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Votre avis sur Midnight Meat Train ?
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Film ennuyeux et assez incohérent sur certains passages, je pense notamment au fait de voir un tueur dans un train tapisser entièrement les murs du wagon avec du sang partout, on se demande comment personne ne l'a choppé ou encore comment il fait pour tout nettoyer incognito. A noter quelques scènes soporifiques entre le héros du film et sa compagne avec des dialogies inintéressants. Pourtant la fin du film est absolument bienvenue et met une cohérence sur tout le film. On termine en se disant que finalement, c'était plutôt pas mal, même si des choses sont téléphonées et prévisibles, étant fan de gore et d'univers horrifiques, je n'ai pu que m'incliner devant ce final jubilatoire. Un Clive Barker sympathique au final mais qui aurait pu être moins prévisible et moins ennuyeux par moment.
Amateur de boucheries et autres fans d'abattoir précipitez vous. Pour les autres fuyez ce mauvais nanar non assumé, au scénario inintéressant, aux personnages incohérents, au dénouement calamiteux, aux effets sonores foireux (le réalisateur dynamise grossièrement sa mise en scène avec l'accompagnement systématique des mouvements de caméra de son de saucisse fendant l'air) et j'en passe. Ici ni frisson, ni angoisse, ni stress, seulement quelques cours douteux d'anatomie humaine. Une demi étoile pour les dix premières minutes prometteuse et quelques plans sympas par ci par là. En un mot VIANDARD.
L'AlsacienParisien
Film gore à l'extrême, "Midnight Meat Train" n'hésite surtout pas à colorer la pellicule! L'histoire semble à priori assez simple, celle d'un serial-killer tuant ses victimes dans le dernier métro du soir... mais l'intrigue se complexifie et devient beaucoup plus intéressante par la suite avec un final surprenant et haletant! Mené par de bons acteurs, Bradley Cooper et Leslie Bibb, on se laisse emporter dans ce train de l'enfer avec des scènes vraiment crad comme il le faut. J'ai énormément aimé les différents angles de vue qu'utilise la caméra, çà renforce l'impression de malaise mais c'est oh combien jouissif. Par exemple, lors des scènes de meurtres, on a le point de vue des victimes alors on roule par terre au rythme de tête coupée. Moi, j'ai beaucoup aimé, j'ai trouvé le scénario et les acteurs sympas ainsi que les scènes de boucherie! Beeh, il y a une scène de déchiquetage que je regardais que d'un oeil tellement c'était un supplice, et les sons, berk, rien que d'y penser, çà me donne envie de rendre... Je le conseille qu'aux amateurs du genre, sinon les autres, faut être costaud!!
Objectivons
Un film d'horreur globalement moyen. Je m'explique : il commence plutôt bien, avec du suspens comme on le veut dans ce genre de film. Ensuite, il déçoit, avec une fin qui surprend un peu, certes, puisqu'on ne s'attendait pas à découvrir... ce qu'on y découvre. Mais c'est un point du scénario qui aurait dû être développé bien avant, et pas à la va-vite, je trouve... Dommage.
Leon Kauffman (Bradley Cooper) est un photographe new yorkais à l’affût du moindre cliché suffisamment dérangeant pour pouvoir être exposé au sein d’une prestigieuse galerie d’art. Rapidement, il est fasciné par un colossal businessman au regard terrifiant qu’il décide de suivre. Ce dernier s’avère être un redoutable tueur qui attend le dernier métro pour dégommer à coup de marteau de boucher les derniers voyageurs. Le film de Ryûhei Kitamura, s’il ne m’a pas complètement convaincu, a au moins le mérite d’être une vraie prouesse artistique. Le cinéaste allie parfaitement la froideur des couleurs du métro au rouge vif du sang qui gicle des victimes du boucher sanguinaire, les plans sont travaillés et graphiques et participent à l’atmosphère suffocante du film. L’histoire se suit sans déplaisir et offre son lot de scènes stressantes (la poursuite entre les carcasses de viandes et l’intrusion dans l’appartement du tueur) et de pures moments gores, le tout sans une once d’ironie. Quant au twist final, il est plutôt surprenant, arrive un peu comme un cheveu sur la soupe et aurait mérité d’avantage d’explications, tout comme il aurait été intéressant d’en savoir un peu plus sur le personnage de la femme flic qui semble être mêlée de près à toute cette histoire. Bref, un film d’horreur plutôt sympa et original mais un peu décevant dans son dénouement, adapté d’une nouvelle de Clive Barker que j’ai bien envie de lire, et servi par des acteurs convaincants : le très sexy Bradley Cooper et le flippant Vinnie Jones.
C'est du gore de chez gore, mais ce qui permet au film de s'élever au delà d'un simple spectacle macabre et horriblement sanglant, c'est l'éprouvante ambiance dans un cadre urbain fait exclusivement d'abattoirs et de métro. Même l'appartement, lieu normalement de paix, exigu et oppressant, est baigné dans des couleurs qui le rendent inquiétant. Très efficace et saisissant, la réalisation, l'image et le son, sont de qualité. Le scénario n'est toutefois pas super original et la fin est annoncée assez tôt. L'explication finale est quand même un peu légère et confuse. Malgré ces quelques reproches, c'est un très bon film dans son genre.
JeremGar
Midnight Meat Train est un très bon thriller du début jusqu'à (presque) la fin! Un très bon scénario, un très bon suspens. L'ambiance est parfaitement adaptée au contexte du film. Cependant, le dénouement est assez décevant. Et cela gâche et laisse un goût amer alors que tout au long du film on reste scotché!
Lancé comme un polar sanglant, cette adaptation de Barker devient un film mystique où la raison d'agir du tueur perd un peu de son mystère par un côté fantastique-inévitable final déconcertant mais perdant cette lueur d'un boucher dont on ignore les raisons. On cherche à savoir dès le début les motivations de celui-ci qui finalement sont indépendantes de sa volonté. Reste un film aux couleurs superbes et au gore haletant.
Après une scène d'introduction coup de poing où l'expression "jeter un oeil" prend tout son sens, on ne s'immerge jamais dans ce huit clos mené tambours battants dans le métro New-Yorkais. Même si le début sait nous tenir en haleine jusqu'à la rencontre entre ce photographe et ce mystérieux tueur, le trop plein d'effets de caméra et les scènes de meurtres "m'as tu vu" plombe le film et empêche l'instauration d'un climat vraiment oppressant et pesant. Plus il avance plus le "midnight meat train" se veut improbable jusqu'à un final qui semble sorti de nulle part. A mon avis, un film au potentiel mal exploité à partir d'un scénario pourtant alléchant. Bof!
Assez basique dans le scénario et la fin, le film innove par son côté survival dans le fameux métro newyorkais. Même si la fin est téléphonée et que tout est prévisible, notons tout de même des scènes assez gores, une ambiance froide et ascétique. A part ça, on est dans un pure classique du genre.
Un film angoissant et sombre servit par un duo d'acteurs assez étonnant. Le début fait penser à un thriller qui tourne à l'obssession puis à la chasse à l'homme, avant de sombrer dans une fin glauque et hors du commun. J'ai été très surprise par cette fin mais bon... :)
très bon film d'horreur dont les meurtres très graphique novel rende finalement très bien , l'interprétation de bonne facture , le déroulement du film se passe extrêmement bien mais la fin est un peux bâclé par a port aux livre de barker , sinon tout bénef
Si "Midnight meat train" souffre de quelques lacunes, nottaement scénaristiques, il possède suffisament d'âme et de style pour nous garder sur nos sièges. Âmes sensibles s'abstenir.
C’est l’histoire d’un boucher qui ne pouvant s’empêcher de manier du couteau, va zigouiller des inconnus dans le métro mais un petit photographe aussi malin que séduisant va se douter de quelque chose. Le scénario accumule les invraisemblances à un rythme quasi unique en son genre tant tout semble logique pour les protagonistes, usant de ficelles plus vues les unes que les autres. Faute d’une histoire simpliste et pas très bien écrite, on oublie aussi de se pencher (volontairement) sur l’interprétation qui fait peine à voir (mais on n’ira pas plus loin..) et admirons le sens de la réalisation de ce réalisateur répondant au doux facilement prononçable Ryuhei Kitamura de qui délivre de bonnes scènes sanglantes. Il aime le sang et veut le faire savoir. Scènes chocs, orbites explosées, rien n’échappe à la caméra de Ryuhei malgré un emploi abusif de loufoqueries. On lui pardonnera dès lors ce dérapage, mais pas son scénario bâclé. Ah non ! Que nenni !
🎬 RENGER 📼
Initialement, cela devait être le frenchie Patrick Tatopouloss qui devait mettre en scène ce film gore/trash, on regrette que cela ait changé, car Ryuhei Kitamura (Godzilla Final Wars - 2005) ne parvient pas à convaincre. Pour son premier film U.S, le réalisateur concocte un film bourré d’effets spéciaux, limite écoeurant au final, sans oublier les plans du métro tournant en boucle sans cesse avec des SFX floues. On commence réellement à se demander quel est l’intérêt d’un tel film.
Sans compter les très nombreuses scènes d’hémoglobine trash, toutes plus exagérées et ratées les unes que les autres (du à la mauvaise qualité des trucages).
Niveau scénario, on devine aisément les tenants et les aboutissants du film, la relation du couple et la traque entre le photographe et le serial killer. Tout est prévisible, aucun suspens ou tension, alors, qu’y a t’il de bon à sauver la dedans ?
Bradley Cooper n’ayant pas le physique adéquat pour ce type de film, heureusement que l’on peut compter sur Vinnie Jones (Arnaques, crimes et botanique - 1998 & Snatch - 2000) et son faciès de schizophrène.
Longtemps attendu et toujours inédit en France, The Midnight Meat Train (2007) déçoit beaucoup !
Sans compter les très nombreuses scènes d’hémoglobine trash, toutes plus exagérées et ratées les unes que les autres (du à la mauvaise qualité des trucages).
Niveau scénario, on devine aisément les tenants et les aboutissants du film, la relation du couple et la traque entre le photographe et le serial killer. Tout est prévisible, aucun suspens ou tension, alors, qu’y a t’il de bon à sauver la dedans ?
Bradley Cooper n’ayant pas le physique adéquat pour ce type de film, heureusement que l’on peut compter sur Vinnie Jones (Arnaques, crimes et botanique - 1998 & Snatch - 2000) et son faciès de schizophrène.
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