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Un visiteur
3,5
Publiée le 13 mars 2011
Très loin de Supergrave ou du chef d'oeuvre Scott Pilgrim, Be Bad s'avère être un teen movie indépendant très abordable et sympathique en raison (pour beaucoup) du double-jeu du génial Michael Cera (juste le voir moustachu, fumer une clope, en envoyant chier Ray Liotta est jouissif en soi), des guests star (Liotta, Long, Buscemi, le "grec" dont je n'ose pas écrire le nom pouur ne pas me tromper) et un sens de l'absurde et du décalage... Mais le grand probleme du film demeure dans la relation du couple (assez mal foutu), la petite utilisation d'un concept énorme et l'utilisation de ce concept à une comédie certes drôle mais jamais subversive. La caractérisation est également mal foutu, car si le film veut se démarquer des teen-movie par ses persos cultivés, il freine l'identification inné pour cet acteur au charisme monstrueux. Reste que malgré ces défauts qui l'empêche d'être un grand film (comme les deux cités plus haut), BeBad est tout à fait attachant, et avait le plus beau dialogue de l'année "je vais te caresser le nombril... de l'intérieur"
0/20 : MINABLE ! le cinéma a déjà eu son lot de comédies américaines pour ados a l'humour gras et axées sur le sexe, et celle ci n'invente rien ! Les deux acteurs principaux (Michael Cera et Portia Doubleday) n'ont aucun charisme, Steve Buscemi ou encore Ray Liotta se ridiculisent dans leur rôle stéréotypé, Zach Gafianakis n'est pas drôle pour un sou, bref...Long, lourd, poussif, peu inspiré et sans grande envergure, "Be bad" est un RATAGE qui n'apporte abslument rien ! Mon cher Michael Cera, contente toi seulement de jouer (et encore)...
Que dire de ce Youth in Revolt ? l’idée de base aurait pu être alléchante, laisser place à toutes les plus grandes folies que seul un esprit machiavélique (une petite pensée pour Cortex ou Coyote) aurait pu réaliser. Il n’en est rien, rien que du très conventionnel peu drôle et à la sauce américaine traditionnelle – la mère nympho, la belle mère bimbo, le jeune puceau, les flics lourdauds, la belle blonde ado… On rajoute une réa des plus classiques, et on ne retient que trois choses : quelques chansons qui se démarquent de la Bande Originale, quelques séquences stop motion qui se démarquent de la séquence vidéo et un film ou une fois de plus tout était dans le titre : Be Bad! (méchamment pathétique)
Serie B!!!!je comprends maintenant pourquoi ce film n'a mis qu'une semaine à l'affiche au ciné. la bande annonce est trois fois mieux que le film même. heureusement que je l'ai vu en streaming, ça m'a fait des économies! trop de lenteurs et pas drôle! J'ai coupé avant la fin, heureusement !!! par contre le personnage masculin principal est un bon comédien, je trouve.
Be Bad ! est un film qui démarre lentement, très lentement. On pénètre dans l'univers sentimental d'un adolescent américain qassez seul et rejeté, qui se cherche encore, à la famille éclatée et complètement dingue. Du teen-mobie vu, revu et rerevu en somme. Il ne démarrera véritablement qu'avec l'apparition du personnage de François, et seul le dernier tiers du film sera un tant soi peu plaisante et capable de nous décrocher quelques sourires (à défaut de rire, n'en demandons pas trop). Quelques phrases sont croustillantes, et on relèvera quelques situations fort cocasses, mais elles se compteront hélas sur les doigts de la main d'E.T. MAIS, une agréable surprise tout de même: cette french touch, qui nous fait plaisir et fait raisonner un bon "Cocorico' dans nos coeurs et dans le film, ce qui est rare dans une oeuvre américaine. Rien que ça on savoure! Belmondo, Gainsbourg, Dutronc, Camus... On est ravis ! Tout comme de voir Zach Galifianakis (Very Bad Trip). Mais au final, c'est un sentiment de superficialité, de déjà vu et de grosse inconstance qui prédomine. Etre captivé 25min après 1 heure à tourner en rond, c'est trop peu.
l'homme qui murmurait à l'oreille des chameaux
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0,5
Publiée le 31 mars 2014
Que dire de ce film qui n'est ni drôle (et n'essaye même pas de l'être), ni romantique (il a peut être essayer mais pas sûr non plus), ni quoi que ce soit d'autre. On se demande quel est son but. En somme nous voici en présence d'une éclatante déjection fécale.
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1,5
Publiée le 30 juin 2020
Je voulais vraiment aimer Be Bad ! Car cela a commencé avec un sympathique protagoniste, Nick Twisp et son intérêt amoureux pour Sheeni Saunders. Le casting comprend également un casting de soutien original comprenant des sommités comme Steve Buscemi, Zach Galifianakis, Ray Liotta et Justin Long. On est immédiatement attiré par Nick et Sheeni avec leurs discussions intellectuelles axées particulièrement sur le cinéma, il est un francophile engagé avec un engouement particulier pour le célèbre acteur français Jean-Paul Belmondo. Toutes les plaisanteries et les personnages décalés se révèlent assez engageants pendant les trente premières minutes du film jusqu'à ce que Nick invente un personnage alter ego, François Dillinger, pour l'aider à gagner le cœur de Sheeni. Dillinger avec sa fine moustache au crayon est également censé être un mauvais garçon attirant les femmes. Il finit par conseiller à Nick de faire sauter la moitié de Berkeley. Nick écoute sa moitié sauvage et démente et finit par écraser Jerry dans un restaurant provoquant un incendie. Nick est maintenant un homme recherché. Nick a plus d'un acolyte dans Be Bad ! mais ils sont tous sous-développés. Son meilleur ami a peu de temps d'écran. Cela aurait pu être une histoire simple à propos d'un enfant geek dans l'insécurité qui gagne en confiance avec les femmes en inventant puis en suivant l'exemple de sa propre création de mauvais garçon. Cependant, un mauvais garçon qui a encore du cœur et de l'âme. Malheureusement, l'alter ego n'a pas de classe et il est peu logique qu'un bon garçon choisisse de suivre une voie aussi sombre. Conclusion : Un personnage alter-ego immoral et peu aimable qui pousse la comédie potentielle dans la mauvaise direction...
Ca y est ce film annonce qu'on en a ras le cul de ce personnage de Cera. Pour preuve, les seuls moments qui valent le coup sont les petites apparitions de François, sinon on se fait chier. Pas d'histoire, pas de dialogues, pas de personnage. Des séquences d'animation assez minables et une épilogue franchement dégueulasse.
C'est naturellement Michael Cera vu dans le film "Super Grave", qui m'a donné l'envie de voir ce film. Malheureusement je regrette d'avoir visionné cette comédie qui se révèle plus ennuyeuse que drôle. La participation du très bon Justin Long n'y change rien...
Be Bad ! est un peu le film typique avec Michael Cera. C'est une énième histoire d'ado mal dans sa peau qui veut perde son pucelage. Mais bon, vu que Cera joue ça très bien et a la tête de l'emploi, pourquoi pas ?
Le film parvient à ne pas tomber dans tous les clichés du genre grâce à quelques touches d'originalité qui sont là pour nous faire oublier que l'on a déjà vu cette histoire cent fois. Et je dois dire que ça fonctionne plutôt pas mal. Alors ce n'est pas hilarant, ça aurait pu aller beaucoup plus loin dans la connerie, mais je ne'ai pas passé un moment si désagréable que ça. J'aime bien l'idée du double français qui est plus viril et qui lui permet d'emballer des donzelles...
Cependant ça reste sous-exploité, il aurait pu aller plus loin dans le côté badass, malgré le titre français le film reste un peu sage. Alors oui on a quelques délires visuels faits dans différents type d'animation qui rendent plutôt bien, on a deux blagues avec des voitures qu'on casse, mais c'est un peu tout ce qu'il y a de réellement "bad". Et c'est dommage, parce qu'avec un double maléfique à un puceau il pourrait y avoir des choses bien plus amusantes à faire, tout en restant dans quelque chose d'un peu crédible et réaliste (sans se mettre à tirer à la carabine sur tout le monde quoi). On aurait pu imaginer que le passage où il essaye de se faire virer de chez sa mère dure plus longtemps, permettant une gradation dans les conneries et limiter la partie dans le pensionnat français et la seconde partie du film de manière générale que je trouve moins inspirée car plus banale finalement.
Bref il y a de l'idée, c'est sympathique, mais bon, c'est pas non plus la folie.
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3,0
Publiée le 4 juillet 2013
Drôle ou non ? Telle est la question pour cette comèdie en dents de scie, où l'on passe de la franche hilaritè à une histoire qui se perd parfois en chemin! Pourtant, l'intèrêt de "Youth in Revolt" se maintient et repose sur d'incontestables bonnes intentions! Michael Cera, Portia Doubleday...ces deux-là ètaient faits pour se rencontrer! La preuve, les scènes où ils sont rèunis, sont les plus belles, les plus rèussies! Raillant avec un humour dècalè, mais sans être lourdingue ou vulgaire, les mèandres de la « Teen-comèdie » , cette oeuvre lunaire s'impose par sa folie douce /dingue et son ènergie vivifiante! L'arrivèe en vedette de Michael Cera (avec son alter-ègo à l'esprit retors) fait du bien au genre, peut-être parce qu'il est très convaincant en jeune homme amoureux, sans pour autant être considèrè comme le nouveau « Belmondo » de "A bout de souffle". Peau cristalline, magie naturelle, silhouette haute en couleurs qui rappelle parfois la froideur et la blondeur de Grace Kelly, Portia Doubleday marque, comme une borne kilomètrique, son entrèe dans les actrices à suivre de très près! Elle est d'une grâce et d'une fèminitè confondantes de naturel! On comprend dès lors que le personnage principal est prêt à tout pour être avec elle, quitte à semer le chaos autour de lui! Dans les seconds plans, Zach Galifianakis et Ray Liotta ne font que passer dans ce divertissement attachant et « schizophrènique ». A signaler enfin le sympathique gènèrique de dèbut en pâte à modeler et le choix de certaines chansons françaises pour le film (Dutronc, Bardot)...
Elle ont beau sentir la comédie pour ados et ne pas toujours être du meilleur goût, j'ai personnellement pris un réel plaisir à suivre les aventures de ce gentil loser. Car si ce sentiment se justifie par la présence d'excellents acteurs (Michael Cera, Steve Buscemi, Zack Galifianakis, Justin Long pour ne citer qu'eux), il y a aussi, comme souvent dans les comédies américaines, ce sens du rythme, de la « réplique qui tue » au bon endroit au bon moment, mais surtout ce côté gentiment subversif n'hésitant pas à mettre à mal (sans l'exploser non plus) le code de bonne conduite américaine, faisant presque toute la différence entre un divertissement réussi et sans grand intérêt. Et même si le film a une fâcheuse tendance à se répéter parfois (le double lourdingue et assez énervant), je suis tout de suite rentré dans le ton de cette « chronique adolescente » vraiment pas comme les autres et en conséquent tout à fait recommandable. Imparfait donc, mais plaisant.
Le cinéma Indé US continu de grapiller les plates-bandes d'Hollywood et notamment avec ce teen-movie léger, drôle et tendre à la fois. Nick Twisp a le moral en berne, ado et puceau ne font jamais bon ménage, surtout quand ce dernier est maladroit avec les filles ! Mais sa courte existence va prendre une toute autre tournure lorsqu'il rencontre la jeune et jolie Sheeni Saunders, grande amatrice de Paul Belmondo, Serge Gainsbourg et de la culture Française en générale. Pour la conquérir, il va devoir casser son image de looser et se faire passer pour un dur à cuire. Pour cela, il va se créer un alter-ego redoutable, sensé lui donner confiance en lui. Miguel Arteta réalise ici une réjouissante teen-comedy, en partie grâce à un scénario original et à ses interprètes, dont le très juvénile Michael Cera, aux côtés de la ravissante Portia Doubleday et bon nombre de seconds rôles et autres guests tous plus hilarants les uns que les autres.