attendez pas à un film d'horreur), et l'intrigue est une énième copie d'Alien avec une poignée d'humains enfermés qui doivent lutter pour leur survie. En gros, tout ce qu'on peut se demander dans ce film c'est qui est le prochain à se faire tuer et qui survit, même si c'est assez prévisible.
Un film d'une nullité affligeante, il est bien regrettable qu'un acteur de l'acabit de Donald Sutherland doit jouer dans une telle merde ; désolé pour le gros mot mais il parvient parfaitement à définir ce sous-film d'un pathétisme qui pue le déjà-vu.