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Votre avis sur Hellraiser: Revelations ?
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Redzing
Le remake de "Hellraiser" tardant à être produit, Dimensions Films se voit alors contraint de sortir en catastrophe un nouveau Hellraiser, sous peine de perdre les droits sur la franchise. Résultat : ce neuvième (!) volet, tourné au rabais, fait passer les désastreux derniers opus pour des films corrects. L'ensemble démarre par des séquences en found footage qui laissent présager du pire, et se transforme en huis-clos médiocre. Le scénario, et surtout les dialogues, sont particulièrement mauvais, et la réalisation est digne d'une production The Asylum, avec notamment une photographie très moche. Sans oublier des acteurs très peu convaincants. On signalera d'ailleurs qu'après lecture du scénario, Doug Bradley n'a pour la première fois pas choisi de rependre son rôle emblématique de Pinhead. Ainsi, les apparitions du fameux personnage, qui permettaient de relever un peu le niveau des derniers opus, n'ont ici aucune saveur. "Hellraiser : Revelations" est donc une immondice, qui poursuit la misérable torture que subit la franchise depuis trop longtemps.
Nicolas V
la seul chose a retenir de ce navet : certains maquillages sont assez bien fait.....c'est tout.
Où sont les révélations ? Où ?! Je croyais vraiment que c'était un prequel qui allait nous en apprendre un peu plus sur Pinhead ou carrément bouleverser tout ce que nous avions pu voir jusque là, mais non, absolument pas. Cette suite atteint un tel niveau d'inutilité et de stupidité que s'en est stupéfiant, la seule et unique bonne idée étant de revenir au principe d'origine de nourrir l'entité démoniaque pour lui ouvrir les portes du monde réel, sinon tout le reste est à chier, tout ! Et la palme du pire revient à l'ambiance (inexistante) ex-aequo avec les dialogues (ridicules), la partie found footage au début avec le moment où les deux gars tripatouillent le cube avec l'apparition de Pinhead cristallise tout ce qui cloche, on ne peut pas faire ça, j'irais même jusqu'à dire que le réalisateur ridiculise l'univers de Barker. Sans compter que Doug Bradley n'est même plus là pour sauver les meubles grâce à son charisme, son remplaçant n'en a même pas un milligramme, et il est vrai que les acteurs ne sont pas aidé par l'écriture de leurs rôles mais merde toute la dernière partie est juste folle, le père qui se prend un pruneau dans le bide et parle lucidement derrière, la mère qui se fait crocheter de tous les côtés et qui ne bronche pas, zéro investissement, alors si on assemble tour à tour tous ces éléments ce projet n'a juste aucune crédibilité, et encore moins une légitimité.
Revelations réussi tout de même l'exploit d'être encore plus pourri que Hellworld et ça fallait le faire, chapeau !
Revelations réussi tout de même l'exploit d'être encore plus pourri que Hellworld et ça fallait le faire, chapeau !
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
What the fuck!! Hellraiser continue avec ce magnifique attentat cinématographique de classe 5!! Saperlipopette, mais quel est l'objectif de ce film?! Tout ce qui pouvait avoir un sens dans les précédents opus, est ici démystifié au centuple. A commencer par Doug Bradley qui n'a même pas accepté d'endosser le personnage de Pinhead pour la 9ème fois, tant le scénario est mauvais. Résultat des courses, l'homme à tête de pointe atteint le sommet du ridicule et perd toute crédibilité. Le reste n'est que du blabla ennuyeux et totalement décousu. Un film visiblement tourné au rabais, sans ambition ni talent. Un véritable capharnaüm visuel, particulièrement pénible à regarder. Passez votre chemin; Hellraiser est mort et enterré. 0,5/5
Cela fait neuf jours en ligne que j'écoute les Hellraiser. Les quatre premiers étaient bons et les quatre suivants, assommants. Par-contre, celui-ci est ravivant. J'ai grandement apprécié le fait qu'il ressemble au premier. Pour ce genre de film, il n'est pas nécessaire de faire une longue et pénible saga qui tante au fil des histoires d'en rajouter encore et encore. C'est tout de même divertissant de regarder un remake d'un bon vieux film d'horreur adapté à notre époque, même si ce n'est que pour rigoler, car on ne s'attend pas vraiment à ce que ce soit aussi bon que l'original. Contrairement au remake du film Les Griffes de la Nuit, je trouve sincèrement que celui-ci est réussit. 3.5.
Hellraiser Revelations ou comment faire honte à une franchise qui n'en avait pas besoin. Le premier reste et restera le seul et unique regardable.
Revelations est le neuvième opus de la franchise Hellraiser, il est donc normal que le niveau frise le navet. L'histoire commence de manière assez classique : deux amis font une virée au Mexique, boivent toute la soirée et tombent sur un clochard qui leur remet le Cube. S'en suit une chronologie des évènements aux conséquences totalement rocambolesques et conférant presque au film une allure de soap movie. Comme Doug Bradley n'interprète plus Pinhead, le choc avec le nouveau est évidemment difficile, et le ridicule de certaines scènes ne viendra pas annuler cet effet. En gros, ce nouvel opus n'apporte rien sinon une bonne dose d'ennui.
Le pire film d'horreur qui existe ! C'est juste affligeant de voir une telle nullité ! Pinead n'est plus le même acteur et le remplaçant est Archi nul ! Effets spéciaux nuls, pas d'histoire, aucun sens, acteurs minables ! Bref on comprend pourquoi depuis pas mal d'années les hellraiser ne sortent plus au cinéma mais uniquement en DVD tellement c'est mauvais !
Alors la, étant un fan inconditionnel des films d'horreur je peux vous assurer que j'en ai vu des tonnes !
Et bien celui la est surement le plus mauvais que j'ai vu ! C'est louche, on comprend rien pendant les 3/4 du film et quand on comprend enfin ce qu'il se passe c'est tout simplement NUL ! Un film d'horreur sans angoisse, pas une scène ne m'a fait sursauter. Les peu de morts dans le films ne sont pas crédible, on fait bouillir son cerveau pour comprendre les mystères de cette fameuse boîte, spoiler: le jeune revenu comme par magie, revient et repars sans vraiment que l'on ne sache pourquoi au final ! Tout comme le fameux "SDF" à la fin du film qui se prend une balle et n'a rien du tout.
Vraiment, ne vous attardez pas sur cette daube, mes potes et moi portons tous la même opinion : passez votre chemin !
Et bien celui la est surement le plus mauvais que j'ai vu ! C'est louche, on comprend rien pendant les 3/4 du film et quand on comprend enfin ce qu'il se passe c'est tout simplement NUL ! Un film d'horreur sans angoisse, pas une scène ne m'a fait sursauter. Les peu de morts dans le films ne sont pas crédible, on fait bouillir son cerveau pour comprendre les mystères de cette fameuse boîte, spoiler: le jeune revenu comme par magie, revient et repars sans vraiment que l'on ne sache pourquoi au final ! Tout comme le fameux "SDF" à la fin du film qui se prend une balle et n'a rien du tout.
Vraiment, ne vous attardez pas sur cette daube, mes potes et moi portons tous la même opinion : passez votre chemin !
On est pas loin du désastre: les acteurs sont minables, le nouveau Pinhead ne ressemble à rien, le scenario est décousu et peu intéressant et la réalisation fleure bon l’amateurisme. Franchement, l’œuvre originelle de Clive Barker ne méritait pas autant de suites foireuses.
Yannickcinéphile
Pour l’instant la saga Hellraiser m’avait plutôt bien plu, avec des métrages pas toujours top, mais globalement doté d’un style plaisant. Là, en revanche, il faut avouer que cet épisode est très faible.
Niveau acteur c’est fort moyen. Le méchant au look d’ado n’est absolument pas crédible, et pose un sérieux problème étant donné qu’il est surutilisé. Je ne peux nier un gros manque de variété coté cénobite, avec une volonté de tout miser sur Pinhead, or il faut bien avouer que l’acteur n’est pas à la hauteur de Doug Bradley. Le plus intéressant vient d’un casting féminin pas trop mauvais, et qui, par le sort qui peu lui être réservé, peu susciter un peu d’émotion. Pour le reste malheureusement Hellraiser révélation n’offre rien de probant.
Le scénario est indigent. Le film n’a quasiment pas d’histoire, la narration est saccadée avec de multiples flash-backs, le métrage est court (1 heure 15), et on se demande bien comment il peut développer quoi que ce soit de consistant avec les cénobites quand le métrage commence à décoller vraiment au bout de 45 minutes. Pour ma part je n’ai été séduit que par les dernières minutes, bien méchantes, tel qu’on aurait aimé en voir davantage dans le cœur du film. Par ailleurs un des points noirs ici, c’est le sentiment de descente aux enfers. Ce qui était vraiment perceptible dans certains épisodes de la saga, c’est précisément cet égarement infernal, ou tout glisse peu à peu vers l’horreur. Là, hormis dans les dernières minutes, rien de cela, avec simplement un sale gosse avec un fusil pendant l’essentiel du métrage.
Visuellement le résultat n’est pas non plus viable. La mise en scène s’avère très fade, très banale, voir bien ratée. C’est le cas notamment lors des flash-backs, pas du tout à la hauteur, et dans l’ensemble gros manque de tension. Garcia, n’est pas au point ici. Les décors sont ultra-restreints, de sorte que par rapport aux autres Hellraiser on sent un sérieux coup de mou. Non, ce n’est pas concluant. Quant à la photographie, en dehors là aussi d’un final un peu plus racé, le reste s’avère des plus banals et ne ravira pas grand monde, avec un déficit d’ambiance poisseuse et glauque stupéfiante compte tenu du propos du film. Reste quelques effets visuels réussis, qui nous permettent encore de nous croire dans un Hellraiser, et une bande son pas trop déplorable.
Globalement Hellraiser révélation est, à mon sens le plus faible de tous pour le moment. Très court, fauché, peu gâté coté casting, il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent. Pour ses quelques rares qualités que j’ai souligné je ne lui donne pas 0.5, mais enfin la déception est tout de même très lourde.
Niveau acteur c’est fort moyen. Le méchant au look d’ado n’est absolument pas crédible, et pose un sérieux problème étant donné qu’il est surutilisé. Je ne peux nier un gros manque de variété coté cénobite, avec une volonté de tout miser sur Pinhead, or il faut bien avouer que l’acteur n’est pas à la hauteur de Doug Bradley. Le plus intéressant vient d’un casting féminin pas trop mauvais, et qui, par le sort qui peu lui être réservé, peu susciter un peu d’émotion. Pour le reste malheureusement Hellraiser révélation n’offre rien de probant.
Le scénario est indigent. Le film n’a quasiment pas d’histoire, la narration est saccadée avec de multiples flash-backs, le métrage est court (1 heure 15), et on se demande bien comment il peut développer quoi que ce soit de consistant avec les cénobites quand le métrage commence à décoller vraiment au bout de 45 minutes. Pour ma part je n’ai été séduit que par les dernières minutes, bien méchantes, tel qu’on aurait aimé en voir davantage dans le cœur du film. Par ailleurs un des points noirs ici, c’est le sentiment de descente aux enfers. Ce qui était vraiment perceptible dans certains épisodes de la saga, c’est précisément cet égarement infernal, ou tout glisse peu à peu vers l’horreur. Là, hormis dans les dernières minutes, rien de cela, avec simplement un sale gosse avec un fusil pendant l’essentiel du métrage.
Visuellement le résultat n’est pas non plus viable. La mise en scène s’avère très fade, très banale, voir bien ratée. C’est le cas notamment lors des flash-backs, pas du tout à la hauteur, et dans l’ensemble gros manque de tension. Garcia, n’est pas au point ici. Les décors sont ultra-restreints, de sorte que par rapport aux autres Hellraiser on sent un sérieux coup de mou. Non, ce n’est pas concluant. Quant à la photographie, en dehors là aussi d’un final un peu plus racé, le reste s’avère des plus banals et ne ravira pas grand monde, avec un déficit d’ambiance poisseuse et glauque stupéfiante compte tenu du propos du film. Reste quelques effets visuels réussis, qui nous permettent encore de nous croire dans un Hellraiser, et une bande son pas trop déplorable.
Globalement Hellraiser révélation est, à mon sens le plus faible de tous pour le moment. Très court, fauché, peu gâté coté casting, il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent. Pour ses quelques rares qualités que j’ai souligné je ne lui donne pas 0.5, mais enfin la déception est tout de même très lourde.
Un nouvel opus d'Hellraiser ? En 2011 ?! Sérieux ?!!!! Telle fut ma réaction en apprenant la sortie de "Hellraiser : Révélations". J'étais pourtant assez loin de me douter que le produit final était un incroyable navet, seulement fait afin que les producteurs ne perdent pas les droits de la franchise. Horrible de bout en bout, avec un réalisateur de m**** ("Mirrors 2") derrière la caméra et des acteurs tellement mauvais qu'on se demande s'il ne s'agit pas du film amateur. Seul le scénario aurait pu être digne d'intérêt, reprenant le premier opus dans les grandes lignes et en essayant de jouer avec les éléments pour l'adapter à deux jeunes hommes, mais rien. C'est plat, sans saveur, la fin est ridicule et le tout est bercé dans une photographie horrible. Par pitié messieurs de Dimension Films, soignez votre remake.
Un neuvième opus de "Hellraiser" indèfendable et ce même si les producteurs de la franchise ont des traites ou des impôts à payer! Ni cinoche d'horreur ni cinoche de terreur! C'est mal fichu avec des sèquences gores sans invention, ètirèes jusqu'à plus soif dans le grand n'importe quoi (« Steven, son sang m'a ramenè ! Trouve en d'autres...») où les prostituées sont traitèes comme de la viande! Vraie ou lègende urbaine ?
spoiler:
On s'en fiche royalement! On est au fond du trou les amis!
C'est pas nouveau, les Cènobites dètestent perdre leurs âmes et veulent faire l'expèrience de votre chair! L'heure des comptes a sonnè et beaucoup d'aficionados pleurent dèjà Doug Bradley alias Pinhead qui a prèfèrè ne pas rempiler une neuvième fois! Son remplaçant ? Une catastrophe! Un calvaire! Une souffrance! Stephan Smith Collins fait peine à voir et n'aura jamais le charisme de Doug Bradley! Les ados fils à papa sont exècrables et ne rachètent jamais en partie cet èchec programmè! On se contentera du joli minois de Tracey Fairaway dont la robe de soirèe a de quoi affoler la gente masculine! Sa prèsence a d'ailleurs plus d'importance que son talent! A fuir...
C'est pas nouveau, les Cènobites dètestent perdre leurs âmes et veulent faire l'expèrience de votre chair! L'heure des comptes a sonnè et beaucoup d'aficionados pleurent dèjà Doug Bradley alias Pinhead qui a prèfèrè ne pas rempiler une neuvième fois! Son remplaçant ? Une catastrophe! Un calvaire! Une souffrance! Stephan Smith Collins fait peine à voir et n'aura jamais le charisme de Doug Bradley! Les ados fils à papa sont exècrables et ne rachètent jamais en partie cet èchec programmè! On se contentera du joli minois de Tracey Fairaway dont la robe de soirèe a de quoi affoler la gente masculine! Sa prèsence a d'ailleurs plus d'importance que son talent! A fuir...
Audrey L
Un énième opus qui ne sert à rien (on le dit crûment, car cette saga est vraiment une des pires qu'on a essuyé, en-dehors du premier, et des derniers). Ici, on suit deux jeunes qui partent au Mexique, tombent sur la Boîte,
spoiler: l'ouvrent (forcément), l'un se retrouve écorché et maudit, et supplie l'autre de tuer des gens pour le régénérer avec leur substance vitale...
Oui, c'est le 1. Mais au Mexique (quelle différence !), et on s'ennuie comme des rats morts, car si l'on en est à l'opus Revelations, c'est probablement qu'on a déjà vu le premier film, donc on sait déjà comment tout cela va finir ( spoiler: personne n'arnaque Pinhead...
Enfin, l'espèce de Pinhead, car Doug Bradley n'est plus sous le maquillage, et il nous manque à chaque plan de cette version Wish - et on ne parle pas de ses acolytes aux maquillages tellement mal exécutés que le chef op' préfère les filmer dans les ombres des angles des murs, et de dos... On n'exagère même pas). Alors on patiente, difficilement, en surfant d'un flashback (avec la transition laide qui va bien) à un autre, comme le film entier n'est qu'une succession de flashbacks (on découvre ce que les deux jeunes ont fait au Mexique, en même temps que l'enquête qui nous répète donc oralement ce qu'on vient de voir... Infernal). On est devant un bien pauvre téléfilm, qui tente de survivre en copiant le même schéma narratif que le premier film, remplace son acteur-fétiche (et le remplaçant est cataclysmique), est radin sur les effets spéciaux et les scènes de meurtres, et finit dans l'indifférence totale. Prenez votre DVD de Hellraiser - Le Pacte, faites-lui boire un coup de tequila, vous avez cet opus dispensable.
spoiler: l'ouvrent (forcément), l'un se retrouve écorché et maudit, et supplie l'autre de tuer des gens pour le régénérer avec leur substance vitale...
Oui, c'est le 1. Mais au Mexique (quelle différence !), et on s'ennuie comme des rats morts, car si l'on en est à l'opus Revelations, c'est probablement qu'on a déjà vu le premier film, donc on sait déjà comment tout cela va finir ( spoiler: personne n'arnaque Pinhead...
Enfin, l'espèce de Pinhead, car Doug Bradley n'est plus sous le maquillage, et il nous manque à chaque plan de cette version Wish - et on ne parle pas de ses acolytes aux maquillages tellement mal exécutés que le chef op' préfère les filmer dans les ombres des angles des murs, et de dos... On n'exagère même pas). Alors on patiente, difficilement, en surfant d'un flashback (avec la transition laide qui va bien) à un autre, comme le film entier n'est qu'une succession de flashbacks (on découvre ce que les deux jeunes ont fait au Mexique, en même temps que l'enquête qui nous répète donc oralement ce qu'on vient de voir... Infernal). On est devant un bien pauvre téléfilm, qui tente de survivre en copiant le même schéma narratif que le premier film, remplace son acteur-fétiche (et le remplaçant est cataclysmique), est radin sur les effets spéciaux et les scènes de meurtres, et finit dans l'indifférence totale. Prenez votre DVD de Hellraiser - Le Pacte, faites-lui boire un coup de tequila, vous avez cet opus dispensable.
Dik ap Prale
Pas un reboot. Un film fauché qui a dû, au passage, changer son imagerie. La figure principale s'en est allée. Prétendant revenir aux fondements, avec l'absurdité d'y copier Clive Barker. N'ayant pas plus à dire que les volets précédents, la durée y est encore plus courte. Un Pinehead sans saveur, des maquillages dépassés, seule la boîte y a évoluer, en faisant un poil plus de lumière. Et en bonus, un petit florilège d'acteurs sans envergure.
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