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Parmi un bouquet de trois opus de la nouvelle vague Hongkongaise ( années 1980), " love in a fallen city" (1985) inédit en France signé de la figure tutélaire de ce courant majeur du cinéma asiatique Ann Hui.
J'ignore si Wong Kar Wai sera ou non vaguement inspiré par ce titre pour certains moments de son " in the mood for love" ou de " 2046".
En tout cas cette histoire d'amour entre une veuve et un séducteur sincère, tirée d'un roman de l'écrivain chinoise Eileen Chang ( célébrissime en Asie) est une excellente surprise.
On retrouve cette pureté stylisée des décors, des costumes aussi, que l'on reverra dans les deux titres précités de WKW, accompagné du charme des deux acteurs principaux.
La dernière demi-heure change de registre. Sur fond de la bataille de Hong Kong entre les anglais et les japonais après l'attaque de Pearl Harbor, avec sa dimension tragique et aussi de manière inattendue, bénéfique pour les retrouvailles du couple.
Sorte de variation sur les fleurs du mal, de bonheur individuel dans un contexte historique funeste, " love in the fallen city" mérite ( selon moi) largement d'être visionné.
En voyant cet opus de Hui et " Boat people" faisant lui aussi partie de ces trois rééditions, on espère que les éditeurs de réédition s'attacheront au travail artistique de la cineaste. Au vu de ces deux titres, elle le mérite amplement.
J'ignore si Wong Kar Wai sera ou non vaguement inspiré par ce titre pour certains moments de son " in the mood for love" ou de " 2046".
En tout cas cette histoire d'amour entre une veuve et un séducteur sincère, tirée d'un roman de l'écrivain chinoise Eileen Chang ( célébrissime en Asie) est une excellente surprise.
On retrouve cette pureté stylisée des décors, des costumes aussi, que l'on reverra dans les deux titres précités de WKW, accompagné du charme des deux acteurs principaux.
La dernière demi-heure change de registre. Sur fond de la bataille de Hong Kong entre les anglais et les japonais après l'attaque de Pearl Harbor, avec sa dimension tragique et aussi de manière inattendue, bénéfique pour les retrouvailles du couple.
Sorte de variation sur les fleurs du mal, de bonheur individuel dans un contexte historique funeste, " love in the fallen city" mérite ( selon moi) largement d'être visionné.
En voyant cet opus de Hui et " Boat people" faisant lui aussi partie de ces trois rééditions, on espère que les éditeurs de réédition s'attacheront au travail artistique de la cineaste. Au vu de ces deux titres, elle le mérite amplement.