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7 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
L'importance des "Doigts dans la tête" peut être comparée à celle, en son temps, des "Quatre cents coups" de François Truffaut. (08/12/1974)
Le Monde
par Jean De Baroncelli
Du cinéma libre, gai, vivant, moderne, du cinéma qui parle au coeur, et qui, sans en avoir l'air en dit plus sur les conditions d'existence des jeunes ouvriers que bien des longs discours. (09/12/1974)
Télérama
par Alain Remond
Un film chaleureux, vivant, drôle. Et magistralement réalisé. Un chef-d'oeuvre du jeune cinéma français. (N°1299, 04/12/1974)
L'Obs
par La rédaction
Tendre, souriant, d'une fraîcheur acidulée d'humour, mais précis, évitant la sensiblerie comme la peste, "Les Doigts dans la tête" [...] est le contraire du film démobilisateur. (18/11/1974)
La Croix
par Jean Rochereau
Avec autant de pertinence que de délicatesse, le cinéaste Jacques Doillon nous tend le miroir de nos propres impuissances à édifier un monde fraternel à l'homme [...]. (14/12/1974)
Le Figaro
par L.C.
Voilà donc encore une fois un jeune cinéaste qui témoigne des vertus les plus sensibles et d'un talent agréablement enjoué. (09/12/1974)
Libération
par Jean-Dominique Bauby
Un film attachant et drôle, une comédie de moeurs d'autant plus pertinente qu'elle prend appui aux confins de deux classes et montre leur incapacité à se fondre d'une même jeunesse. (07/12/1974)
Le Journal du Dimanche
L'importance des "Doigts dans la tête" peut être comparée à celle, en son temps, des "Quatre cents coups" de François Truffaut. (08/12/1974)
Le Monde
Du cinéma libre, gai, vivant, moderne, du cinéma qui parle au coeur, et qui, sans en avoir l'air en dit plus sur les conditions d'existence des jeunes ouvriers que bien des longs discours. (09/12/1974)
Télérama
Un film chaleureux, vivant, drôle. Et magistralement réalisé. Un chef-d'oeuvre du jeune cinéma français. (N°1299, 04/12/1974)
L'Obs
Tendre, souriant, d'une fraîcheur acidulée d'humour, mais précis, évitant la sensiblerie comme la peste, "Les Doigts dans la tête" [...] est le contraire du film démobilisateur. (18/11/1974)
La Croix
Avec autant de pertinence que de délicatesse, le cinéaste Jacques Doillon nous tend le miroir de nos propres impuissances à édifier un monde fraternel à l'homme [...]. (14/12/1974)
Le Figaro
Voilà donc encore une fois un jeune cinéaste qui témoigne des vertus les plus sensibles et d'un talent agréablement enjoué. (09/12/1974)
Libération
Un film attachant et drôle, une comédie de moeurs d'autant plus pertinente qu'elle prend appui aux confins de deux classes et montre leur incapacité à se fondre d'une même jeunesse. (07/12/1974)