Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
orlandolove
136 abonnés
1 722 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 30 octobre 2013
J'ai pas accroché... Malgré sa carte de visite à rendre jaloux Uwe Boll, on ne peut pas reprocher grand chose au réalisateur. Ryuhei Kitamura fait le job, sans éclat certes mais tout de même : mise en scène dynamique sans excès, effets gore réussis, bonne ambiance. Les acteurs se dépatouillent pas si mal avec leur personnage (pourtant bien foireux pour certains). Non, là où le bat blesse, c'est du côté du scénario, surnaturel, qui part en cacahuète...entraînant le film avec !
J'ai vraiment adoré ! Rythme sans sous-régime, l'ambiance est tuante, la mise en scène est psychédélique et c'est gore à souhait. J'ai passé un grave bon moment.
Malgré un pitch alléchant et une photographie esthétique ce film n'est guère emballant. Un mélange de plusieurs genre sans cohérence globale avec des attitudes de certains protagonistes peu convaincantes. L'ennuie s'installe petit à petit jusqu'au dénouement final plutôt médiocre et mal ficelé. Un gâchis.
Esthétiquement très beau Midnight meat train nous entraine dans un face à face entre un simple photographe et un boucher tueur en série. Certes l’intrigue n’a rien de vraiment évoluée dans le genre mais celle-ci change d’allure vers la fin est nous offre une finale qui modifie la donne. La réalisation est efficace, le jeu d’acteur est bon, mais le scénario fait preuve d’indélicatesse et possède quelques imperfections qui gènes. L’intrigue n’est donc pas à la hauteur du rendu visuel. Mais dans l’ensemble Midnight meat train est une bonne série B et plaira forcement aux fans du genre.
"Midnight Meat Train" ne brille pas par son idée originale, tirée de la nouvelle de Clive Barker, car, train ou pas train, le scénario se cantonne relativement aux mêmes ingrédients, aux mêmes ficelles et aux mêmes rebondissements habituels. Mais là où ce simple récit y gagne, c'est dans sa mise en scène inspirée par la photographie (qui est au centre du récit puisque le héros saisit des clichés de l'effrayante réalité new-yorkaise) et dans son montage particulièrement clair et limpide. L'adoption par le réalisateur du matériau de l'histoire originale, à savoir cette idée d'images vives, capturées dans l'instant, créé une forme cinématographique hybride, justement entre le cinéma de genre savamment troussé, et le collage de clichés chics et chocs, conférant au film une allure glaciale rehaussée par la présence du rouge. La magnifique photo de Sela & Smith fait resplendir les lumières urbaines et les matières diverses (corps, liquides, métaux), participant au souffle angoissant et morbide de l'ensemble et à l'entité architecturale des lieux et des plans qui les traduisent. Ainsi New-York prend une forme personnelle, subie un relooking sous la vision fantasmagorique du cinéaste. Bien écrit, malgré une légère tendance à l'alternance sommaire lors de la première demi-heure (métro/extérieur), "Midnight Meat Train" vaut aussi pour son train d'enfer. De plus, l'originalité des ambiances et du graphisme séduit dans l'imagerie souvent poussiéreuse du genre. Vinnie Jones, muet mais dont la présence barbare cloue au sol, incarne un psychopathe mastodonte déjà culte, agissant avec son maillet pour des éclaboussures de sang et des idées gores originales que ne renieront pas les adorateurs du cinéma d'Argento auquel ce film, toute proportion gardée, doit beaucoup. L'excitation provoquée par la face ludique des scènes de meurtres (grâce à l'expérimentation technique de Kitamura) donne tout son sens à celles-ci sans même les affranchir d'une quelconque gratuité. "Midnight Meat Trai
Je pensé en découvrant ce film me retrouver avec un film d'horreur sans intérêt et quel fut ma surprise en constatent que ce film a retenu mon intention pendant toute ça durée et que le dénouement est excellent.
Fatigué de voir son travail massacré sur grand écran, Clive Barker décide de produire lui-même cette adaptation réussie bien qu'imparfaite, confiant la mise en scène à Ryuhei Kitamura. En résulte un train fantôme fascinant et gore à souhait, étirant efficacement la courte nouvelle originale (à l'exception du duel final interminable entre Bradley Cooper et Vinnie Jones), constamment inventif et en perpétuelle expérimentation, le réal japonais transformant une simple commande en véritable tragédie touchante, doublée d'une critique pertinente sur notre fascination morbide pour les ténèbres. Dommage que des CGI trop visibles, une tendance à tout surexpliquer (le coup de la bague en gros plan) et surtout un manque flagrant du mystère propre aux légendes urbaines empêchent l'ensemble d'atteindre les cîmes d'un Candyman.
Un subtile mélange entre le genre archi gore, avec son lot de désavantage, type massacre trop exagéré au niveau de l'image, cela allié a un genre fantastique plutôt orignal et justement justifié tout au long du film! Le montage, ainsi que l'image sont subtilement développés et surtout au service du scénario et des scènes de barbarie! Évidement que le dénouement est surprenant mais ici, on adhère totalement. L'évolution des relation entre les personnages principaux est plutôt bien exploitée pour aboutir à un réel retournement de position!!! Voilà de quoi prouver sur l'on peut mélanger différents genre pour obtenir l'essentiel dans ce film...simplement psychoter sans trop se soucier du côté plausible! Puis il faut aussi saluer la performance de V.Jones qui est époustouflante, sans jamais décrocher un mot...
Adaptation cinématographique d'une nouvelle de Clive Barker Le train de l'abattoir tiré du Livre de sang. Livre regroupant six histoires d'horreurs toutes assez différentes les unes des autres mais vraiment passionnantes ! Bon j'ai eu un peu de mal a rentré dedans, mais il ne fait aucun doute que ce flm est une adaptation très réussie et proche de la nouvelle !
L'histoire est passionnante et mystérieuse. Qu-est ce qui pousse ce tueur boucher a massacré les gens tard la nuit dans le dernier métro ? Comment se fait-il que le conducteur soit visiblement de mèche ? On sent que petit à petit un lien étrange ce tisse entre le tueur et le photographe qui le suit depuis quelques jours... Bon étant donné que je n'ai pas compris la fin du film et le pourquoi du comment de tout cela je ne peux pas y apporter d'explication. Sinon j'ai trouvé que c'était pas aussi gore que ce que le réalisateur en disait dans les interviews mais certains passages sont quand même extrêmement gore !
Quand ça tape ça ne fait pas les choses a moitié ! Un coup de marteau dans le visage et vous avez les yeux qui sortent de leurs orbites ! Vinnie Jones le mec choisi pour le rôle du tueur est parfait ! Une apparence a première vue très calme et coincé, mais une vraie machine à tuer quand le moment ce présente à lui ! Et un regard absolument glaçant ! Autre bon point, il ne parle pas ce qui le rend encore plus inquiétant. On comprendra pourquoi à la fin...
Voilà, je vous invite donc a jeté un oeil à ce excellent ptit film, pas parfait puisque cela traine par moment, que la première partie n'est pas passionnante et que le final n'est pour moi pas suffisamment clair mais l'histoire est originale, crédible et flippante. Les acteurs m'ont convaincu et le gore est bien dosé et ultra réaliste.
Course à l'horreur, ma foi somme toute sympathique, avec un bagage de debilo-trash complétement assumé ! L'univers glauque du métro, même s'il a déjà été bien usé ces dernières années, reste bien plus qu'efficace, surtout mélangé avec le côté morbide d'une boucherie. La fin agrémente encore un peu plus le tout. Seul bémol, le film nous oblige à suivre une de ses principales directives :"Ne pas poser de questions" un point c'est tout... Inutile donc de chercher à en savoir plus sur le pourquoi du comment, aspect toujours un peu frustrant pour le spectateur même si ça ne fait qu'apporter un peu plus de mystère à l'histoire ! Un vrai massacre mais pas une tuerie, le film se laissera facilement oublier.
Nouvelles adaptation d un nouvelles de Clive Barker.Le film est vraiment très bon.On suis avec horreur les crimes commis par le tueur du métro.On ce laisse submerger par l enquéte que mene le heros pour trouver la vériter.Prenant de bout en bout.Je le conseille vivement aux personne qui aime les thrillers.Néanmoins certaines scènes assez sont assez dur est pourrer choquer les plus sensibles.La fin par contre m as quands meme decue je dois bien l avouer.Néanmoins je ne serais sue trops vous le conseiller.
Je suis agréablement surpris par cette découverte, le film est gore et remplis de moments qui vous retournerons l’estomac. Le scénario est originale ce qui n’est pas commun avec les films d’horreur en générale et on ne s’ennuie pas. Je dirais que c’était un bon film malgré quelques petites incompréhensions et des scènes un peu trop poussé. Je recommande
Le grand retour de Clive Barker au cinéma. Enfin ! Cette adaptation de sa propre nouvelle "Le train de l'abattoir" s'avère contre toute attente excellente, le réalisateur japonais Rhuyei Kitamura (Versus, Azumi) réussissant à étaler sa palette de délires visuels sans compromis, avec toujours cette touche d'humour noir si bienvenue (voir la scène avec le caméo de Ted Raimi pour s'en convaincre). Calqué sur la plupart des récits de l'écrivain, nous suivons donc un jeune photographe ambitieux pris dans une tourmente infernale lorsqu'il va s'intéresser à un mystérieux géant errant dans le métro, géant qu'il soupçonne d'être un sanguinaire meurtrier... Fidèle avec précision à la nouvelle originale dans sa dernière partie, le scénario réserve donc son lot de rebondissements et entraine le spectateur dans une vision cauchemardesque aussi réaliste que possible, très proche de Candyman dont le surprenant final mérite à lui seul le détour. Le casting est quant à lui paradisiaque : Vinnie Jones campe avec assurance ce serial-killer méthodique, froid et sans pitié tandis que le méconnu Bradley Cooper (les séries "Alias" et "Nip/Tuck") convient parfaitement au rôle de Leon, ce photographe terrorisé mais assoiffé de curiosité. Se joignent également au casting la jolie Leslie Bibb et l'oubliée Brooke Shields. Extrêmement gore, très souvent malsain et pourvu d'une inventivité stupéfiante dans la mise en scène des meurtres malgré quelques effets numériques parfois grossiers, le long-métrage revient à un style d'exagération d'hémoglobine qu’on n’avait pas vu depuis longtemps (une habitude chez les réalisateurs de films du genre nippons). Ainsi, avec son histoire aussi prenante que terrifiante, son atmosphère lugubre et ses séquences gore virulentes, Midnight Meat Train ose, surprend et réussit le pari de faire revenir sur grand écran les récits jusque-là oubliés (ou ratés) du maître de l'horreur anglais.