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Plume231
3 896 abonnés
4 639 critiques
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1,0
Publiée le 6 mars 2015
Un film qui sort tous les clichés du genre "films pour filles" tout en tentant de flirter sur le succès du "Diable s'habille en Prada" (il suffit notamment de voir Kristin Scott-Thomas en Meryl Streep du très pauvre pour s'en assurer !!!) où une jeune femme n'ayant pas un radis en banque, en devant même au contraire, mais qui est pourtant hyper-branchée (normal elle vit à New-York !!!) et qui arrive pourtant à vivre dans un très beau logement dans ce qui est certainement une des villes les plus chères au monde, nous raconte ses très gros problèmes liés à sa très forte addiction au shopping. Bon sans pour autant s'attendre à un film néoréaliste, "Confessions d'une accro au shopping" aurait pu quand même faire l'effort d'être un peu plus crédible. A cela s'ajoute des gags tellement vus et revus qu'on a même pas besoin de les regarder pour les deviner. A vrai dire, s'il n'y avait pas le charme et la fraîcheur d'Isla Fisher le film n'aurait pas le moindre intérêt.
P.J.Hogan avait frappé fort en 1994 avec Muriel. Depuis ça se dégrade de film en film. Apparemment tous ceux qui ont lu le livre d'où est tiré ce nouveau film crient au scandale. Ne l'ayant pas lu, je ne peux pas dire. Mais le film a quelques charmes. On retrouve malgré tout les ficelles et clichés de ce genre de comédies romantiques et l'histoire est cousue de fil blanc. Mais il y a quelque chose en plus qui le met au dessus du lot. Peut être le charme de ses interprètes avec en tête la pétillante Isla Fisher. Elle assure bien et porte tout le film sur ces épaules. A ses côtés Hugh Dancy semble un peu fade mais il est tellement mignon qu'on lui pardonnera. Les seconds rôles sont pas mal entre Krysten Ritter, John Goodman, Joan Cusack et Kristin Scott Thomas qui joue le rôle d'une française (à voir donc en version originale) ! Elle est comme toujours formidable. On retrouve aussi avec plaisir celle qui nous avait fait mourir de rire dans Y-a-t-il un pilote dans l'avion ? il y a 30 ans et sa suite ! Julie Hagerty actrice très en vogue dans les années 80, a aussi joué pour Woody Allen ou Robert Altmam. Puis un peu disparue de la circulation jusqu'à ce rôle de secretaire un peu rigide mais toujours aussi drôle. Les comparaisons avec Le diable s'habille en Prada ne sont guère justifiées, à part le fait que cela se passe dans un magazine et dans le milieu de la mode. Ces confessions sont nettement quelques tons en dessous. Une mise en scène et un scénario classiques mais une belle interprétation et quelques bons gags et rires tout de même. Quand même un peu au dessus de la comédie romantique américaine moyenne, mais vite oubliée malgré tout. A voir faute de mieux...
Les deux questions qu’on peut se poser après avoir vu ce film est « un livre à succès mérite-t-il toujours d’être porté à l’écran ?» et si, oui, « A-t-on pour celui-ci choisi la bonne équipe de production ? » tant le résultat déçoit ! Le pire, c’est qu’il y a 4 suites à ce best-seller de l’édition … On n’est pas sauvés !!! Les situations sont souvent forcées (peu naturel) et l’humour bien lourd. L’histoire d’amour est sans surprise et plate. De plus, on nous ressert le quiproquo, déjà maintes et maintes fois resservi par le Cinéma, de l’héroïne prise à tort, au vu de son habillement, lors d’une réception, pour une serveuse. Diable (et je ne dis pas ça uniquement pour « le Diable s’habille en Prada » auquel on pense forcément en voyant ce film), un peu d’imagination ! En conclusion, à part les toilettes (sacs et chaussures compris) de l’héroïne, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce film.
Etant une fan absolue des bouquins de Sophie Kinsella, j'attendais beaucoup de cette adaptation ciné. Même si les premières critiques m'avaient semblées laisser présager d'un film décevant, je préférais ne pas me fier à elles et je suis donc allée voir ce métrage avec un avis totalement neutre. Eh bien, le fait est que "Confessions d'une accro du shopping" est un métrage bourré de défauts avec seulement une ou deux qualités. L'interprète principale ressemble assez à l'idée que je m'en étais faite d'après les romans, finalement. Par contre, les autres personnages (que ce soient Luke, Tarquin, Suze ou même le père de Becky), point du tout. Mais ça, ça pouvait encore passer. Pareil pour le fait d'avoir déplacé l'action aux Etats-Unis. Après tout, je ne cherchais pas une transposition 100% fidèle des livres. Mais le fait est que ce film est d'un ennui profond, pour ne pas dire abyssal. Le comble pour une comédie! On ne rit jamais, on sourit (très) peu souvent. Bref, je m'attendais à mieux. A beaucoup mieux. Les dialogues sont souvent insipides, la morale à deux balles assez ridicule,... . 1 étoile pour Isla Fischer et quelques scènes relativement amusantes.
Agréablement surpris par cette comédie, mes appréhensions d'avant visionnage ont vite été mises de côté. Le film débute très bien avec pas mal de situations cocasses et un personnage très attachant. Par la suite, c'est vrai que ça tombe dans une mièvrerie légèrement agaçante et qui enlève tout suspense quant à la fin de l'histoire. Cependant, c'est amusant, réjouissant et assez dynamique !!
une très bonne comédie à l'américaine.de très bon acteurs surtout les 2 principaux la belle rousse isla fischer et le beau,charmant et galant hugh dancy.je trouves que le couple va très bien ensemble.un très bon divertissement où l'on ne s'ennuit pas.film plutôt basé pour les femmes.et plus par les femmes acrro du shopping se sentiront concernées.
Je m'attendais à une comédié un peu bête, mais détendante, et j'ai eu une bonne surprise ! " Confessions d'une accro au shopping " est bien fait, on rit beaucoup, il y a un peu de romance mais pas trop, les acteurs ont été très bien choisis. Isla Fisher est fraîche et pimpante, Hugh Dancy a ce charme britannique qu'on adore toutes, et Kristin Scott Thomas est étonnante en directrice de la mode française. Britannique vivant en en France Kristin Scott Thomas parle avec un accent français en anglais (fatigant à la longue...) et pas d'accent en français. Amusant ;) Bien sûr, le film est complètement improbable, mais quelle importance ?! A voir pour se détendre et passser une bonne soirée.
Un film de filles énergique et à l'humour débridé. Une structure classique et ultra prévisible. Isla Fisher, pétillante, est au top de son potentiel. Une scène m'a marqué : celle où Alicia invite Luke à dîner ; une tristesse immédiate se dessine sur le visage de Fisher, belle performance ! Qui de mieux aurait pu tenir le rôle tire de Rebecca ? Mais voilà, je suis un homme et forcément je ne suis pas la cible…
Adaptation d’un best seller (comprenant 5 tomes) que seules les filles connaissent. On y fait la rencontre d’une fille pas comme les autres, accro au shopping au point d’en user ses cartes bancaires, surendettée et addict au Gucci, Prada, YSL et consort, elle décide de se trouver un nouveau job histoire de renflouer ses caisses et la voilà devenue journaliste pour un magazine financier (dont elle ne connaît rien). Délurée et hilarante, cette comédie dans la lignée de Bridget Jones (2001/2004) & Le Diable s'habille en Prada (2006) devrait trouver satisfaction auprès de la gent féminine, à la fois drôle et décomplexée, Isla Fisher (Serial noceurs - 2005) qui campe le rôle titre convient parfaitement, on regrettera cependant quelques longueurs et la salve de morales inutiles mais chères à Hollywood.
Peu crédible et hautement improbable, un film du réalisateur P.J. Hogan, l'homme qui fait du cinéma pour faire plaisir à ces dames (Le Mariage de mon meilleur ami, Amours suspectes, Muriel, ...), qui ne nous a pas ravies, mesdames, pour une fois... Un film qui ne s'adresse pas vraiment aux hommes...plutôt pour une soirée entre bonnes copines. Car, dans un autre contexte que celui de se vider la tête, le film déçoit rapidement : gags dignes de cartoons (les habits qui sont propulsés hors de l'armoire, la femme qui se jette sur le bureau en pleine réunion...), une actrice principale assez enfantine dans ses mimiques, et une niaiserie constante qui nous fait soupirer de voir autant de facilités et d'incohérences... La fin mielleuse gâte les dents de sa guimauve suintante... Autrement, le problème de l'addiction au shopping est survolé, car il s'agit d'une vraie maladie psychologique grave, et le film nous donne une idée "que ce n'est pas grave du tout", alors que tant de personnes en souffrent cruellement au quotidien... Utopique, très guimauve, avec une bande-son horripilante (James Newton Howard, pourtant habitué aux films de P.J. Hogan et que j'apprécie d'ordinaire, m'a plus que déçue... soit la musique est criarde, soit caricaturale du "girly", soit inexistante... Un bel incident de parcours pour celui qui nous a enchanté de tant de beaux morceaux...). Un film pour les adolescentes ou pour une soirée entre filles...qui ne vole pas bien haut et reste très niais.
Un homme qui regarde un girl movie en tout état de cause se doit de rester impartial, quoi qu'il arrive. A savoir qu'un accro du shopping, au féminin comme au masculin, est bien souvent une personne frustrée, désespérément insatisfaite, et pour tout dire, superficielle. Notre impulsive maladive, incarnée par la pétillante et hystérique Isla Fisher, remplie joliment le rôle de potiche incapable de résister à ses pulsions, aussi extravagantes qu'inutiles. Sauf que tout excès se paye tôt ou tard par des retombées souvent violentes de vérité. Lorsque les vitrines nous contrôlent, le moment est sans doute venu de ce remettre en question et s’interroger sur l'authentique sens de la vie: profiter de chaque instant sans jamais songer aux conséquences, ou alors suivre la voie de la raison en laissant les caprices au placard? La première règle pour pouvoir dépenser sans compter est de savoir conserver un job. Une instabilité dans la vie qui se répercute sur le milieu professionnel est fréquente. L’héroïne de ce film est donc une sorte de figure satirique de la haute consommation, compulsive à l’extrême, un emblème de l'excès et de l’opulence dérisoire. On y découvre le monde de la mode, impitoyable et indécent dans la compétition malsaine. Malheureusement, ce cocktail d'humour potache rose-bonbon pousse davantage au ridicule qu'à la rigolade. Un concentré de stéréotypes beaucoup trop lourdauds et surfaits pour être marquant. Le contexte en est d’autant plus idéalisé qu’on souhaiterait le voir plus pessimiste, c’est à dire réaliste. Du girly bébête à la sauce bien piquante signé US au fer rouge. Ce semblant de moral sur la rédemption est un véritable coup de grâce, une ode à l'abrutissement de seconde zone. Mesdames, à vous les studios… 2,5/5
On adhère au style de comédie américaine mais le fond du film reste cucu. Néanmoins on passe un bon moment. Ne pas se priver de rigoler et de se moquer... lol