Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(...) Porté par un couple d'acteurs exceptionnels, un premier film à la fois naturaliste et poétique.
Libération
par Philippe Azoury
Au voleur appartient à ces récits dont la force limpide défie la critique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
par Eric Libiot
Le talent de Sarah Leonor est, justement, d'oser. C'est rare.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michèle Levieux
Il y a une tension et une vitesse, posée ou accélérée, dans Au voleur, surprenantes
Première
par Stéphanie Lamome
En ayant l'excellente idée de réunir dans la même barque (...) deux acteurs instinctifs à la présence physique incomparable, Sarah Leonor tenait déjà un film. Ce premier long, avant-dernier de Guillaume Depardieu, lui offre une ultime échappée vraiment belle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Un premier film accompli.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Nicolas Truffinet
Le film enchaîne les baignades dans l'eau claire et scènes d'amour au coin du feu, sans surprise mais avec une douceur inspirée et touchante.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Héléna Villovitch
C'est un conte bucolique, une fable dans laquelle on est immergé l'espace d'un instant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) un premier long métrage incontestablement ambitieux et original, mais qui ne tient pas toutes ses promesses.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Au voleur, film précieux qui oscille entre naturalisme et stylisation, bascule d'une banlieue (...) du film noir à la lumière (...)
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
les plans paysagers demeurent la seule vraie réussite de ce Badlands au scénario un peu exsangue.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Figaroscope
par La rédaction
Si la nature est très poétiquement filmée, et s'il est émouvant de revoir Guillaume Depardieu, le propos reste conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
(...) Porté par un couple d'acteurs exceptionnels, un premier film à la fois naturaliste et poétique.
Libération
Au voleur appartient à ces récits dont la force limpide défie la critique.
L'Express
Le talent de Sarah Leonor est, justement, d'oser. C'est rare.
L'Humanité
Il y a une tension et une vitesse, posée ou accélérée, dans Au voleur, surprenantes
Première
En ayant l'excellente idée de réunir dans la même barque (...) deux acteurs instinctifs à la présence physique incomparable, Sarah Leonor tenait déjà un film. Ce premier long, avant-dernier de Guillaume Depardieu, lui offre une ultime échappée vraiment belle.
Télérama
Un premier film accompli.
Chronic'art.com
Le film enchaîne les baignades dans l'eau claire et scènes d'amour au coin du feu, sans surprise mais avec une douceur inspirée et touchante.
Elle
C'est un conte bucolique, une fable dans laquelle on est immergé l'espace d'un instant.
Le Monde
(...) un premier long métrage incontestablement ambitieux et original, mais qui ne tient pas toutes ses promesses.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Au voleur, film précieux qui oscille entre naturalisme et stylisation, bascule d'une banlieue (...) du film noir à la lumière (...)
Cahiers du Cinéma
les plans paysagers demeurent la seule vraie réussite de ce Badlands au scénario un peu exsangue.
Le Figaroscope
Si la nature est très poétiquement filmée, et s'il est émouvant de revoir Guillaume Depardieu, le propos reste conventionnel.