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JeremGar
93 abonnés
1 568 critiques
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2,5
Publiée le 16 mars 2010
Midnight Meat Train est un très bon thriller du début jusqu'à (presque) la fin! Un très bon scénario, un très bon suspens. L'ambiance est parfaitement adaptée au contexte du film. Cependant, le dénouement est assez décevant. Et cela gâche et laisse un goût amer alors que tout au long du film on reste scotché!
Un film angoissant et sombre servit par un duo d'acteurs assez étonnant. Le début fait penser à un thriller qui tourne à l'obssession puis à la chasse à l'homme, avant de sombrer dans une fin glauque et hors du commun. J'ai été très surprise par cette fin mais bon... :)
Si "Midnight meat train" souffre de quelques lacunes, nottaement scénaristiques, il possède suffisament d'âme et de style pour nous garder sur nos sièges. Âmes sensibles s'abstenir.
L'univers de Clive Barker est sous exploité au cinéma alors quand déboule enfin enfin Midnight meat train tiré du fameux Livre de sang, on ne peut être qu'enthousiasme mais il restait une inconnu c'était son réalisateur aussi doué que turbulent.Le résultat est un peu à cet image si l'univers froid et menaçant est parfaitement retranscrit avec une mise en scène travaillée et parfois brillante il y a aussi de terrible faute de goûts à savoir des effets gores numériques aussi mal inscrusté que ridicule ce qui est d'autant plus idiot que les maquillages gores traditionnelles sont efficaces.En ce qui concerne Vinnie Jones il trouve là son meilleur rôles amenant sa carrure impressionnante pour camper un excellent tueur.
Esthétiquement très beau Midnight meat train nous entraine dans un face à face entre un simple photographe et un boucher tueur en série. Certes l’intrigue n’a rien de vraiment évoluée dans le genre mais celle-ci change d’allure vers la fin est nous offre une finale qui modifie la donne. La réalisation est efficace, le jeu d’acteur est bon, mais le scénario fait preuve d’indélicatesse et possède quelques imperfections qui gènes. L’intrigue n’est donc pas à la hauteur du rendu visuel. Mais dans l’ensemble Midnight meat train est une bonne série B et plaira forcement aux fans du genre.
"Midnight Meat Train" ne brille pas par son idée originale, tirée de la nouvelle de Clive Barker, car, train ou pas train, le scénario se cantonne relativement aux mêmes ingrédients, aux mêmes ficelles et aux mêmes rebondissements habituels. Mais là où ce simple récit y gagne, c'est dans sa mise en scène inspirée par la photographie (qui est au centre du récit puisque le héros saisit des clichés de l'effrayante réalité new-yorkaise) et dans son montage particulièrement clair et limpide. L'adoption par le réalisateur du matériau de l'histoire originale, à savoir cette idée d'images vives, capturées dans l'instant, créé une forme cinématographique hybride, justement entre le cinéma de genre savamment troussé, et le collage de clichés chics et chocs, conférant au film une allure glaciale rehaussée par la présence du rouge. La magnifique photo de Sela & Smith fait resplendir les lumières urbaines et les matières diverses (corps, liquides, métaux), participant au souffle angoissant et morbide de l'ensemble et à l'entité architecturale des lieux et des plans qui les traduisent. Ainsi New-York prend une forme personnelle, subie un relooking sous la vision fantasmagorique du cinéaste. Bien écrit, malgré une légère tendance à l'alternance sommaire lors de la première demi-heure (métro/extérieur), "Midnight Meat Train" vaut aussi pour son train d'enfer. De plus, l'originalité des ambiances et du graphisme séduit dans l'imagerie souvent poussiéreuse du genre. Vinnie Jones, muet mais dont la présence barbare cloue au sol, incarne un psychopathe mastodonte déjà culte, agissant avec son maillet pour des éclaboussures de sang et des idées gores originales que ne renieront pas les adorateurs du cinéma d'Argento auquel ce film, toute proportion gardée, doit beaucoup. L'excitation provoquée par la face ludique des scènes de meurtres (grâce à l'expérimentation technique de Kitamura) donne tout son sens à celles-ci sans même les affranchir d'une quelconque gratuité. "Midnight Meat Trai
Au début, le film en met plein la vue avec sa réalisation tape à l’œil, son ambiance crade et son rythme échevelé mais l’ensemble retombe comme un soufflet avec un dénouement grotesque et mal amené.
Le gore, tout en numérique, n'est pas très crédible. La mise en scene est parfois originale (pour un film d'horreur) mais finalement dans la veine de ces cinéastes mangas. En fait, les incohérences scénaristiques sont génante et le film peine à installer une ambiance pesante, indispensable à ce type de film. La fin est typiquement japoniaise. Bref, note moyenne pour un film moyen.
On peut quasiment faire deux critiques de ce film : soit l'aborder comme une pure série B gore, soit l'envisager sous un angle beaucoup plus esthétique. Son principal intérêt, et aussi son originalité, tient dans la cohabitation des deux angles d'attaque. Ainsi Midnight meat train serait une sorte de performance gore arty. Pendant toute la première partie du film, on suit un photographe en mal de reconnaissance artistique, qui se met peu à peu à suivre les pas d'un mystérieux boucher sanguinaire agissant dans le métro à 2 heures du matin. Le photographe est d'abord curieux, avide de réaliser des photos percutantes, puis peu à peu happé, voire fasciné par le tueur. La mise en scène de Ryuhei Kitamura transforme le béton et l'acier des profondeurs du métro en un décor au potentiel esthétique particulièrement bien exploité. Cadre précis, jeux sur la profondeur de champ, flou et netteté, ralentis et accélérés, BO au diapason, tout s'accorde pour que nos sens, à l'image de ceux du héros, perdent peu à peu leurs repères. Si l'intrigue n'évite pas de nombreuses invraisemblances, jusqu'au final plutôt foireux, il semble presque que l'essentiel ne soit pas là. La narration sait en tout cas installer l'histoire sur la durée, jusqu'à une explosion gore dans la dernière demi-heure, le rouge sang contrastant admirablement avec le gris métallique. Série B décomplexée, performance post-moderne ? Certains pourront même y lire une réflexion sur l'homme mangeur de viande ou comment l'urbain civilisé mais avide de sensations retrouve ses instincts primitifs... Si Midnight meat train est tout ça à la fois, ça fait peut-être beaucoup pour un seul film. On peut aussi décider de ne pas chercher la petite bête en profitant sans arrière pensée de ce délire gore plutôt sympathique. Végétariens, s'abstenir.
C'est toujours un réel plaisir de retrouver V.J à l'écran. Plutôt bien filmé dans l'ensemble mais manque cruellement de rythme ! Le scénario n'est pas trop mal mais la fin est bâclée. Absence de BO.
The Midnight Meat Train de Ryuhei Kitamura, film d'épouvante ayant eu de nombreuses sorties ciné française repoussé, au final on y croyait plus, et finalement le film à trouver sa date de sortie pour fin juillet 2009. Un film qui a fait sensation au festival fantastique de Gerardmer. Mais qui une fois vu déçoit, et pour ma part ça a était le cas. C'est dommage car le film commence plûtot bien, les 30 premieres minutes, sont assez intriguante et passionante, très vite ça devient assez répétitif et assez lassant. La fin quand à elle est très surprenant, je ne m'en suis pas douté une minute, je suis me rester un peu surpris pendant le générique parce que je venais de voir. C'est pas pour autant que j'ai étais emballé, étonnant pour moi, car en plus de ça je déteste les films d'horreur ou tout est bien qui finis bien, mais là j'aurais limite préféré que ça se termine ainsi. Pour parler des acteurs, ils sont assez bons dans l'ensemble : Bradley Cooper, Vinnie Jones et Brooke Shields se débrouillent, on a vu mieux pour un film d'horreur, mais c'est quand même pas mal joué. Puis pour finir, y'a des petites choses qui m'ont dérangé, tout ces effets avec les scènes gore et le sang, puis la musique qui est assez désagréable.
J'ai du mal à comprendre qu'esque Bradley Cooper vient faire ici mais bon. L'idée de départ est interressante, mais la fin du film est plutot bizard et décevante.
Que dire ... ? C'est un film un peu trop sombre à mon gout , la fin est quand meme assez grotesque , c'est sur on ne s'y attend vraiment pas o_O ... 1 étoile pour le gore qui est tout de meme assez présent :) et une étoile pour un suspence énorme car la fin est quand meme je le redit soudaine et inpensable :)
Ca partait bien, mais le final est vraiment nul. B.Cooper pas mal dans ce role de photographe passioné. Le scénario est un peu invraisemblable, mais bon ça reste divertissant...
Midnight Meat Train est à prendre comme il est, c’est-à-dire un film de genre sans prétention, qui comporte beaucoup de points positifs, notamment au niveau de la psychologie de ses personnages mais qui, malheureusement, n’arrivera pas à convaincre les puristes qui crieront sans doute à l’escroquerie au final. Le film restera néanmoins, dans les limites d’un genre assez frivole, une tentative honnête d’un réalisateur qui commence peu à peu à imposer un style d’une créativité indiscutable. (critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/2009/08/04/critique-midnight-meat-train/)