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Vraiment une histoire de dingue ce film!ce n'est pas un film d'action pour que certains ne confondent pas,c'est un film sur le trafique de drogue et son milieu donc ceux qui aime ce sujet seront comblés en tout cas moi j'ai adoré.Sachant que c'est une histoire vraie ça fait encore plus froid dans le dos!Les institutions de l'état et leurs magouilles sont vraiment sans pitié,c'est d'ailleurs très bien relaté dans ce film.Il faut juste s'intéresser au business de la drogue et au jeu du chat et de la souris entre les narcos et la justice et dans ce cas la je vous assure que ce film est très prenant et très bon.4/5
Pas mal, pas mal du tout même mais ça ne va pas plus loin que ça. Gibraltar est une bonne réalisation de Julien Leclercq
, sans prétention qui relate avec sincérité ce fait divers ayant eu lieu dans les années 90. Gilles Lellouche livre une belle prestation haletante au contraire de Tahar Rahim qui ne dégage rien de transcendant dans ce film. Le scénario est plutôt bien ficelé et cohérent malgré quelques moments plats et le peu de scènes marquantes (j'en ai compté deux). Cependant l'ambiance sombre que l'on retrouve dans l'ensemble du film s'avère être efficace pour s'immerger dans l'univers de celui ci. Mêlant trafic de drogues à affaires familio-politiques, on sent bien l'esprit du bon vieux polar français. Film a voir
, sans prétention qui relate avec sincérité ce fait divers ayant eu lieu dans les années 90. Gilles Lellouche livre une belle prestation haletante au contraire de Tahar Rahim qui ne dégage rien de transcendant dans ce film. Le scénario est plutôt bien ficelé et cohérent malgré quelques moments plats et le peu de scènes marquantes (j'en ai compté deux). Cependant l'ambiance sombre que l'on retrouve dans l'ensemble du film s'avère être efficace pour s'immerger dans l'univers de celui ci. Mêlant trafic de drogues à affaires familio-politiques, on sent bien l'esprit du bon vieux polar français. Film a voir
Piwi47
« Gibraltar » est le troisième film du réalisateur français Julien Leclercq, après le thriller « Chrysalis » en 2006 et le sous-estimé « L'Assaut » il y a trois ans. Écrit par le scénariste d'« Un prophète », Abdel Raouf Dafri, d'après l'œuvre de Marc Fievet, « Gibraltar » réunit pour la première fois à l'écran Gilles Lelouche & Tahar Rahim, deux des acteurs les plus à la mode en ce moment dans l'hexagone, et sort sur les écrans le mercredi 11 septembre 2013.
Synopsis Allociné: « Toujours mentir, Jamais trahir. » Afin de mettre sa famille à l'abri du besoin, Marc Duval, un français expatrié à Gibraltar, devient agent d'infiltration pour le compte des douanes françaises. De petits trafics en cargaisons troubles, il gagne progressivement la confiance de Claudio Lanfredi, un puissant importateur de cocaïne associé aux cartels Colombiens . Cette immersion en eau profonde dans l'univers des narcotrafiquants lui fait courir des risques de plus en plus importants. Mais à mesure que Marc gravit les échelons du cartel, il découvre aussi le luxe et l'argent facile … En permanence sur le fil du rasoir, seuls ses mensonges le maintiennent encore en vie. Lorsque les douanes anglaises rentrent dans la partie pour arrêter Lanfredi, le jeu devient encore plus dangereux et sa famille risque d'en payer le prix.
Un polar français sous tension au soleil, de la trempe des étalons d'or américains établis par Brian DePalma (« Les Incorruptibles »), Martin Scorcese (« Les Affranchis »), William Friedkin (« French Connection »), Steven Soderbergh (« Traffic »), Ridley Scott (« American Gangster ») et Michael Mann (« Heat », « Miami Vice »), on acquiesce évidemment. Sauf que la verve qui anime Julien Leclercq depuis son premier film n'est manifeste que sur le papier. La partie pratique devient nettement plus ardue, avec de réelles difficultés pour porter en images les ambitions. Problèmes de rythme (nombreuses scènes étirées en longueur), de ton (que viennent donc faire les répliques humoristiques dans un polar de cette envergure?) et dispersion du scénario (trop de personnages secondaires!) notamment, « Gibraltar » s'essoufflant incroyablement par moments et l'intrigue principale débarque seulement au bout d'une heure de bobine.
Une composition de Clinton Shorter, pompée sur les cornes de Hans Zimmer, vient également entacher le récit.
Le long métrage de Julien Leclercq compte néanmoins dans ses qualités les excellentes prestations de Gilles Lellouche (jeu affectif solide), Tahar Rahim (as usual) & Riccardo Scamarcio (inquiétant en bras droit de Pablo Escobar), ainsi qu'une mise en scène efficace et construite.
En deux mots : Une tentative semi réussie du cinéma français de rivaliser avec les américains sur le thème des narcotrafiquants, faute à un scénario beaucoup trop dispersé et quelques soucis de rythme. Bilan en demi teinte donc pour « Gibraltar », histoire vraie et ubuesque de Marc Fievet (renommé Duval dans le film) – un français expatrié à Gibraltar engagé comme indic' par les services de douanes locales.
Anecdote (source : Allociné) : Le blouson en cuir que porte Gilles Lellouche dans le film est un choix personnel de l'acteur. Il correspondait, pour lui, le plus à son personnage. Le comédien a cherché le modèle parfait sur e-Bay, site sur lequel il a trouvé son bonheur grâce à une annonce postée par un asiatique.
Anecdote 2 : Gérard Depardieu & Vincent Lindon ont longtemps été attachés aux rôles tenus respectivement par Gilles Lellouche & Tahar Rahim, avant de finalement se désister.
Synopsis Allociné: « Toujours mentir, Jamais trahir. » Afin de mettre sa famille à l'abri du besoin, Marc Duval, un français expatrié à Gibraltar, devient agent d'infiltration pour le compte des douanes françaises. De petits trafics en cargaisons troubles, il gagne progressivement la confiance de Claudio Lanfredi, un puissant importateur de cocaïne associé aux cartels Colombiens . Cette immersion en eau profonde dans l'univers des narcotrafiquants lui fait courir des risques de plus en plus importants. Mais à mesure que Marc gravit les échelons du cartel, il découvre aussi le luxe et l'argent facile … En permanence sur le fil du rasoir, seuls ses mensonges le maintiennent encore en vie. Lorsque les douanes anglaises rentrent dans la partie pour arrêter Lanfredi, le jeu devient encore plus dangereux et sa famille risque d'en payer le prix.
Un polar français sous tension au soleil, de la trempe des étalons d'or américains établis par Brian DePalma (« Les Incorruptibles »), Martin Scorcese (« Les Affranchis »), William Friedkin (« French Connection »), Steven Soderbergh (« Traffic »), Ridley Scott (« American Gangster ») et Michael Mann (« Heat », « Miami Vice »), on acquiesce évidemment. Sauf que la verve qui anime Julien Leclercq depuis son premier film n'est manifeste que sur le papier. La partie pratique devient nettement plus ardue, avec de réelles difficultés pour porter en images les ambitions. Problèmes de rythme (nombreuses scènes étirées en longueur), de ton (que viennent donc faire les répliques humoristiques dans un polar de cette envergure?) et dispersion du scénario (trop de personnages secondaires!) notamment, « Gibraltar » s'essoufflant incroyablement par moments et l'intrigue principale débarque seulement au bout d'une heure de bobine.
Une composition de Clinton Shorter, pompée sur les cornes de Hans Zimmer, vient également entacher le récit.
Le long métrage de Julien Leclercq compte néanmoins dans ses qualités les excellentes prestations de Gilles Lellouche (jeu affectif solide), Tahar Rahim (as usual) & Riccardo Scamarcio (inquiétant en bras droit de Pablo Escobar), ainsi qu'une mise en scène efficace et construite.
En deux mots : Une tentative semi réussie du cinéma français de rivaliser avec les américains sur le thème des narcotrafiquants, faute à un scénario beaucoup trop dispersé et quelques soucis de rythme. Bilan en demi teinte donc pour « Gibraltar », histoire vraie et ubuesque de Marc Fievet (renommé Duval dans le film) – un français expatrié à Gibraltar engagé comme indic' par les services de douanes locales.
Anecdote (source : Allociné) : Le blouson en cuir que porte Gilles Lellouche dans le film est un choix personnel de l'acteur. Il correspondait, pour lui, le plus à son personnage. Le comédien a cherché le modèle parfait sur e-Bay, site sur lequel il a trouvé son bonheur grâce à une annonce postée par un asiatique.
Anecdote 2 : Gérard Depardieu & Vincent Lindon ont longtemps été attachés aux rôles tenus respectivement par Gilles Lellouche & Tahar Rahim, avant de finalement se désister.
Surendettement, pente savonneuse, dégringolade, engrenage : ça peut être vous, ça peut être moi.
Prévisible, mais le film reste bien mené.
Gilles Lellouche est un petit peu trop en retrait. Tahar Rahim aurait pu aussi donner plus de présence à son personnage. Dommage.
Prévisible, mais le film reste bien mené.
Gilles Lellouche est un petit peu trop en retrait. Tahar Rahim aurait pu aussi donner plus de présence à son personnage. Dommage.
Un français devient cafetier à Gibraltar est approché par les services de la douane pour les renseigner. Le film oscille entre différents genres : comédie dramatique, espionnage, thriller il se perd un peu en chemin. L'interprétation a beau être très bonne on n'est jamais vraiment pris par l'histoire. C'est pourtant une histoire vraie et plutôt originale mais quelque chose manque. A voir éventuellement.
Je viens de sortir de la séance de "Gibraltar".
Alors oui c'est lent. Oui l'action n'est pas omniprésente voire absente.
Mais qu'est-ce que j'ai aimé !
A aucun moment du film je ne me suis ennuyé. Je me suis laissé emporter par cette histoire stupéfiante et incroyable tellement elle est inimaginable.
J'ai trouvé Gilles Lellouche encore une fois très convainquant, Tahar Rahim plutôt attachant, et Riccardo Scamarcio aussi fascinant qu'effrayant, sans oublier les actrices du film Raphaëlle Agogué et Mélanie Bernier (la femme et la petite sœur du [anti ?]héros) qui m'ont directement respectivement fait penser aux personnages féminins de Brian De Palma : Gail dans "L'Impasse" et Gina Montana dans "Scarface".
De plus chaque séquence nous plonge au fur et à mesure dans ce cercle vicieux qui ne mène qu'à un endroit : une impasse.
Les décors et la reconstitution sont aussi remarquables. Le réalisateur Julien Leclercq a véritablement pensé les moindres détails pour coller à l'époque qu'il représente dans le film... mais vraiment à TOUS les détails (je ne dis rien de plus).
Enfin même si je n'ai pas encore lu l'autobiographie de l'ancien aviseur Marc Fiévet, j'ai vraiment appris beaucoup de choses en visionnant "Gibraltar"... et j'ai véritablement découvert les coulisses des douanes et du narcotrafic international.
Par contre la bande originale aurait pu être plus développée et une bande musicale contemporaine aux années 1980 aurait pu être ajoutée.
Pour les spectateurs qui aiment les films très réalistes sur le narcotrafic comme "Go Fast"... mais pas forcément pour les amateurs de films d'action. Ne vous attendez pas à un film rempli d'adrénaline comme le très bon diptyque "Mesrine" écrit par le même scénariste. Mais à un polar digne des meilleurs du cinéma français.
Vivement le retour de Gilles Lellouche chez Fred Cavayé dans "Mea Culpa" et celui dans le narcotrafic de la French Connection en tant que parrain marseillais dans "La French" en 2014.
Alors oui c'est lent. Oui l'action n'est pas omniprésente voire absente.
Mais qu'est-ce que j'ai aimé !
A aucun moment du film je ne me suis ennuyé. Je me suis laissé emporter par cette histoire stupéfiante et incroyable tellement elle est inimaginable.
J'ai trouvé Gilles Lellouche encore une fois très convainquant, Tahar Rahim plutôt attachant, et Riccardo Scamarcio aussi fascinant qu'effrayant, sans oublier les actrices du film Raphaëlle Agogué et Mélanie Bernier (la femme et la petite sœur du [anti ?]héros) qui m'ont directement respectivement fait penser aux personnages féminins de Brian De Palma : Gail dans "L'Impasse" et Gina Montana dans "Scarface".
De plus chaque séquence nous plonge au fur et à mesure dans ce cercle vicieux qui ne mène qu'à un endroit : une impasse.
Les décors et la reconstitution sont aussi remarquables. Le réalisateur Julien Leclercq a véritablement pensé les moindres détails pour coller à l'époque qu'il représente dans le film... mais vraiment à TOUS les détails (je ne dis rien de plus).
Enfin même si je n'ai pas encore lu l'autobiographie de l'ancien aviseur Marc Fiévet, j'ai vraiment appris beaucoup de choses en visionnant "Gibraltar"... et j'ai véritablement découvert les coulisses des douanes et du narcotrafic international.
Par contre la bande originale aurait pu être plus développée et une bande musicale contemporaine aux années 1980 aurait pu être ajoutée.
Pour les spectateurs qui aiment les films très réalistes sur le narcotrafic comme "Go Fast"... mais pas forcément pour les amateurs de films d'action. Ne vous attendez pas à un film rempli d'adrénaline comme le très bon diptyque "Mesrine" écrit par le même scénariste. Mais à un polar digne des meilleurs du cinéma français.
Vivement le retour de Gilles Lellouche chez Fred Cavayé dans "Mea Culpa" et celui dans le narcotrafic de la French Connection en tant que parrain marseillais dans "La French" en 2014.
Un polar qui ne manque pas de style, au scénario original et à l'interprétation impeccable malgré une perte de rythme dans la seconde partie.
Tous les acteurs donnent une très bonne interprétation dans cette histoire vraie, et scandaleuse. Après ça l'état aurait dû faire le ménage dans les douanes française. Tout les monde semble tirer parti du trafic de drogue, sauf un pauvre type, pris comme bouc-émissaire, Gilles Lellouche.
...Transposer au cinéma ce fait divers pouvait vite tomber dans une certaine caricature la réalisation est efficace,prompte et directe. Marc Duval alias Gilles Lellouche respectable propriétaire d'un bar à Gibraltar devient donc "aviseur " pour les Douanes Françaises...son périple l'entraine dans des eaux plus sombres,plus dangereuses au fil de ses missions...des dangers bien réels quand tout son monde est sur le point de basculer. Une belle tension avec des acteurs qui font le taf. Une réalisation soignée, académique mais plaisante.
sur un sujet qui aurait pu donner corps a un bon film force est de constater que la greffe ne prend jamais. On reste helas trop en dehors de l'histoire pour se passionner pour un film qui voudrait se faire passer pour un thriller qu'il n'est pas. Ce n'est pas mauvais, c'est trop plat, trop conventionnel, trop aseptisé, pour qu'on accroche à ce film qui passe donc à côté de son sujet. On ne peut pas dire que l'interprétation soit spécialement mémorable pour donner envie de s'enthousiasmer. Bref, un échec, un film banal vite vu, vite oublié. C'est décevant car sur le papier on pouvait espérer mieux...
Malgré quelques failles scenaristiques qui perdent parfois le spectateur, "Gibraltar" est un long métrage soigné! Bien monté, à l'ambiance attrayante, aux interprétations corrects, et au sujet palpitant, le long métrage séduit suffisamment pour que l'on ne décroche presque pas!
Un engrenage infernal déjà vu en beaucoup mieux (cf. Donnie Brasco, 1997). Le film est bien joué mais cela manque de tension dramatique, d’émotions. Malheureusement, la morale du film et du fait divers qui a inspiré le film, même si elle me déçoit, ne m’étonne guère…
Lellouche s'installe comme un poids lourd du cinéma français, c'est super bien joué, les décors, l'ambiance. Le scénario manque un peu de clarté, à certains moments ça part un peu dans tous les sens, et puis ça n'a pas le potentiel angoissant d'un "pour elle" par exemple... Et ça force à aller se renseigner sur l'histoire vraie, qui fait bien mal
Gibraltar est un plutot bon thriller français porté par un Gilles Lellouche à l'aise mais pas toujours trés crédible. L'histoire tiré de faits s'étouffe un peu par moment, Tahar n'apporte pas grand chose et n'est pas dans le rôle idéal. Pas mal mais un peu déçu quand même.
Inspiré d'une histoire vraie, on suit l'histoire d'un français, joué par un bon Gilles Lellouche, expatrié à Gibraltar avec sa famille mais en difficulté financière. Pour s'en sortir, il devient "aviseur", au service des douanes françaises et au péril de sa vie bien tranquille. Julien Leclercq nous offre ici un thriller assez réaliste, très facile à suivre et qui nous tient en haleine. Le casting est très bien choisi, même si les rôles féminins sont beaucoup trop discrets.
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