Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Figaroscope
par Anthony Palou
Cette farce haute en couleur ne manque pas d'ambition.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Didactique certes, Rose & noir pourrait s'appeler "L'intolérance racontée à mes enfants". N'empêche, on finit par s'attacher à cette bande de Branquignols en visite chez les fous de Dieu.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par La rédaction
Personne ne doutera de la sincérité du scénariste-réalisateur. Ni de sa pertinence. Mais cette démonstration alourdit un propos prévisible qui oublie très vite de sourire.
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) un curieux mélange de gags lourdauds et de bons sentiments torpille cette farce que son message de tolérance ne parvient pas à sauver du naufrage.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dvdrama
par Lucie Pedrola
Alignant clichés frôlant la lourdeur et naïveté bien trop proche de la simplicité, le film ne peut pas être sauvé par sa morale bienveillante et son groupe d'acteurs enthousiastes.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
Filmsactu
par Michèle Bori
En nous assenant sans subtilité aucune son scénario naïf à l'humour daté, le réalisateur d'Une époque formidable passe à côté de son sujet et ne propose au final qu'une morne pantalonnade lourdingue, sans saveur, ni audace.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Express
par Christophe Carrière
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Bien pensant et pesant.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Rose & noir aurait pu servir un spectacle divertissant s'il n'avait manqué à ce point de finesse. (...) La succession de gags patauds laisse le spectateur interloqué.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Eric Derobert
Rose et noir est certes sympathique, mais c'est sa seule qualité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jacques Morice
Jugnot signe (...) un plaidoyer humaniste des plus ronflants sur le respect des différences sexuelles et religieuses.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Eric Coubard
D'accord la manne fonctionne: un vieil homme, un enfant, de l'humanisme à deux balles et roule ma poule. Là, c'est pire. L'entreprise devient familiale (...), les seconds rôles indigents et pas creusés (...).
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Il y a une scène formidable à base de pets où Jugnot, ayant abusé de laxatifs, reçoit sur son trône le roi de France. L'insolent.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Tempo Derrickien, guirlande de singeries boulevardières, costumes d'une laideur repoussante, virtuosité à peine supérieure à celle d'un André Hunnebelle sous temesta, l'hypothèse d'un film-suicide n'est franchement pas à négliger.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On se demande enfin pourquoi, s'il voulait vraiment tourner en ridicule un mal qui ronge le monde contemporain, Gérard Jugnot, qui n'est historien mais réalisateur, a éprouvé le besoin de se réfugier dans ce XVIe siècle de pacotille ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Quant au "message" humaniste (la tolérance, l'acceptation des autres, c'est bien), il est si flasque et gluant qu'il donne envie de s'enrôler chez les talibans.
Libération
par Didier Péron
Jugnot fait la folle dans une comédie chargée de clichés embarrassants. (...) Tout le monde joue affreusement mal, les Espagnols sont postsynchronisés avec les coudes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Véronique le Bris
La mayonnaise ne prend jamais, se transformant en un étouffe-chrétien tellement indigeste que ça en est gênant.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Rien ne fonctionne dans cette comédie au bulldozer qui sombre dans une effroyable vulgarité (...) et finit par navrer.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Figaroscope
Cette farce haute en couleur ne manque pas d'ambition.
Le Journal du Dimanche
Didactique certes, Rose & noir pourrait s'appeler "L'intolérance racontée à mes enfants". N'empêche, on finit par s'attacher à cette bande de Branquignols en visite chez les fous de Dieu.
Ouest France
Personne ne doutera de la sincérité du scénariste-réalisateur. Ni de sa pertinence. Mais cette démonstration alourdit un propos prévisible qui oublie très vite de sourire.
20 Minutes
(...) un curieux mélange de gags lourdauds et de bons sentiments torpille cette farce que son message de tolérance ne parvient pas à sauver du naufrage.
Dvdrama
Alignant clichés frôlant la lourdeur et naïveté bien trop proche de la simplicité, le film ne peut pas être sauvé par sa morale bienveillante et son groupe d'acteurs enthousiastes.
Filmsactu
En nous assenant sans subtilité aucune son scénario naïf à l'humour daté, le réalisateur d'Une époque formidable passe à côté de son sujet et ne propose au final qu'une morne pantalonnade lourdingue, sans saveur, ni audace.
L'Express
www.lexpress.fr
L'Humanité
Bien pensant et pesant.
La Croix
Rose & noir aurait pu servir un spectacle divertissant s'il n'avait manqué à ce point de finesse. (...) La succession de gags patauds laisse le spectateur interloqué.
Le Point
Voir le site du Point
Positif
Rose et noir est certes sympathique, mais c'est sa seule qualité.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Jugnot signe (...) un plaidoyer humaniste des plus ronflants sur le respect des différences sexuelles et religieuses.
Brazil
D'accord la manne fonctionne: un vieil homme, un enfant, de l'humanisme à deux balles et roule ma poule. Là, c'est pire. L'entreprise devient familiale (...), les seconds rôles indigents et pas creusés (...).
Cahiers du Cinéma
Il y a une scène formidable à base de pets où Jugnot, ayant abusé de laxatifs, reçoit sur son trône le roi de France. L'insolent.
Chronic'art.com
Tempo Derrickien, guirlande de singeries boulevardières, costumes d'une laideur repoussante, virtuosité à peine supérieure à celle d'un André Hunnebelle sous temesta, l'hypothèse d'un film-suicide n'est franchement pas à négliger.
Le Monde
On se demande enfin pourquoi, s'il voulait vraiment tourner en ridicule un mal qui ronge le monde contemporain, Gérard Jugnot, qui n'est historien mais réalisateur, a éprouvé le besoin de se réfugier dans ce XVIe siècle de pacotille ?
Les Inrockuptibles
Quant au "message" humaniste (la tolérance, l'acceptation des autres, c'est bien), il est si flasque et gluant qu'il donne envie de s'enrôler chez les talibans.
Libération
Jugnot fait la folle dans une comédie chargée de clichés embarrassants. (...) Tout le monde joue affreusement mal, les Espagnols sont postsynchronisés avec les coudes.
Première
La mayonnaise ne prend jamais, se transformant en un étouffe-chrétien tellement indigeste que ça en est gênant.
TéléCinéObs
Rien ne fonctionne dans cette comédie au bulldozer qui sombre dans une effroyable vulgarité (...) et finit par navrer.