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    Two Lovers
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    pierrre s.
    pierrre s.

    425 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2019
    Bien réalisé et remarquablement interprété, le film de James Gray reste tout de même dans les standards du genre romantique.
    Requiemovies
    Requiemovies

    205 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 novembre 2008
    Dans le jardin des Grands réalisateur James Gray a pris place depuis des années, 3 films à son actif et 3 chefs d'oeuvre. Unité de genre (le polar), unité de traitement (une des ses qualités), unité de sujet (la famille et son cocon). Alors que penser lorsque Monsieur Gray "s'occupe" d'un film romantique. Et bien il conserve ses 4 étoiles acquisent sur We own night. Il sublime alors ce genre devenu désuet depuis des années. Nous ne sommes plus dans un acte de mise en scène mais de peinture et de cadres de son histoire. Tout est métaphore et vérité. Chaque emplacement, chaque discussion, chaque regard est ici car Gray en a décidé ainsi. La dualité des 2 femmes (2 choix) est toujours soutenu par une opposition (en extérieur/intérieur; le froid/le chaud) on est alors surpris par la simplicité de surface opposé à une deuxième lecture d'une profondeur et d'une justesse immense. C'est magistral. Le travail d'un réalisateur est rarement autant posé que sur les films de Gray est c'est avec ce (polar tout de même) romantique qu'il nous jette en pleine figure son travail méticuleux. Comme souvent le casting (étonnant d'un côté: Palthrow, justifié de l'autre Phoenix) est en sublime mesure avec ce qu'étaient les personnages sur le papier. Phoenix brille de lui même incandescent par le souffle que Gray lui porte. On assiste donc à un merveilleux film, doux, subtil, parlant, juste qui en cette fin d'année clos quelque chose de presque intouchable: le retour du film romantique. Les codes ne sont pas ceux habituellement posés par le genre, seul ceux qui n'ouvriraient pas les yeux passeraient à côté de ce petit joyau; au risque de rester sur le chemin banalisé des studios vendeurs d'émotions.
    CH1218
    CH1218

    196 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 octobre 2022
    James Gray dissimule le ton globalement soporifique de « Two Lovers » par les qualités de sa mise en scène mais cela ne suffit pas, le fossé qui le sépare d’un très bon film, comme l’est assurément « La Nuit nous appartient », reste beaucoup trop important.
    Stanley-le-begue
    Stanley-le-begue

    50 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2009
    Beau film d'amour pas banal. Le mérite de James Gray et de Joaquin Phenix est d'avoir composé ce personnage bancal, maladroit, un peu dérangé, et de l'avoir inclus dans un monde où il devrait ne pas avoir sa place. Cet homme, avec ses faiblesses, son immaturité touchante, vieillit d'un coup, à la fin du film, lorsqu'il apprend cette mauvaise nouvelle. Et James Gray a illustré la cruauté des sentiments. Pertinent.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 janvier 2016
    Pour son quatrième long-métrage, James Gray s'éloigne de l'univers du gangstérisme, garde une troisième fois Joaquin Phoenix et s'illustre lumineusement dans cette romance noire et à fleur de peau en nous plongeant toujours aussi bien dans les arcanes de New York.
    "Two lovers", c'est l'histoire d'un trentenaire rongé par la raison (épouser la fille du racheteur de l'entreprise familiale) et son instinct (partir et fonder un foyer avec une voisine de pallier)... .
    Les personnages sont aussi bien esquissés que dans "The yards". Et justement, le scénario, bien que limpide, reste à hauteur de nos yeux sans prendre la consistance de ce deuxième volet sur la Famille. Mauvais point Gray.
    Il y a aussi la part de la musique qui ici ne vole pas haut. Elle ne nous ébranle pas, reste sur son piédestal sans jamais gagner en intensité. Vraiment dommage pour l'équipe Kilar-Sano qui avait mitonné du très bon sur "La nuit nous appartient".
    Pour se rattraper, maître Gray nous impose Joaquin Phoenix dans le rôle du trentenaire habitant encore chez ses parents. Encore une fois, c'est une partition plus que parfaite et Joaquin fait le liant entre les deux femmes qu'il aime de manière si élégante et charnelle qu'il rend la noirceur de Gray au diapason. Surprenant, élégant, classe, énigmatique, Phoenix écrase ses partenaires pour capter l'essence que le peintre new-yorkais décrit, son histoire (la sienne et celle de Phoenix, énigmatiques toutes les deux). Au diapason, Joaquin explore toutes les facettes de son talent et prouve, de par un charisme évident, qu'il apparaît ici comme une gueule du cinéma contemporain. Avec "Two lovers", Gray termine le travail entamé avec Joaquin depuis "The yards". En cela, je peux dire que l'acteur de "8MM" est l'équivalent de Roth sur "Little Odessa" de par ses trois collaborations complètes avec le metteur en scène. Ici, je comparerai volontiers le Commodus de "Gladiator" avec Stamp de "Théorème" ou avec Delon de "La piscine". Rien que ça !!
    A ses côtés, on retrouve Gwyneth Paltrow (en 1999, elle est auréolé de l'Oscar de la meilleure actrice pour "Shakespeare in love", 3 ans après "Seven") dans le rôle de la voisine blessée par la vie. Comme à l'accoutumée, elle nous sert une composition qui sonne énormément juste. Et l'on ne peut qu'adorer (!), surtout avec le duo qu'elle forme avec l'immense Phoenix. Avec aussi la très belle Vinessa Shaw (c'est elle qui charme Tom Cruise dans "Eyes wide shut" !), campant la fille à papa, qui tente de se faire une place dans ce trio (Phoenix-Paltrow-Shaw). Je ne nommerai qu'un autre membre du casting : Isabella Rossellini ("Blue velvet", "Nos funérailles", "Poulet aux prunes"...). La fille de Roberto et d'Ingrid Bergman, qui joue la mère de Joaquin Phoenix dans le film, reste d'une onctueuse délicatesse dans toutes les apparitions qu'elle réalise. Elle incarne ainsi le second couteau par excellence de "Two lovers". Classe !, Isabella.
    Pour parler esthétique, c'est toujours du très bon : l'équipe de "La nuit nous a appartient" est au complet (Clancy, Baca-Asay, Axelrad). L'atmosphère rendue (des lumières, du montage...) en est d'autant plus poisseuse. Douglas Aibel, directeur de casting, revient faire un tour dans l'univers sombre de Gray depuis leur rencontre sur "Little Odessa".
    Quant à la mise en scène, on oscille entre polar (par le travail radiographique du peintre Gray) et drame humain (pour une interprétation réaliste de Joaquin Phoenix). On assiste finalement à une romance à laquelle James Gray appose sa patte. Et son talent : la classe européenne. Car on retrouve de la candeur (à la française : Delon). Du mystère (à la Hitchcock). De la fragilité (à la Pasolini). De la paranoïa (à la Fritz Lang). Du voyeurisme (à la Brian De Palma). Le tout, mélangé à la sauce Gray. Du grand art par un peintre hors norme : maître James Gray.
    Pourquoi j'ai moyennement aimé "Two lovers" ? Par ce rythme lent et languissant au possible. Et l'inactivité de Gray à nous faire franchement décoller de notre fauteuil. Oui, j'en ressors déçu, et ce malgré l'excellente qualité esthétique et technique du métrage. D'où ma note : 1 étoile sur 4.
    Spectateurs, n'en abusez... Pa(l)tro(w) !
    PS : c'est grâce à "Two lovers", film sélectionné dans la liste des vingt trois à Cannes en 2008 (et qui ne reçu, pour changer, aucune récompense) que l'artiste Gray se fit connaître du public. La presse avait seulement pointé son nez en présence de "Little Odessa" en 1995. Piètre dédommagement !
    selenie
    selenie

    6 223 abonnés 6 178 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 novembre 2008
    Cela faisait 6 mois que je n'avais pas mis 4 étoiles à un film et encore plus longtemps que je n'avais pas pleurer !
    C'est un film magnifique avec des acteurs en osmose totale. Le film évite les écueils habituels (amants de classe social supérieur, homme intelligent et séducteur, happy end,...). Ici l'homme a une maladie dégénérative (en bonus je suis allé me renseigner sur la maladie de Tay-Sachs) il bosse dans un pressing. Le choix entre l'amour passion (de fait non éternel, puissant mais fragile)et de l'amour "sécurisant" (donc constructif, fait pour durer, rassurant) est assez inhabituelle à Hollywood pour pouvoir apprécier un happy end qui n'en est pas vraiment un. Un drame sentimental plus innovant qu'il n'y parait. James Gray, après 3 polars superbes prouve qu'il sait faire autre chose.
    NeoLain
    NeoLain

    4 952 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 décembre 2011
    Ce film est à la fois lourd de crétinerie et un chef-d'oeuvre. Le gars se tape une conne et fini par aimer une femme qu'il apprécie sans y ressentir un amour fou. Chose probable comme pour la plupart, et chose vouer à l'échec. Plus ingrat, naïf, égoïste et irrespectueux cela existe pas. J'ai détesté Two Lovers sur un point précis, la raison que c'est une perception qui donne le parfait exemple d'un amour des plus ingrats qui soit, pour ma part ce film amène à l'hypocrisie dans toute sa splendeur. Pourtant, la réalisation de James Gray est d'un sobriété perfectionniste et Joaquin Phoenix est habité dans son rôle et je dois me plier et avouer que rien que pour ça on est plonger constamment dans le film.
    Estonius
    Estonius

    3 327 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 juillet 2019
    Si le film ne nous ennuie pas, c'est qu'il parfaitement réalisé, et servi par des comédiens qui nous font un sans-faute. Mais c'est au niveau du scénario que ça ne va pas du tout : là où en attend des surprises on a qu'une suite de situations convenues et osons le dire carrément : sans grand intérêt. La morale involontaire du film semble dire, "si votre copine vous largue, ayez un plan B, comme ça vous ne resterez pas tout seul". Enfin quand on se prétend "auteur", on essaie d'adapter le scénario à l'âge des protagonistes (Phoenix qui à 33 ans se cache comme un ado pour sortir de chez ses parents !), on ne fait pas des erreurs de script comme faire l'amour sans retirer ses collants, ou des facilités de scénarios puériles comme la marée qui rend le bijou qu'on vient d'y jeter. Un sujet comme ça, Woody Allen l'aurait transcendé; ici ce n'est pas le cas, c'est loin d'être nul mais c'est creux et terriblement décevant.
    this is my movies
    this is my movies

    698 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 juillet 2016
    Jusque là, J. Gray était surtout le cinéaste d'un genre, le polar et il surpris son monde en tournant ce drame romantique, dans la foulée du ténébreux "La nuit nous appartient". La constante, c'est J. Phoenix, dont le talent semble infini tant il impressionne par la densité et la justesse de son jeu. En face, G. Paltrow détonne quand V. Shaw se révèle. Du côté de la mise en scène, Gray garde les codes du polar et cela donne des cadres subtilement composés, empilant les tableaux aux couleurs particulières. Par contre, le scénario m'a un peu déçu malgré la profondeur de ses enjeux et quelques scènes particulièrement réussies. On n'avait rarement un film du genre aussi bien fait et profond, qui nous parle vraiment d'amour et de sentiments, joué et mis en scène par des gens concernés et concentré. Une petite pépite. D'autres critiques sur
    Santu2b
    Santu2b

    248 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2012
    Après sa remarquable trilogie de polars new-yorkais, James Gray surprend tout le monde en effectuant son retour seulement un an après "La Nuit nous appartient" avec à ses cordes… une histoire d’amour ! Mais si le sujet est aux antipodes du cheminement initial de son auteur, son entourage reste (à peu près) inchangé. Entre délicatesse et sobriété, Joaquin Phoenix, l’acteur fétiche du cinéaste est époustouflant, livrant l’une de ses meilleures performances, bien accompagné par les nouvelles venues Gwyneth Paltrow et Vinessa Shaw, impeccablement dirigées. Le réalisateur non plus n’a pas changé. Fidèle à lui-même, il nous livre un séduisant triangle à trois tout en retenue, subtilement écrit et mis en scène. Mais c’est peut-être cela qu’on lui reprochera : être trop dans la douceur et la réserve. Si bien qu’à certains moments, on a l’impression que le trait est un peu forcé. Qu’importe, l’essentiel est là : James Gray ne sait pas faire que des polars et il le montre ! Remarquablement.
    Jérôme H
    Jérôme H

    168 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juin 2009
    On en prend plein le coeur de cette histoire... Une thématique classique mais une interprétation au de gamme pour ce trio d'acteur qui redessine encore plus profondement les sentiments humains.
    Le réalisateur réussit à rendre ce récit complexe (de part les émotions engendré) d'une clareté limpide et époustoufflante.
    Une véritable réussite dans laquelle chaque détail gestuel, parole, attitude, etc.. fait de ce film une histoire magnifiquement réaliste.
    Abarai
    Abarai

    132 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mai 2013
    Drame romantique brillant par sa distribution pertinente, "Two Lovers" est un film simple, humain et touchant. Loin de toute mièvrerie, le réalisateur James Gray retrouve Joaquin Phoenix pour cette jolie fresque amoureuse.
    La mise en scène est précise. Le scénario renouvèle le genre.
    Un film ravissant, pêchant uniquement par le comportement parfois trop enfantin de ses protagonistes.
    Valaciclovir
    Valaciclovir

    87 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mai 2009
    James Gray signe avec " Two lovers " un film authentique, un pur chef d'oeuvre.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    112 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mai 2013
    J’aime beaucoup la manière de filmer de James Gray. La photo a toujours une couleur et une lumière superbes. L’histoire de cet homme perturbé (excellent Joaquin Phoenix) qui va se retrouver entre ces deux très belles femmes si différentes et qui vont le contraindre à prendre une décision entre 2 choix de vie est rondement bien menée. Par contre, la BO n’est pas originale, trop de thèmes trop souvent utilisés et j’aurais choisi une autre fin pour obtenir un véritable mélodrame…
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 août 2024
    Pour son quatrième long-métrage, James Gray signe une comédie sentimentale très sombre. En effet, ce film indépendant, sorti en 2008, lorgne davantage vers le drame que la romance fleur bleue. Le scénario explore les trépidations d’un homme (Joaquin Phoenix) dont le cœur balance entre deux femmes (Vinessa Shaw et Gwyneth Paltrow), la brune ou la blonde, la raison ou la passion. Cette hésitation est mise en scène tel un thriller avec une montée perpétuelle du suspense sans savoir laquelle il va choisir. Bref, le portrait de cet individu, meurtri par son passé et tourmenté par son présent, constitue le point fort de ce mélodrame exaltant.
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