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Un visiteur
0,5
Publiée le 30 avril 2010
Il y a longtemps que je n'avais vu un tel navet. Jennifer Garner a bien mal choisi son retour à l'écran et devait avoir des impôts à payer. Scénario indigent où l'on attend 30 minutes le premier mensonge qui fait vraiment démarrer le peu d'intrigue. Quant à la réalisation, j'aime mieux ne rien en dire, il est vrai que le réalisateur était aussi devant la caméra ! Difficle de tout faire ! En un mot économisez votre argent et allez voir autre chose
LA VERITE SI JE MENS. Je ne connaissais pas le comique Ricky Gervais. C'est fait, mais pas adopté. La seconde partie du film m'a beaucoup ennuyé malgré une bonne idée de départ.
Une comédie? Un drame? Ce film est indéfinissable, l'idée était enthousiaste, rayonnante, mais la réalité est très amère. Ce film est naïf, on à du mal à suivre et puis c'est franchement "nian-nian" ..Ce film ne laisse aucune trace dans la mémoire, tant il est vide lui même.Je trouve que le jeu d'acteurs est franchement mal choisie.
Le concept était très original et donnant assurément de quoi faire. Malheureusement ce n’est pas exploité à son potentiel en se limitant à la religion et quelques critiques sur la publicité, alors qu’on aurait pu aller sur tous les sujets comme la politique, le gouvernement, la santé, la justice …. Ce n’est pas forcément trop drole non plus. L’idée de partir sur une comédie romantique, au final assez standard sur un concept pareil et avec cette réalisation est finalement regrettable. Alors ce n’est pas mauvais non plus, c’est plaisant et bien fait, mais frustrant d’avoir un potentiel gâché.
De prime abord une comédie lourde américaine mais dès que ça allie une pointe d’humour so british, le truc devient un peu plus classe. Passé les premiers gags, le film opte pour une tournure plus philosophique sur la gestion du mensonge, le rôle de la religion, de la mort, du bien et du mal pour finir en comédie romantique plus banale. Exercice pas inintéressant même si inabouti.
Mignon Une idée de base intéressante, avec un casting juste incroyable, mais ce qui était excellent au début s'étire sur une fin qui peine un peu humouristique"ment" parlant Mais j'ai passé un mo"ment" plutôt sympa et je n'ai pas vu l'heure et demi passer
Dans un monde où les gens ne disent que la vérité (et par conséquent prennent tout discours pour vérité), un homme trouve le moyen de mentir. "The Invention of Lying" dispose d'une belle idée de départ, que Ricky Gervais (acteur et réalisateur) exploite assez bien dans la première partie. Malgré un manque de folie dans la réalisation, et une seconde partie très conventionnelle, le film contient ainsi quelques gags savoureux, et des répliques "franches" souvent amusantes. Par ailleurs, le scénario montre que le mensonge est finalement à la base de notre société (conventions sociales, ou fictions et par extension arts et religions...), et qu'il n'est un mauvais outil que lorsqu'il est utilisé à mauvais escient. Côté acteurs, Jennifer Garner a un spontanéité agréable en femme superficielle mais gentille, Ricky Gervais convient très bien à ce personnage de loser futé, tandis que Rob Lowe campe admirablement une petite ordure, très proche de son rôle dans "Wayne's World".
Alors là, bravo! De la part d'un britannique associé à un états-unien, critiquer la religion en la présentant finalement pour ce qu'elle est (en tout cas au commencement, une suite de règles inventées pour gérer une population crédule). Les clins d'œil religieux sont présents mais pas du tout oppressant comme c'est si souvent le cas dans les films venant des States. On est face à une comédie sympathique et très originale qui a parfaitement su exploiter ses différences. Une vraie belle surprise où on rigole beaucoup pour peu qu'on ait une bonne ouverture d'esprit (ce qui n'est pas le cas de tout le monde malheureusement!!!). Après un deuxième visionnage, le plaisir est toujours intact, on continue de découvrir des choses et on apprécie plus que jamais le jeu des acteurs. Il faut ABSOLUMENT voir ce film!
Sur un postulat d’un scénario vraiment original Ricky Gervais vient une fois de plus confirmé son talent, hélas trop méconnu, d’auteur et de comédien. Gervais à réussit à créer autour de lui-même autant un personnage qu’un humour néo-anglais : 2/3 outre-manche 1/3 outre-atlantique. The invention of lying se dénature plus de sa forme que de son fond, passé la première heure le film perd de son intérêt et de manière prononcé à gâcher l’ensemble du film. Nous restons donc, hélas, sur cette dernière partie, faible, donnant cette troublante impression de remplir un vide scénaristique difficile à combler. Reste toujours le charme du casting (surprenante Jennifer Garner, pour une fois) et le plaisir constant de voir jouer et grimacer Ricky Gervais petit Droopy de la comédie télé s’essayant au cinéma, un jour cela paiera.
Petite comédie romantique très peu connu, The Invention Of Lying (oui le titre français est affreux) est une bonne surprise. Le synopsis donne envie de voir ce que ça va donné et j'ai trouvé l'histoire très bien écrite. Le principe de ce monde ou les gens ne connaissent pas le mensonge peut donné lieu a un très bon moment et c'est le cas. J'ai trouvé le principe très bien exploité et on se rend compte que le mensonge est très présent dans notre société. Ici, c'est même plus que du mensonge car on se rend compte que les gens disent toutes leurs pensées et n'ont plus aucun filtre. On aurait pu craindre un truc vulgaire et lourd mais il n'en ai rien on sent la patte britannique et leur humour qui leur est si particulier. La façon dont est utilisé ce "dont" est appréciable. Le personnage va utilisé cela un peu évidemment pour avoir quelques privilèges mais surtout pour tenté de faire le bien autour de lui. Les différentes scènes sont vraiment bonnes, j'ai beaucoup sourit et c'est plaisant à suivre. Les différentes situations sont biens trouvés j'avais un peu peur de voir comment ils allaient amené le "pouvoir" et la scène spoiler: ou genre dans un instinct de survie il ment pour la première fois est bien trouvé comme point de départ. Une histoire d'amour va évidemment servir de fil rouge à tout cela mais elle n'en fait pas trop ou pas assez et c'est agréable. J'ai aussi aimé le fait que pour gros premier mensonge ils aient parlé de la religion. J'ai trouvé ça inattendu et le thème est traité d'une façon drôle. Côté casting on retrouve du beau monde avec Ricky Gervais qui est très bon dans son rôle et j'ai aimé qu'ils aillent jusqu’à ressemblé à son homme du ciel. A ses côtés on retrouve Jennifer Garner qui est rodé à ce genre de rôle et qui est donc à la hauteur mais aussi Jonah Hill qui campe un personnage qui fait de la peine et on retrouve même Edward Norton pour une scène très réussi. Les dialogues sont sympas, souvent drôles mais aussi parfois triste mais juste comme dans la scène spoiler: ou la maman de Mark meurt. Pour le reste la ou c'est moins réussi c'est au niveau de la réalisation ou c'est très basique avec aucun effort de mise en scène. C'est à la limite du téléfilm. La b.o. elle aussi aurait mérité à être plus travaillé, ici elle fait juste acte de présence mais rien de plus. La fin pour sa part est sympa et au final j'ai passé un bon moment devant The Invention Of Lying qui est un bon petit film qui mérite d'être vu.
Invention of Lying par d'un pitch accrocheur à la "un jour sans fin" mais ne convainc jamais. Pourtant, les intentions sont là, les idées pas mauvaise mais il persiste une sensation bizarre que le film se limite beaucoup trop malgré les infinies possibilités que lui offre son pitch. Donc un petit film sympathique mais qui aurait pu toucher au culte avec des auteurs un peu plus ambitieux.
Encore un film où Ricky Gervais se montre bien moins grinçant qu'il ne peut l'être sur les réseaux sociaux ou quand il est maître de cérémonie d'une remise de récompenses. Déception donc car l'on assiste à un film au scénario original et au casting sympa, mais totalement mielleux et mou du genou. Aussi vite vu qu'oublié.
Ouh qu'elle commençait mal la seconde réalisation de Ricky Gervais et de son pote Matthew Robinson : lourde et basée sur un humour très « cul », la comédie s'annonce bien mal et nous prions pour que cette grossièreté stoppe au plus vite. Incroyable mais vrai : notre Seigneur exauce cette prière et rend « The Invention of Lying » beaucoup plus fréquentable, moins réussie que ne le laissait espérer un point de départ génial (tout est dans le titre : un homme découvre le pouvoir du mensonge dans un monde où tous les gens sans exception disent la vérité), mais savoureux à plusieurs reprises. Il faut d'ailleurs reconnaître à Gervais une certaine inventivité, que ce soit certaines scènes jubilatoires (celle où il raconte recevoir des ordres du « Man in the Sky » (je l'ai vu en anglais) est à ce titre un grand moment de comédie) ou des dialogues aux petits oignons, bien que logiquement un peu inégaux. La sauce prend du coup plutôt bien, d'autant que le réalisateur-acteur est bien entouré par une Jennifer Garner à son avantage, un Jonah Hill comme souvent irrésistible et l'inconnu mais talentueux Louis C.K.. On aurait aimé encore plus d'idées, de rires et de surprises (ainsi qu'un début nettement moins foiré donc), mais à l'image d'un dénouement plutôt réussi, l'essai n'en est pas moins original et audacieux : cela mérite d'être signalé.
Le pitch de départ est astucieux et original. Dans un monde où tout le monde dit la vérité, un homme décide de mentir. C’est le premier mensonge de l’Histoire, si bien que tout ce qu’il dit paraît être la vérité et ainsi il peut faire croire tout et n’importe quoi. Si le début du film divertit et amuse grâce à la salve de répliques toutes plus corrosives les unes que les autres, le film commence rapidement à s’essouffler et ce, bien avant la seconde partie. Ricky Gervais (qui coréalise avec Matthew Robinson) s’offre le premier rôle et le mérite bien. Il a le physique et le phrasé prédisposé au rôle, il incarne à la perfection ce looser, crétin, obèse au nez tassé (dixit passage du film). L’histoire complètement absurde et les personnages loufoques se marient parfaitement, on a même l’agréable surprise de retrouver (en tant que guest-star) Philip Seymour Hoffman & Edward Norton. The Invention of Lying (2010) est une comédie étonnante mais imparfaite et qui finit même par lasser bien avant la fin !
L'invention du mensonge aurait put être drôle mais comme a chaque fois les comiques veulent faire un truc mêlant sentiment et humour.Le résultat est très moyen.