Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Evénement
par Maïa Bouteillet
D'une grande beauté picturale, ce premier long métrage des frères Quay, diffusé pour la première fois en France, est une oeuvre comme on en voit peu. Les images, en noir et blanc, développent une atmosphère onirique envoûtante.
Télérama
par Jacques Morice
(...) la facture de cette féerie, teintée parfois d'érotisme, témoigne d'une esthétique résolument originale. Tout ici est bricolé, détaillé, orné avec un soin infini (...). Grâce aux frères Quay, on pourra désormais dire qu'on a traversé les limbes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) une douce fantasmagorie, un cauchemar éthéré d'une grande perfection plastique, où les clairs-obscurs en noir et blanc recèlent des mystères insondables, où les humains ont un comportement aussi absurde que chez Kafka et Beckett (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Avec un noir et blanc surexposé (ou sous-exposé), des bruits volontairement assourdis, des dialogues et une voix off réduits au minimum, c'est à un cinéma hypnothique et intrigant que le spectateur est convié.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Olivier Séguret
(...) ouvrir la bonne porte par laquelle entrer dans leur film n'est pas toujours chose évidente, mais, pour peu que l'on s'abandonne à leurs jeux abstraits, Institut Benjamenta peut nous porter vers des paradis imaginaires luxuriants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Christophe d'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Fluctuat.net
par M.Merlet
Avec leur premier long métrage, les Quay perdent peut-être de leur singularité (...). Les métaphores, l'obligation de faire sens surgissent alors. Le symbolisme, si peu perceptible dans les œuvres précédentes, plombe le film et le déséquilibre.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Rédaction
Avec humiliations et brimades quasi sado-maso, le tout filmé avec une maniaquerie frisant le maniérisme. Soit on admire, soit on s'énerve; dans les deux cas de plus en plus.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Evénement
D'une grande beauté picturale, ce premier long métrage des frères Quay, diffusé pour la première fois en France, est une oeuvre comme on en voit peu. Les images, en noir et blanc, développent une atmosphère onirique envoûtante.
Télérama
(...) la facture de cette féerie, teintée parfois d'érotisme, témoigne d'une esthétique résolument originale. Tout ici est bricolé, détaillé, orné avec un soin infini (...). Grâce aux frères Quay, on pourra désormais dire qu'on a traversé les limbes.
L'Humanité
(...) une douce fantasmagorie, un cauchemar éthéré d'une grande perfection plastique, où les clairs-obscurs en noir et blanc recèlent des mystères insondables, où les humains ont un comportement aussi absurde que chez Kafka et Beckett (...)
Le Figaroscope
Avec un noir et blanc surexposé (ou sous-exposé), des bruits volontairement assourdis, des dialogues et une voix off réduits au minimum, c'est à un cinéma hypnothique et intrigant que le spectateur est convié.
Libération
(...) ouvrir la bonne porte par laquelle entrer dans leur film n'est pas toujours chose évidente, mais, pour peu que l'on s'abandonne à leurs jeux abstraits, Institut Benjamenta peut nous porter vers des paradis imaginaires luxuriants.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Fluctuat.net
Avec leur premier long métrage, les Quay perdent peut-être de leur singularité (...). Les métaphores, l'obligation de faire sens surgissent alors. Le symbolisme, si peu perceptible dans les œuvres précédentes, plombe le film et le déséquilibre.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Avec humiliations et brimades quasi sado-maso, le tout filmé avec une maniaquerie frisant le maniérisme. Soit on admire, soit on s'énerve; dans les deux cas de plus en plus.