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Un visiteur
2,5
Publiée le 27 juillet 2009
Sans être dur avec le film je dirai heureusement qu'il y a beaucoup d'acteurs et d'actrices.En effet ce stratégeme cahche les faiblesses du scénario.Malgré quelques bonne répliques et quelques situations cocasses le tout est trés linéaire et ne présente que peu de surprise.Le film se passe sur trois plans un bureau, un square et un magasin de bricolage.Ce qui le sauve du naufrage c'est l'entrecroisement permanent des acteurs..Dommage c'était une bonne idée.
Troisième volet de la trilogie Versailles de Bruno Podalydès, Bancs Publics nous offre certainement le casting de l'année. Très impressionnant. Malgré tout, comme souvent, la quantité ne fait pas la qualité. On assiste à une succession de saynètes sans grand rapport les unes avec les autres, il n'y a pas vraiment d'histoire. Chacun des acteurs y va de son petit numéro. On se demande quand même ce que sont venus faire là la plupart d'entre eux. La mise en scène est tout aussi ennuyeuse que le reste. Bref pas grand chose à tirer de tout cela. Quelques sourires par-ci par-là mais surtout des soupirs. Pour un film de reprise après les vacances ça redémarre mollement. Déception donc.
Un film d'observation sur le comportement humain et sur les relations humaines dans 3 lieux différents: le bureau d'une entreprise, un square en pleine ville puis les rayons d'un magasin de bricolage. Un film qui ne présente aucune histoire, mais un fil rouge est bien présent: ce mystérieux message "Homme seul".On aime, parce que tout est réel, tout est naturel, rien n'est surjoué, ni inventé...On dirait totalement de l'improvisation! Un vrai coup de coeur!
Versailles: ces parcs, son château, ses versaillais. Pour clore sa trilogie sur les trois gares de Versailles, Bruno Podalydes explore cette voici le quartier de Rive Droite à travers ses habitants. On y découvre les jeunes amoureux, les vendeurs d'un magasins de bricolage, une ensengante, tout et n'importe quoi. On retrouve aussi la fine fleur du cinéma français, qui on chacun un rôle à jouer dans ce film. L'action se déroule dans trois lieux, trois unités qui rappellent le théâtre: une entreprise, un parc et un magasin de bricolage. Hélas on se perd un peu dans tout ce monde et on se lasse aussi très vite.
Le principe - même du film fait qu'il est très inégal : après un premier quart d'heure prometteur (le bureau), les saynètes suivantes s'enlisent dans le grand n'importe quoi (en dépit d'indices semés de ci de là, pour cimenter le tout), en particulier celles du square, sur les "bancs publics" qui donnent son titre à l'ensemble. La pléiade de comédiens, la plupart réduits à "un petit tour et puis s'en va", ne réussit même pas à relever la sauce.
Je suis plutôt partagée quant à ce film. Autant la première partie est bonne, voire excellente, autant la dernière heure est horripilante au possible. Dès que l'intrigue se déroule à l'intérieur du magasin, elle devient ennuyeuse, agaçante, prétentieuse... sans queue ni tête. Le fait d'avoir appel à plusieurs comédiens (la plupart de renom) est plutôt bien trouvée, mais au fur et à mesure que l'histoire avance, je me suis prise à regarder ma montre à plusieurs reprises. Cela dit, j'ai beaucoup apprécié les personnages interprétés par Pierre Arditi et Vincent Elbaz. Ce dernier aurait mérité d'apparaître plus longtemps à l'écran, à l'inverse de certains (Catherine Deneuve pour ne citer qu'elle) dont on se demande ce qu'ils font là si ce n'est pour se montrer (encore une fois) à l'écran.
Je n'ai pas vraiment compris l'intérêt du film... Il y a quelques scènes marrantes mais le scénario est pas top. Je ne comprends pas comment autant d'acteurs à joué dans un film pareil... Un certains nombres de spectateurs sont partis pendant le film et je l'ai comprends. Film pas tip top :s
Bancs publics est un film à la fois drôle, émouvant, triste et aussi empreint de forts relents d'une "inquiétante étrangeté". Troisième opus de sa série sur Versailles, Podalydès conclue son aventure sur un film vraiment agréable quoique en dessous, et même nettement, je crois, de Versailles rive gauche et de Dieu seul me voit, ce dernier étant un des tous meilleurs films de la décennie des années 90. Bancs publics est peut être trop long de vingt minutes et prend le risque de voir défiler un grand nombre de stars françaises jouant dans une série de saynettes d'inégales valeurs. Le film débute avec l'exposition de trois femmes dans leur sordide bureau versaillais ; on craint alors un peu le pire, inhérent au film compassé. Mais l'humour aérien reprend vite le dessus et l'héroïne principale qui finit par tomber amoureux du héros lunaire (excellent Podalydès) montre un talent d'actrice indéniable ; une grande présence émouvante. Chantal Lauby et la blonde gourdasse sont par contre insupportables. Bancs publics est un film curieux qui multiplie les références cinématographiques à Jacques Tati, Jerry Lewis (voir les scènes hilarantes dans le magasin de bricolage où les employés multiplient les bourdes tel Jerry lewis dans Un chef de rayon explosif). On peut aussi trouver des traces d'inquiétudes à la Roman Polanski lorsque le trio féminun s'enquiert de l'homme seul à l'étage de l'immeuble versaillais. La scène longue et étirée (trop?) dans le magasin de bricolage constitue la meilleure partie d'un bon film à l'étrange et surréaliste narration. Podalydès ajoute aussi un certain nombre de jeux de mots plus ou moins légers. Un des meilleurs films français de l'année (il est vrai un peu faible pour l'hexagone en 2009).
je m'attendais a une tres belle histoire mais g été decu tous le film se passe sois dans un magasin sois dans un bureaux ou un jardin vraiment decevant a par les acteur qui sont tres connu le reste g pas aimer
Ça fait plaisir de voir un grand nombre de têtes du cinéma français réunies, et l'esthétique du générique de début est toutafait plaisante. Cependant si certaines scènes sont très drôles, d'autres marquent par leur longueur, or celles-ci sont les plus nombreuses. Dommage!
A vouloir convoquer, en bloc ou en vrac, Prévert, Perec, Tati, Edwards et les Monty Pythons, il faut assurer derrière. Et Podalydés rate totalement son coup en ne maitrisant jamais ou à de rares exceptions près les dérapages non-sensiques de son scénario. On assiste vaguement gêné puis totalement énervé à ce naufrage auquel participe activement un joli panel d’acteurs français dont certains visiblement dépités par les panouilles qu’ils ont à assurer.