Avis : Le Gone du Chaâba - Page 2

Le genre du film que je déteste : le film d'enfance autobiographique à caractère social qui finit par plomber le divertissement. Si les acteurs sont bons, le reste est lourd et trop tire-larmes.

Un film très peu intéressant que aucun de mes profs ne doit nous montrer pour parler de l’intégration des cultures. Car ce film ne parle pas de ça, on s'attends à voir des familles qui essayent de s’intégrer en France, mais c'est carrément autre chose. Encore une fois c'est inintéressant, très peu touchant, jamais drôle, mal réalisé et bien mal interprété. Un très, très mauvais film que je ne conseil qu'aux intellos qui sont accros aux films arabes et aux navets.

J'ai d'abord lu quelques passages du livre à une bibliothèque ; puis j'ai lu l'intégralité de ses nouvelles; là je viens de voir le film adapté. Au final, j'ai passé un moment sympa entre scènes chocs, mais peu action et charmé par les actrices! Mais par contre: je vous conseille d'éviter le livre ! Car ici, il n'en reste pas grand chose ! Le scénariste en prenant le nom de quelques héros, en se servant d'une histoire de fond, en prenant un méchant au hasard, et en ajoutant quelques références pour les fans, a essayé de pondre un divertissement inspiré de sa vie mais pas du tout une vraie adaptation. J'ajoute cependant que la scène finale est réussie techniquement parlant et choc. Reste un bon moment passé à regarder ce film culte à voir, peut être à revoir...

Ruggia est vraiment un maître dans l'art d'ennuyer les gens. Un film qui ne sert à rien, qui ne raconte rien, dont on a un écran noir au début, avec des plans fixes ensuite, puis les premières paroles à la 1ère minute mais totalement inintéressantes. Incroyable que tant de gens amient ce film... Je comprend vraiment pas pourquoi. Surement parce que les gens n'ont absolument rien adhérés au film mais qu'il met en scène des arabes alors chef d'oeuvre ! Mais je suis sur que si le film parlait de quelqu'un d'autre que des arabes mais qu'il resté exactement pareil, "Le gone du cabanon" n'aurait que des 0 étoiles... Hypocrisie quand tu nous tiens... Il faut se rendre à l'évidence, on ne reste pas scotché à l'écran devant un film qui dure 1h36 et qui nous montre des gens qui se baladent autour d'un bidonville, avec des vieux hommes qui hurlent dans tous les sens des dialogues incompréhensibles, et des plans fixes la plupart du temps, et dans lequel il ne se passe absolument rien de passionnant ! Même le son est pourri ! C'est n'importe quoi...

Le gone du chaaba se veut prendre le contre pied des productions niaise enfantines, sans en sortir car les quelques touches d'humour et de tristesse sont vraiment trop basiques et n'est vraiment pas si éloigner des films sur lesquels il se veut rendre hommage. C'est fait sans imagination puisque tout est fait dans la facilité d'écriture du film qui se veut trop décalé, et qui souhaite se démarquer des autres. C'est simplement pas intéressant puisque trop attendu et prévisible.

Si vous n'avez pas vu ce film vous n'avez rien vu. Un film coup de poing par sa bêtise, très bien qu'au bout d'un moment on se demande si le réalisateur et l'équipe du film, n'ont pas une haine profonde envers le cinéma. Les dialogues sont extraordinaire et le doublage sont digne d'un film spoiler: héros-tik
, sans parler des acteurs, ils sembleraient dans un enterrement tellement qu'ils n'ont aucune expression sur le visage. Alors pourquoi 5 étiles ? Car je n'ai jamais autant rigolé devant un film et pourtant j'en ai vu des nanars, mais celui la et bien il remporte toute les palmes. Que ce soit au niveau du scenario, des dialogues , des acteurs, des musiques , du maquillage etc... Tout est pourri à un point que ça en devient hilarant!! Je le conseille pour une soirée entre amis ou avec sa copine, vous n'allez pas le regretter une seconde, j'ai même pleurer de rire à plusieurs reprise (surtout quand on voit une actrice lors d'un enterrement qui se marre en arrière plan et qui a du mal a être sérieuse). Le registre Nanar a trouver son maitre messieurs et il se nomme : Le Gône du Chaâba.

Une histoire pas vraiment palpitante à laquelle le grand écran ne pouvait pas apporter grand chose.

Les décorts de Ghost of Mars, les méchants des Power Rangers avec en exclu le loup-garou de Paris, les bons ralentis de Matrix, une pointe de tuning à la Fast & Furious et surtout un soupçon de Tecktonik. G E N I A L... Des questions me viennent, pourquoi reprendre les personnages du roman pour changer l'histoire? c'est bien pour quelque chose que nous sommes fan de ces livres Le gone du chaaba et La gomme du Chabada, non? Oo Mais ça peut etre un concept, pourquoi pas les personnages de la Guerre des Etoiles faisant le remake de Camping...!!! ça pourrait être bon voire même très bon!!!

Les petits émigrés qui sont gentils, les p'tits français qui sont méchants ! Les parents qui ne sont finalement pas drôles pour un sou, le grand-père lui n’ont plu ! La belle fille cliché, le bidonville "Chabada" pas magique ! Voila, quand j’étais petit je trouvés déjà ce "film" d’une nullité effroyable, et encore plus aujourd’hui ! Ça pue l’idéologie primitive chrétienne intellectuelle, les petits contre les grands ! Bref à ne surtout pas donner aux enfants.

Lyon, au début des années 60. Des gamins vivent dans un bidonville, fouillent la décharge publique proche pour y trouver leurs jouets, et vont à l'école avec des godillots éternellement boueux. Il sont les fils et filles d'immigrés algériens de fraîche date. Parmi ces gosses, le petit Omar, 9 ans, se distingue. Poussé par son père, qui est illettré, il adore lire. A l'école, il brille. Au risque de se mettre à dos les autres gosses du bidonville, qui l'accusent de trahir ses racines, de ne pas être « un vrai Arabe ». Omar, c'est Azouz Begag, aujourd'hui chercheur au CNRS et écrivain. Il a écrit Le Gone du Chaâba (c'est-à-dire : le gosse du bidonville) il y a dix ans. De ce récit autobiographique, Christophe Ruggia a tiré un film un peu trop édifiant : au regard angélique du jeune acteur principal, Bouzid Negnoug, il ajoute une photographie qui aseptise la misère et un ton qui frôle plus d'une fois la sensiblerie. Il n'empêche, cette chronique qui fourmille de scènes et d'anecdotes vécues, de détails douloureux ou joyeux qui ne s'inventent pas, a la valeur d'un témoignage authentique et chaleureux. A travers les images de Christophe Ruggia, c'est l'histoire vraie d'Azouz Begag qui émeut.

Oulala attention film bidon. Comment peut on réaliser un tel navet ? Le scénario n'est pas bon, le film est bien sûr non crédible et c'est pas bon de montrer sa aux enfants.Les effets spéciaux sont très mal faits.Le film est très long.Et puis les acteurs sont d'un ridicule,en particulier Mohamed Bellag (du moins celui qui l'incarne) qui fait genre (regardez moi je rigole lalalala...) pfff ridicule!!

Aurait dû plutôt s'intituler: Le Gros du Bidon-film... Un film avec Azouz Bergman machin truc, donc d'une débilité abyssale, une succcession incohérente de scènettes ou le "Gone" fait l'imbécile (il y parvient sans peine) en lâchant des prouts et en jouant en machouillant avec un crayon. Consternant.

Oui, vous avez bien vus, je met 5 étoiles au Gone du Chaâba, oui c'est un chef d'oeuvre... nanaresque !!! Ce film est d'une débilité si grande, d'une idiotie si travaillée, d'une stupidité si assumée, qu'il aurait été difficile pour moi de ne pas l'aimer. De surcroît, je ne connais pas très bien Azouz Beghman, tout juste ais-je lu une partie du livre ; et je suis entièrement conscient du fait que le film est aussi respectueux du matériau d'origine qu'un lion respecte une antilope en la dévorant (il faudrait que je commence à écrire de la Poésie). Ce film est un pur nanar, si vous en doutez (mais je doute que vous en doutiez, si j'ose dire), alors écoutez certaines répliques du genre "Je suis né dans un hôpital" (comme tout le monde) ou encore "Barre toi de la mon p'tit c'est pas pour les gones, le Chaâba!". Merci Mohammed Fellag (c'est ainsi que Monsieur Blague Carambar se nomme dans ce film). Je ne parlerais pas de la version française, qui est insupportable, surtout pour Omar et pour Blédar, et des scènes de dialogues qui sont... pas trop mal en fait. Bon, c'est sur qu'il y a mieux, mais c'est assez réussi pour un nanar. Je ne parlerais pas non plus des acteurs, qui soujouent (Fellag, Omar, Hacène) ou surjouent (La mère, le vieux loup de mère). Bref, un chef d'oeuvre du nanar, un film qui ressemble plus à une parodie du Gone du chaaba qu'à une adaptation, et que je vous conseille de voir, et vous passerez un grand moment de rigolade.

Merci pour ces une heure-trente de fou rire devant des scènes affreuses, des répliques tellements fausses et surjouées qu'elles rapellent une pièce de théâtre, et aux décors affreusement kitsch et suréclairés. Merci ! Vivement la suite !

Que vois-je? Du rouge, du bleu, du vert? Non bon, j'arrête. Hum, hum. Eh bien la, justement, je ne vois rien : Le gone du chaaba est une belle daube (et pourtant Dieu sait que je n'aime pas dire ça d'un film), c'est lent, ça parle, ça parle, ça parle, oh je me réveille il y a un massacre et puis ça reparle jusqu'à la fin. Ajoutez à cela une interprétation déplorable (on les appelle des acteurs?) En tout cas , je n'aime pas Chaaba Gone, je n'aime pas les arabes et leurs soporifiques, je ne supporte pas Azouz Begman. Je sais, je suis très objectif, amis cinéphiles, au plaisir!