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    Enfances
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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 134 abonnés 5 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2020
    Jolis films sur des souvenirs marquants d’enfants.
    Peut-être est-ce une simple phrase qui a pu faire naître une anecdote filmée mais en tout cas je trouve qu’elles sont toutes riches en émotions typiques des jeunes années où un moment donné de la vie engendre un plaisir ou une souffrance que l’on garde toute sa vie.
    Ciné2909
    Ciné2909

    68 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mars 2019
    En voilà une belle idée que de s'intéresser à l'enfance de ces illustres artistes ! Un peu dans le style de Paris, Je t'aime ; le thème de l'enfance est décliné à travers différentes personnalités dont la description nous est proposée par l'intermédiaire de 6 petits portraits. Comme souvent dans ce genre d'initiatives, les séquences sont de qualité inégale variant selon la sensibilité du spectateur. Chaque court-métrage se termine par une citation de la personne concernée et on finit par se prendre au jeu du Qui est cet enfant ? Si Enfances n'est pas le film de l'année, l'originalité est pour une fois au rendez-vous et c'est pourquoi je vous conseille d'y jeter un petit œil !!
    Sylvain P
    Sylvain P

    333 abonnés 1 354 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 août 2010
    Les enfances de grands cinéastes: Le segment sur Fritz Lang, baigné d'antisémitisme, est poignant. Le jeune interprète et Julie Gayet forment un duo d'acteurs incroyables. L'enfance d'Orson Welles est plus anecdotique. On est heureux de revoir Emmanuelle Bercot. L'épisode sur Jacques Tati commence sur le ton de la comédie, plutôt réussi, mais se termine malheureusement mollement. Le segment sur Jean Renoir est sympathique. Le duo d'enfants fonctionne. Le noir et blanc inutile et le scénario bateau de l'enfance d'Alfred Hitchock en font le court le plus décevant. La série se clôt sur Ingmar Bergman, et un très beau court, avec un quatuor d'acteurs magiques, et un scénario fort.
    aaber
    aaber

    30 abonnés 376 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2008
    Malheureusement passé trop inaperçu ! Un savoureux mélange de "courts" cohérents et de très bonnes factures ! Le "Tati" est d'un doux-amer loufoque réussi ! Le "Bergman" m'a littéralement scotché et un grand chapeau à tous ces jeunes acteurs époustoufflants ! Un bébé, Joyce ?
    ffred
    ffred

    1 686 abonnés 4 012 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mai 2008
    Ces petits courts métrages sur un évènement de l'enfance de quelques réalisateurs monstres sacrés du cinéma est une très belle idée. Mais à l'arrivée je suis moins enthousiaste. Les six parties sont différentes tout en en étant étrangement similaire. Seule celle de Jacques Tati sort du lot et est vraiment drôle. Celle de Hitchcock est aussi drôle mais effrayante. Celle de Bergman est sans doute la seule qui fait le plus penser aux films du réalisateur dont il est question. Le tout est bien écrit, bien mise en scène. Les reconstitutions des époques (à peu près la même c'est à dire début du XXè siècle) sont bien faites et assez minimalistes. Les images sont belles mais toujours assez austères. Le point le plus intéressant est sans aucun doute l'interprétation. Julie Gayet, Elsa Zylberstein et Clotilde Hesme toutes les trois simples, sobres, magnifiques comme à chacune de leurs dernières prestations. Isild Le Besco (aussi réalisatrice d'une des partie) est toujours aussi fade et dépourvue de talent comme à chacune de ses prestation. Tous les petits comédiens qui incarnent les enfants sont parfaits, ils sont tous formidables. Bravo au directeur de casting. Malgré toutes ces petites qualités, il reste un gros problème : on s'ennuie. D'un ennui poli et respectueux certes (devant de tels personnages !) mais si sur le fond l'idée est excellente, le traitement manque singulièrement d'originalité et d'émotions. Dommage car il y avait vraiment matière à. Une petite curiosité tout de même, qui, si elle n'emballe pas totalement mérite d'être vue pour la démarche et le projet qui est tout de même à part dans la production française actuelle. A vous de voir.
    Nelly M.
    Nelly M.

    94 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2008
    Les six séquences s'enchaînent de manière assez heureuse, toutes autour de 1900, 1920 dans des milieux guindés, on est à la limite de la caricature. Très vite, on attend la petite citation du cinéaste concerné ... Quelques longueurs, un peu académique aussi. Mais les parents sont guindés à souhait et les enfants jouent juste, avec une retenue et une compréhension adultes parfois... Chacun peut retrouver ses parcelles d'enfance, cette longue période sans tribunal et sans mode d'emploi précis, où il faut oser s'exprimer aux moments décisifs et déjà biaiser pour se tirer d'affaire...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 décembre 2009
    Yann Le Gal a certainement enfanté du concept cinématographique le plus original et enviable de ces derniers mois : évoquer la jeunesse de six cinéastes d’exception à travers une anecdote qui les aura marqués au point d’influencer plus tard leur travail artistique. Les six grands noms du 7e art finalement retenus l’ont été autant pour la qualité unanimement reconnue de leur oeuvre que pour l’impact _réel ou supposé_ de leur tendre enfance sur leur manière d’appréhender le cinéma. And the winners are : Fritz Lang, Orson Welles, Jacques Tati, Jean Renoir, Alfred Hitchcock et Ingmar Bergman. Afin de réaliser ce projet ambitieux susceptible de ravir les cinéphiles de tous poils, Le Gal (qui s’est réservé le court sur Lang) s’est entouré de six autres réalisateurs, respectivement Isild Le Besco, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, Ismael Ferroukhi, Corinne Garfin, et pour finir en beauté, Safy Nebbou. Comme souvent avec les films formés d’une somme de courts-métrages, le résultat peut paraître inégal, tant dans les mises en scène que dans les anecdotes choisies ici. Néanmoins, presque tous parviennent à capter l’attention, que ce soit par l’émotion véhiculée (Lang), la poésie et la finesse de l’hommage rendu (Tati, très réussi), la douceur d’une ambiance bucolique (Renoir), la peinture volontairement emphatique d’un traumatisme (Hitchcock) ou encore la noirceur du sujet et l’interprétation remarquable des acteurs (Bergman). Ces parfums d’Enfances humés avec innocence s’impriment dans la mémoire pour qu'un jour peut-être, face à un Tati ou un Bergman, nos sens mis en éveil décèlent une émanation de ce moment de leur enfance où la porte s’est ouverte pour laisser entrer l’avenir.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 145 abonnés 7 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2008
    Sur une idée originale de Yann Le Gal : « révéler six anecdotes annonciatrices de l’enfance de six grands cinéastes, six maîtres du 7ème Art ».
    L’idée plaît et séduit avant même de voir le film. Six courts-métrages inventifs, drôles et très recherchés, nous racontant l’enfance difficile, étonnante ou marquante de Fritz Lang, Orson Welles, Jacques Tati, Jean Renoir, Alfred Hitchcock & Ingmar Bergman.
    Les histoires s’enchaînent mais ne se ressemblent pas (misent en scènes par différents réalisateurs). Drôles et tendres à la fois, les acteurs (adultes et enfants) sont excellents. Ce sont les cinéphiles qui vont se régaler !
    Cinephille
    Cinephille

    154 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mai 2008
    Six courts très inégaux sur l'enfance phantasmée de six géants du cinéma. Il ne s'agit pas de leur enfance réelle mais d'une enfance "interprétée" par
    les 6 réalisateurs. Premier exemple : le film sur Fritz Lang dont l'histoire ne peut, chronologiquement, avoir eu lieu mais qui raconte peut-être quelque chose sur l'histoire de Lang et donc sur son cinema.
    Deux films sortent du lot : celui sur Tati, le seul qui n'aille pas chercher du coté de la
    psychanalyse mais qui raconte avec humour et poésie ce que devait être un Tati ado. Celui sur Bergman, épisode assez terrifiant dont rien n'indique
    qu'il ait eu une réalité mais qui raconte joliment les tiraillements entre enfer et paradis d'un enfant.
    Un seul de ces courts est une lamentable caricature, celui sur Hitchcock, jouant à 100% sur le premier degré et prétendant qui plus est, faire du Hitchcock. Fallait oser.
    Pierre E
    Pierre E

    212 abonnés 665 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2008
    ENFANCES constitue la curieuse entreprise de pénétrer l’intimité des plus grands cinéastes classiques, à travers différents traumas de leur enfance, peut être en vue de tenter de comprendre leur œuvre, ainsi que leurs fascinations de metteurs en scène, mais aussi, peut être surtout, de leur rendre un hommage sincère et original. Si nombre d’inégalités se constatent dans le résultat, ENFANCES réussit toujours à faire plus que de l’exercice de style : ainsi, le segment ‘Alfred Hitchock’ est un véritable bijou noir de mise en scène, un hommage à ses plus grands chef d’œuvres tels que "Rebecca", "L’Inconnu Du Nord-Express", "Psychose", sur un fond aussi brutal que douloureux.
    cristal
    cristal

    177 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mai 2008
    "Metropolis", "Citizen Kane", "Playtime", "La grande illusion", "Psychose" et "Sonate d'automne" n'auraient-ils pas été écrit par des enfants? De toute cette profondeur qui les anime, n'est-il pas de premier ordre que la simplicité et l'innocence de l'enfance, la rage du passé et des souvenirs? N'est-ce pas de là que naissent les projets les plus géniaux et aboutis? En partant de cette idée, six réalisateurs ont tenté de mettre en scène l'enfance de six des plus grands noms de l'histoire du cinéma (parmi tant d'autres, certes). Lang, Welles, Tati, Renoir, Hitchcock ou Bergman. Evidemment il y a un manque d'unité car l'une des réalisation ne sera jamais au niveau de l'autre, mais une certaine cohérence s'établit tout de même car, par six styles différents dépeignant eux-même six autres styles, il y a un dialogue instauré qui tient du langage universel, celui de l'art. Avec comme point de départ la description d'une enfance pour expliquer le pourquoi d'une telle oeuvre bien plus tard, les 6 jeunes réalisateurs et réalisatrices signent un film qui se reflète dans sa façon de penser le cinéma comme une machine personnelle qui crée l'universel, la somme de toutes les angoisses, de toutes les frustrations et de tous les désastres vécus. Et l'originalité du projet est heureusement aidé par la rythmique quasi-identique de chaque court. Le premier, traitant de l'antisémitisme chez Lang, est une belle oeuvre humaine, ample, un peu démonstrative mais empreinte d'un charme esthétique indéniable. Le Welles de Le Besco, par contre, peine à trouver le bon ton ; le scénario se dirige à tatons, la tentative de reconstitution d'une demeure des années 1920 en Amérique touche à la catastrophe, et surtout, il y a une froideur qui immobilise toute envie de faire partager chaleureusement du cinéma. Tati, lui, a eu le droit a bien mieux ; burlesque, ce court-métrage se basant sur son incroyable grandeur trouve un style amusant et rétro, à mi-chemin entre du Tati donc, et du Buster Keaton (
    Thierry M
    Thierry M

    158 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2008
    Original et tres bien fait,les gamins de ce film sont tres bon.
    stillpop
    stillpop

    81 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2011
    L'histoire de six petits garçons... qui deviendront de grands cinéastes de l'après-guerre.
    Et oui, en ce temps là, il n'y avait pas de parité, donc pas de représentantes de la gente féminine. D'ailleurs, s'il fallait que je fasse une statistique des films réalisées par des femmes dans mon catalogue, j'ai bien peur que le résultat me fasse passer dans le camp des mysogines.
    Et c'est d'ailleurs ce qui va se passer, puisque le court métrage le moins réussi est sans doute celui d'Isild le Besco. Un peu pataud et démonstratif dans la mise en scène, c'est aussi celui qui est le plus « attaché » a l'enfant dans sa plus simple expression et sa relation à sa mère. Tandis que les autres font l'effort d'originalité ou de suspense. Par contre, c'est plutôt bien joué et on apprend quelque chose de la force de caractère et de la qualité d'éducation du futur grand réalisateur américain.

    Ensuite, il y a l'autrichien, si on fait l'impasse sur les gueules du casting complètement à côté de la plaque, on peut croire à l'histoire. Mille fois narrée par le cinéma mondial, mais avec un peu d'originalité et de virulence. Par une parfaite petite tête à claque qui va se racheter une conduite en redevenant un petit garçon à sa maman. Facile et consensuel, mais bien fichu et assez bien filmé.

    Le consensuel est encore plus présent dans l'histoire d'un petit grand bourgeois en partie de campagne. Mais on ne peut pas faire grand chose d'autre vu que sa vie n'a pas du être trop mouvementée. C'est rondement mené, avec le plus joli gosse de la série, une charmante gouvernante, et c'est tout. Mais ce n'est pas une critique.

    La surprise et l'histoire très originale, c'est en Suède qu'on la trouve. Ou comment vivre en harmonie avec une famille « trop » nombreuse. Surtout quand on a un grand frère très doué pour faire faire le sale travail aux grands sentimentaux.
    C'est fort, même si Zilberstein ne fait pas vraiment suédoise, et le suspense est haletant. C'est aussi une manière de démystifier définitivement le mirage de l'enfant innocent. C'est justement quand l'on devient adulte que la prise de conscience et l'éducation nous permet de comprendre les limites du mal, et non avant où on le fait par plaisir ou besoin primaire. Le gosse est très mignon, et la scène du berceau est superbe, de simplicité et d'intensité. A faire pleurer dans les chaumières.

    Le plus beau court métrage est sans doute celui du manoir hanté britannique. La photo est maîtrisée, superbe, et l'histoire de la mère coincée et intégriste résume à elle toute seule la moitié des galères de l'éducation d'avant 1940. L'anecdote (si elle est réelle) fait le seul moment fort du récit, le reste étant les prémisses de la personnalité du futur maître. En plus de la très bonne bouille du gamin, le jeu et les décors font sans doute la plus grande réussite de l'ensemble.

    Je finirais par l'opus sur le plus « grand » réalisateur français, je n'aime pas ses films, mais force est de reconnaître que le cheminement scénaristique du court métrage est très amusant et pertinent. Sur la difficulté d'être différent, par la taille et le rejet ou l'attirance déterminée par son physique. Ce qui peut, lorsque toute l'organisation du quotidien est complexe et appelle à réfléchir, expliquer le parcours artistique des films que la grande asperge fera plus tard. Mais encore une fois, les astuces et l'idée de départ sont bienvenues et plus dans l'esprit court métrage comparées aux autres histoires plus traditionnelles d'« Enfances ». Car bien sûr, le silence du grand dadais est dans le ton du sujet.

    On peut enfin critiquer le tout petit budget de l'ensemble qui fait que l'on ne se sent pas transporté en dehors de France quant aux décors. Et encore moins par les acteurs ! Quoique le manoir britannique en noir et blanc fait plus vrai que nature.

    Voilà une très bonne idée, qui fait prendre conscience à quel point Mai 68 a permis enfin de tirer un trait sur ce que l'éducation religieuse ou petit bourgeois a fait de mal à l'épanouissement de ces petites têtes blondes. Non pas qu'elle ait forgé leur talent, il l'avaient à la naissance, mais bien qu'elle ait déterminé leurs obsessions et empêché sans doute leur bonheur en dehors du cinéma. Le rapport aux femmes et leur mise en scène par Hitchcok, les scènes de ménages par Bergman sont les plus visibles à expliquer.

    Un petit plaisir pour cinéphile en tout cas, vivement la version pour les réalisateurs contemporains. Avec l'explication des obsessions de Woody Allen par exemple ?
    tixou0
    tixou0

    692 abonnés 1 994 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2019
    On voudrait que l'enfance soit un moment de grâce, fait de douceur(s) et de bonheur(s), mais même dans les familles les moins exposées matériellement, socialement et culturellement, il y a des douleurs, des malheurs, grands et petits, des fêlures, des béances même. C'est de cela que parle "Enfances", une vraie réussite. Les jeunes héros de ces six moments d'enfance (six fois moins d'un quart d'heure) ne sont pas des anonymes, ce sont tous de futurs (grands) cinéastes, tous décédés aujourd'hui : Fritz Lang, Orson Welles, Jacques Tati, Jean Renoir, Alfred Hitchcock et Ingmar Bergman. Et chaque épisode est un hommage au style et à l'inspiration du futur metteur en scène.
    Chacun des courts métrages est réalisé avec grand talent, avec une mention spéciale pour celui consacré à Tati, déjà à l'image de son univers poétique et décalé, et pour le spectaculaire passage sur Hitchcock (un superbe noir et blanc au service de sa future inspiration - angoisse et fantasmes garantis).
    Un casting impeccable, y compris les jeunes comédiens, très talentueux, qui ont d'ailleurs tous un physique en parfaite adéquation avec les traits et les silhouettes des cinéastes réels, tels que nous les connaissons à l'âge adulte. Six auteurs (et même sept, puisqu'un des petits films est dû à deux personnes) avec chacun sa personnalité (pour révéler celle du modèle retenu), mais en dénominateur commun une écriture soignée et une mise en scène fluide.
    Gonnard
    Gonnard

    240 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2008
    Très bonne surprise. Le fait de compiler plusieurs petites histoires rend le film plus dynamique. Et sur de grands personnages, ce qui procure un plaisir supplémentaire : qui est cet enfant qu'on nous décrit ? Certaines histoires sont très fortes en émotion, malgré la sobriété du film. Et c'est là où des critiques peuvent être relevées. On s'ennuie parfois à cause des temps morts ou du néant que l'on nous décrit. La musique est totalement absente, pourquoi ? Enfin, la réalisation est sans intérêt.
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