Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Wayne Wang décrit un monde clair-obscur (...) Un film très stylé, tenu, soigneusement cadré, corseté (...) Fin styliste, il sait capter l'atmosphère de la rue et l'émotion du silence.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
[le film] est très traditionnel et sage dans sa réalisation, l'image est épurée, l'action est lente. On est dans la contemplation de cette histoire très simple et touchante.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Sur un ton à la fois mélancolique, drôle et poétique, toujours empreint d'une grande sensibilité, le cinéaste (...) raconte, détails pertinant à l'appui, le choc des cultures et des mentalités entre Orient et Occident.
Réalisé au plus près des visages, des corps et des sentiment, [il] se dégage une mélancolie urbaine et une impression de solitude (...) Wang réfute l'image de la femme asiatique véhiculée par le cinéma de Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Wang tisse une pelote délicate et émouvante pour explorer chaque parcelle de ce malentendu permanent, entre une fille farouchement agrippée à ce qu'elle pense être la liberté et un vieillard qui ne sait pas comment renoncer à des valeurs qu'il imaginait éternelles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Un joli film, au ton très littéraire, à la mise en scène sage et discrète (...) tout confère à donner au film un équilibre délicat, une saveur délectable.
Avec La Princesse du NebraskaLoin d'être gais, les deux films sont pourtant porteurs d'un optimisme réconfortant quant au mélange des cultures. (...) Wayne Wang suggère que la non-maîtrise de la langue n'empêche pas la communication.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
Wayne Wang décrit un monde clair-obscur (...) Un film très stylé, tenu, soigneusement cadré, corseté (...) Fin styliste, il sait capter l'atmosphère de la rue et l'émotion du silence.
Première
Un millier d'années... se révèle d'une justese renversante. (...) une subtile chronique de l'incommunicabilité à la foi dense et épurée.
Brazil
[le film] est très traditionnel et sage dans sa réalisation, l'image est épurée, l'action est lente. On est dans la contemplation de cette histoire très simple et touchante.
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
L'Humanité
Le film se singularise par ses savoureux à-côtés, par le regard de Huron du Chinois et surtout par ses échanges émouvants avec une vieille Iranienne.
La Croix
Un scénario précis, bien préparé (...) Un millier d'années... est construit avec élégance (...)
Le Journal du Dimanche
Sur un ton à la fois mélancolique, drôle et poétique, toujours empreint d'une grande sensibilité, le cinéaste (...) raconte, détails pertinant à l'appui, le choc des cultures et des mentalités entre Orient et Occident.
Le Monde
La finesse du jeu des acteurs maintient l'attention tout au long, et Wayne Wang, mine de rien, approche du mystère qui se cache au coeur des familles.
Le Parisien
Réalisé au plus près des visages, des corps et des sentiment, [il] se dégage une mélancolie urbaine et une impression de solitude (...) Wang réfute l'image de la femme asiatique véhiculée par le cinéma de Hollywood.
Libération
Wang tisse une pelote délicate et émouvante pour explorer chaque parcelle de ce malentendu permanent, entre une fille farouchement agrippée à ce qu'elle pense être la liberté et un vieillard qui ne sait pas comment renoncer à des valeurs qu'il imaginait éternelles.
MCinéma.com
Un joli film, au ton très littéraire, à la mise en scène sage et discrète (...) tout confère à donner au film un équilibre délicat, une saveur délectable.
Ouest France
Avec délicatesse, Wayne Wang raconte des personnages partagés entre deux mondes (...) Subtil et touchant.
Positif
(...) Wayne Wang propose un étonnant diptyque, portrait d'être perdus qui glissent à la surface du monde.
Télérama
Avec La Princesse du NebraskaLoin d'être gais, les deux films sont pourtant porteurs d'un optimisme réconfortant quant au mélange des cultures. (...) Wayne Wang suggère que la non-maîtrise de la langue n'empêche pas la communication.
Les Inrockuptibles
Le film fleure bon le classicisme tranquille (...) tout est ici d'un bon goût absolu (...) inattaquable et donc un peu ennuyeux.
Paris Match
Un ton détaché, des silences, des couleurs froides, une mise en scène épurée et un vrai sens de la présence humaine rendent l'émotion perceptible.
Studio Magazine
Voir le site www.studiomag.com