Très similaire au "(le) terminus de l'horreur", "Midnight Meat Train (MMT)" joue davantage sur la corde du gore - et légèrement moins sur l'aspect sci-fi - ce qui n'offre aucune réel avanatage à ce film. Ici, MMT nous tiens en haleine pendant les trois-quarts du film mais les derniers moments nous offrent une fin assez pitoyable capable de briser l'ensemble du film. En plus de souligner les quelques effets spéciaux ratés (et une photographie parfois moyenne), le film se termine sur un travail que je considère comme sérieusement baclé; notamment parceque c'est là que nous voyons apparaitre toutes les "failles" du scénario qui étaient prévisibles depuis le début (notamment concernant la dame...). Au début, j'étais enchanté de trouvé un excellent film avec de très bon acteurs mais sur la durée je me suis résigné à trouver que celui-ci s'apparentait à un n-ième navet assez pitoyable... Pour conclure, plus ce film avance et plus il frise le ridicule, c'est dommage, car la maitrise semblait parfaite...
Le métro désert en pleine nuit est certe inquiétant (le seul bon élément de "Midnight Meat Train") mais l'histoire d'amour non nécessaire, l'enquête sur le serial killer raté et la chute dégradent ce film. Globalement, pas très satisfaisant comme film.
violence gratuite est le terme qui résumerait ce film. en plus, c'est franchement mal fait. c'est gore, mais d'un gore ridicule. seule la fin vaut le détour, le reste..... nul
midnight meat train regorge de bonne idée visuels , de plan de caméra dingue et de scènes trash au possible . après une bonne première partie réussi sous tous ses angles , le film a un twist qui nous sors de toute ambiance instorée depuis le début du film et a une fin très prévisible. pourtant extrèmement bien réalisé avec des personnages très bien écrit interpétée par d'excellent acteur . midnight meat train nous perds et petit a petit nous ennuie .. très dommage pour un film qui aurait put être un thriller très sympa
Un homme passionné par la photographie veut participer à une exposition, il va arpenter les rues et les stations de métro la nuit quand les criminels sont de film mou, mais qui change un peu des autres films, les effets spéciaux sont pas terribles. Déception quand même, il aurait pu être beaucoup mieux.
Pour moi, Midnight Meat Train s'impose sans mal comme le meilleur film (ou le moins pire plutôt) du cinéaste japonais Ryuhei Kitamura. Enfin quelque chose de premier degrés, où l'on n'a pas envie de pouffer de rire à cause du ridicule de l'oeuvre. Avec le chapelet de nanars qu'il se traine, c'est un cas à part ce long métrage on va dire. Ceci dit, ce n'est pas la panacée pour autant. Je veux dire par là, que le sujet ou le concept de base de Clive Barker est intéressant et intriguant, mais en l'état c'est assez mal exploité. Le scénario s'attarde longuement sur le photographe et de la tournure que prend sa relation de couple, par moments c'est limite lourd et rébarbatif. Ensuite, tout ce qui concerne le tueur en série qui sévit dans le métro (Vinnie Jones monstrueusement charismatique) est franchement pas mal du tout. Alors oui, il y a un bémol sur les effets spéciaux, qui font peine à voir sur certains plans. Néanmoins, les meurtres sont très graphiques et il y a de très bonnes idées de mise en scène: je pense notamment à la décapitation en vue subjective. Rien que pour cette séquence et le bad guy, le film mérite d'être vu. Sinon, la fin dérape et tombe, de manière abrupte, dans le grand guignol excessif. C'est assez déroutant, mais c'est une bonne chose finalement, ça dénote avec le côté bridé de l'ensemble et ça m'a surtout permis de sortir de ma torpeur.
Une série B horrifique bien sanglante mais très bancale, plombée par un scénario pipé malgré un début prometteur et l’interprétation mémorable d'un Vinnie Jones très inquiétant qu'il vaut mieux ne pas croiser dans le dernier métro !
Certes fidèle à ce dont on peut attendre d'un tel film de genre le métrage n'en décolle que trop rarement pour donner un semblant de sueur froide ou d'originalité. Le réalisateur jouant (involotairement?) la carte du gore à la limite du cartoon n'obtient que très rarement une tension glauque et violente dans lequel le film pourrait s'inscrire. A la place nous obtenons sur un scénario version Tales from the crypt adulte (merci Clive Baker à l'origine de l'histoire), un film trop peu abouti, aux effets gore ou non mais gratuits et dénués de sens (aucun intérêt de mettre en scène un travelling circulaire à un moment donné pour uniquement montrer son savoir faire). Aucune tension n'est présente lors de scènes clé, une seule pourtant (l'appartement) sauvera la donne. Casting uniquement charismatique tant le jeu des 2 principaux comédiens n'est jamais exploité, alors que l'axe de la folie, par exemple, est souvent évoqué. En somme un petit galet dans l'eau faisant plus de remous que de résonances estival pour ce genre de film attirant autant un public venant se vider les neurones que les fans du genre.
ca commencait bien, mais le final est totelement ridicule. Le premier indice de la chute en eau de boudin est lorsque que la petite amie du photographe 1) reagit a contre sens quand il lui montre les photos du boucher car n'importe qui serait intrigue et elle dit: oublies, non sens 2) ellle est choquee quand il la prend en photo nue; en generale les jolie fille qui ont pour petit ami un photographe pro ont ete prise en photo sur toutes les coutures car cela les valorisent et fattent leur ego. A partir de la tout va en empirant, dommage le debut etait sympa; La directrice de gallerie est stereotypee et insupportable de snobisme.
Récompensé par deux prix au dernier festival de Gérardmer, ce film d'horreur promettait beaucoup sur le papier. Le pari est en parti réussi. Le début est intéressant, l'histoire tient en haleine. Progressivement ça stagne un peu et l'intérêt n'est maintenu que par les scènes de boucheries très gores et bien dégueulasses. La fin par contre est totalement bâclée on nous balance des personnages (la femme flic, les monstres) et un retournement de situation finale sans aucune explication, démerdez-vous. L'autre intérêt est la présence du toujours très beau et sexy Bradley Cooper (Ce que pensent les hommes, Very bad trip), plutôt convaincant. Vinnie Jones fait froid dans le dos en boucher tueur imperturbable. A noter aussi la présence de Brooke Shields très rare au cinéma de nos jours. Un film assez inégal donc mais avec tout de même quelques bonnes scènes flipantes et d'autres bien gores. Trois copies seulement sur Paris c'est peu, en plus je me suis planté je l'ai vu en VF, pas génial. En tout cas à réserver aux amateurs du genre.
Djep ca gicle à mort ! Des tonnes de litre de sang partout dans le métro ! Affublé d'une réalisation tape à l'oeil, le film nous plonge dans les entrailles des trains urbains bien connus par nous tous pour mieux en faire ressortir divers fantasmes plus gores les uns que les autres. Un film qui se regarde agréablement fort d'un rythme soutenu pour ceux qui survivent aux scènes grand guignolesques.
Le problème avec les adaptations cinématographiques de la littérature, c'est qu'elles sont souvent bien fades face aux œuvres qui les ont inspirées. Ce "train de l'abattoir" ne fait pas exception à la règle. Seule l'histoire est assez fidèle, même si la fin n'est pas développée et que le film se permet des ajouts inutiles et/ou maladroits. Autre soucis majeur : ce film parvient difficilement à trouver son public, étant trop gore pour ceux à qui ça dérange, et de bien trop mauvaise qualité graphique pour les amateurs d'hémoglobine.
Film ennuyeux et assez incohérent sur certains passages, je pense notamment au fait de voir un tueur dans un train tapisser entièrement les murs du wagon avec du sang partout, on se demande comment personne ne l'a choppé ou encore comment il fait pour tout nettoyer incognito. A noter quelques scènes soporifiques entre le héros du film et sa compagne avec des dialogies inintéressants. Pourtant la fin du film est absolument bienvenue et met une cohérence sur tout le film. On termine en se disant que finalement, c'était plutôt pas mal, même si des choses sont téléphonées et prévisibles, étant fan de gore et d'univers horrifiques, je n'ai pu que m'incliner devant ce final jubilatoire. Un Clive Barker sympathique au final mais qui aurait pu être moins prévisible et moins ennuyeux par moment.
Leon Kauffman (Bradley Cooper) est un photographe new yorkais à l’affût du moindre cliché suffisamment dérangeant pour pouvoir être exposé au sein d’une prestigieuse galerie d’art. Rapidement, il est fasciné par un colossal businessman au regard terrifiant qu’il décide de suivre. Ce dernier s’avère être un redoutable tueur qui attend le dernier métro pour dégommer à coup de marteau de boucher les derniers voyageurs. Le film de Ryûhei Kitamura, s’il ne m’a pas complètement convaincu, a au moins le mérite d’être une vraie prouesse artistique. Le cinéaste allie parfaitement la froideur des couleurs du métro au rouge vif du sang qui gicle des victimes du boucher sanguinaire, les plans sont travaillés et graphiques et participent à l’atmosphère suffocante du film. L’histoire se suit sans déplaisir et offre son lot de scènes stressantes (la poursuite entre les carcasses de viandes et l’intrusion dans l’appartement du tueur) et de pures moments gores, le tout sans une once d’ironie. Quant au twist final, il est plutôt surprenant, arrive un peu comme un cheveu sur la soupe et aurait mérité d’avantage d’explications, tout comme il aurait été intéressant d’en savoir un peu plus sur le personnage de la femme flic qui semble être mêlée de près à toute cette histoire. Bref, un film d’horreur plutôt sympa et original mais un peu décevant dans son dénouement, adapté d’une nouvelle de Clive Barker que j’ai bien envie de lire, et servi par des acteurs convaincants : le très sexy Bradley Cooper et le flippant Vinnie Jones.