Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Parisien
par Eric Leguèbe
Un formidable conte de fées moderne et un subtil arc-en-ciel cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Pascal Dupont
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Un conte de fées doublé d'une satire sociale drôle et féroce sur notre société ultra-médiatisée
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Planetcinema.com
par P.C.
Certes, après une première heure drôlissime (...), le film déçoit légèrement dans sa dernière demi-heure. Mais peu importe, car Pleasantville reste malgré tout un véritable petit bonheur d'intelligence et de subtilité
La critique complète est disponible sur le site Planetcinema.com
Positif
par Grégory Valens
C'est là toute la portée de Pleasantville : non seulement l'art imite la vie qui imite l'art, ce qui n'est pas neuf, mais, belle application d'une théorie critique, chaque spectateur est aussi un créateur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Chronic'art.com
par Nathalie Piernaz
A force de trop vouloir consolider les fondations de son film, Gary Ross a transformé Pleasantville en gros bunker bien pensant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par François Forestier
L'idée est marrante, mais pas pendant deux heures. Le charme rétro s'évapore en quelques minutes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Gary Ross (...) prétend habiller les années 50 avec les oripeaux de la révolution sexuelle, mais son film est au mieux une version colorisée d'un imitateur de Frank Capra
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
(...) après un début alerte et drôle, le film s'enlise dans les bons sentiments et une démagogie pénible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bayon
Comme on ne peut pas s'enquiquiner toujours, en sépia ou fuchsia, on se raccroche à des broutilles (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Jean-Jacques Bernard
(...)Gary Ross s'emmêle les pinceaux et les transforme en marteaux. Car arrive sans crier gare une série de scènes (...) qui redit la même chose avec la légèreté d'un mammouth (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Annette Vezin
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jacques Morice
Hormis l'idée de la couleur qui surgit par touches au milieu du noir et blanc, Gary Ross n'a pas grand-chose dans sa besace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
Un formidable conte de fées moderne et un subtil arc-en-ciel cinématographique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un conte de fées doublé d'une satire sociale drôle et féroce sur notre société ultra-médiatisée
Planetcinema.com
Certes, après une première heure drôlissime (...), le film déçoit légèrement dans sa dernière demi-heure. Mais peu importe, car Pleasantville reste malgré tout un véritable petit bonheur d'intelligence et de subtilité
Positif
C'est là toute la portée de Pleasantville : non seulement l'art imite la vie qui imite l'art, ce qui n'est pas neuf, mais, belle application d'une théorie critique, chaque spectateur est aussi un créateur.
Chronic'art.com
A force de trop vouloir consolider les fondations de son film, Gary Ross a transformé Pleasantville en gros bunker bien pensant.
L'Obs
L'idée est marrante, mais pas pendant deux heures. Le charme rétro s'évapore en quelques minutes.
Le Monde
Gary Ross (...) prétend habiller les années 50 avec les oripeaux de la révolution sexuelle, mais son film est au mieux une version colorisée d'un imitateur de Frank Capra
Les Inrockuptibles
(...) après un début alerte et drôle, le film s'enlise dans les bons sentiments et une démagogie pénible.
Libération
Comme on ne peut pas s'enquiquiner toujours, en sépia ou fuchsia, on se raccroche à des broutilles (...)
Première
(...)Gary Ross s'emmêle les pinceaux et les transforme en marteaux. Car arrive sans crier gare une série de scènes (...) qui redit la même chose avec la légèreté d'un mammouth (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Hormis l'idée de la couleur qui surgit par touches au milieu du noir et blanc, Gary Ross n'a pas grand-chose dans sa besace.