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Un visiteur
3,5
Publiée le 21 août 2012
On sait enfin d'où Spielberg a sortie son idée de E.T. ! A l'instar de Hot Fuzz et Shauwn of the dead, Paul s'attaque à un autre genre populaire du cinéma : la science fiction. Et c'est encore une fois bien fichu, bourré de références et d'humour so british... Le troisième type, c'est vraiment lui !
Un road trip passionnant, les acteurs sont très bons, les gags et vannes sont excellentes*, l'histoire est bien trouvée, le road trip manque toute fois de l'originalité, le film est tout de même très bien ficelé et je pense que tout le monde s'accordera à dire que Philippe Manoeuvre était fait pour ce personnage,
* Je vous le recommande pour l'humour de ce film qui est à s'uriner dessus
Les 2 compères de "Shaun of the Dead" et "Hot Fuzz" sont de retour! Franchement, encore une comédie à voir absolument, avec des scènes à mourir de rire. Ils sont trop bons ces 2 là, ils iront loin...
Je ne peux pas dire que Paul soit un être attachant ou au contraire un être repoussant. Il m'a laissé de marbre. Certes les effets sont tout droit sortis d'un autre monde. Le rythme et le scénario sont décousus et laissent un goût amer. A réserver uniquement pour les longues nuits d'hiver et encore !!!
La vraie vedette du film, ce n'est ni Pegg, ni Frost, dont le pouvoir comique est tristement effacé, mais bien le petit extraterrestre. Son attitude cool et ses remarques narquoises prêtent à sourire, mais ne rivalisent pas avec ce que le duo est capable de faire.
Après avoir échapper avec "succès" à une armada de zombie, et dénichés une bande de tueur psychopathe, on se demandait ce qui pouvait encore arriver au duo Nick Frost/ Simon Pegg. Et bien ils étaient sûrement loin d'imaginer une telle chose ! Rencontrer un homme du troisième type pas comme les autres : Paul, un vrai glandeur vulgaire qui fume des joins... Sous forme de Road movie, Paul est un film référence pour les fans de S.F, contenant clins d'oeils et gags en tout genre. On est pris d'assaut à l'aventure, on ne cesse de rigoler et de se divertir. Le duo Pegg et Frost fonctionne à merveille, toujours aussi déjantée. On remarquera la présence de Sigourney Weaver, hélas trop courte et de Spielberg le temps d'un clins d'oeils savoureux ! Puis on appréciera le second rôle comme Jason Bateman... Cette nouvelle comédie S. F est un petit bigou signer Greg Mottola. On attend avec impatience la prochaine collaboration de Pegg et Frost!
Paul fait partie de ce genre de films qui n'aurait jamais vu le jour il y a trente ans, tout simplement parce qu'il n'aurait eu aucune matière sur laquelle se reposer. C'est une sorte de film-hommage, destiné à une génération bien précise, les nostalgiques des nineties. Il puise dans la culture SF des quatre dernières décennies pour livrer une œuvre faite de plaisirs sucrés et d'humour piquant. À la manière d'un Fanboys, qui empruntait la même direction – celle du road trip déjantés avec des geeks maladroits – le film explore les destinées individuelles de ses personnages en les rassemblant autour d'une quête majeure, sans oublier d'introduire le charme rafraîchissant d'une romance insolite.
Ce duo de potes anglais, des trentenaires aux âmes d'adolescents qui partent à la découverte de l'Amérique, va vivre une aventure à la hauteur de leurs œuvres favorites. Leur voyage va devenir de plus en plus explosif et de plus en plus dangereux suite à la rencontre avec le petit homme vert : Paul. Attraction principale du film, son attitude cool, son humour à toute épreuve et sa facette héroïque en font un personnage aux traits finalement très humains. Le doublage effectué par Seth Rogen en témoigne, c'est un type comme les autres, en un peu plus fou, qui prend place à leurs côtés, pas un extraterrestre craintif. Et c'est là que réside toute la force du film, de parvenir à faire oublier par moment aux spectateurs les origines de Paul tant ses côtés humains ressortent sans cesse.
Le film se transforme en course-poursuite, en course contre la montre, ponctué de rencontres et d'évènements cacophoniques. L'intégration de Ruth au trio, cette fanatique religieuse perdant peu à peu ses convictions, donne un second souffle au film ce qui provoque en nous une absence totale d'ennui et aucune impression de répétitivité. Certes le film ne va pas au-delà de ses ambitions premières (et c'est tant mieux) mais il s'assure au moins de tenir sur la longueur, gardant sa fraîcheur constante et ses surprises épisodiques. Greg Motolla, auteur du désormais culte SuperGrave, sait cibler et toucher son public, concoctant une œuvre qui saura ravir les amateurs du genre. Il rassemble une partie de sa troupe habituelle et c'est une réjouissance que de voir un casting aussi fun qui prend plaisir devant la caméra et qui communique ce plaisir.
Paul reste dans les cordes qui sont les siennes, une aventure aux teintes déjantés où les personnages se complètent à merveille et où le récit part dans tous les sens pour mieux se recentrer et exploser en véritable feu d'artifices. Les dialogues et les situations aussi cocasses que plaisantes s'enchaînent sans lourdeurs. C'est donc un agréable moment que l'on passe derrière l'écran, sans être transcendant ou inoubliable, mais juste ce qu'il faut pour rester un bon souvenir.
Si tous les geeks avaient le même prénom, ce serait sans doute Paul ! Seul regret, la voix de Philippe Manœuvre, aux accents de rocker parisien, pas vraiment adapté...
Nanardesque. Il y a les films en pôle position. Et puis, il y a la "Paul" position. Simon Pegg et Nick Frost auraient mieux fait de rester aux stands !
"Paul" est une comédie sympathique avec pour toile de fond la culture geek. C'est drôle, mais pas non plus à se taper le c*l par terre. C'est d'ailleurs ce qui manque un peu dans ce film, on s'attend à des scènes plus marquantes, à un humour plus grinçant, plus osé... Au final c'est un peu trop gentil à mon goût. C'est aussi un road-movie, une aventure assez improbable où l'on rencontre des gens qui le sont tout autant. Parlons de la rencontre avec la fille : tout ce qui se passe avec elle est prévisible de bout en bout, malheureusement. Trop cliché. Paul quant à lui, est un extra-terrestre parfaitement intégré dans "notre belle civilisation". Entre guillemets, car on peut interpréter ce film comme une ode à la tolérance : finalement celui qui nous ressemble le moins physiquement est peut- être celui dont on est le plus proche. On passe donc un bon moment avec Paul, mais c'est une comédie de plus qui se perd parmi toutes les autres, il n'y a rien de profondément marquant. A voir, sans plus.