Le début du film nous fait plonger dans une caserne de pompier jusqu'à l'élément déclencheur qui est l'appel d'une vielle dame. Les moments lents nous amènent à de l'angoisse pure et dure ainsi que quelques jump scares bien placés nous font aimé ce film qui aura été une bonne petite révélation des ces deux réalisateurs espagnols
Je n'ai trouvé aucun intérêt à ce film. Un cadrage à faire vomir, et un scénario plus que médiocre. J'ai attendu la chute à partir de la 15ème minute... En vain. Que dire de plus, j'ai perdu mon temps.
[REC] fait partie des films d'horreur/épouvante à ne surtout pas manquer, de par son originalité et sa progression. Le point positif : On part vraiment d'une situation initiale où l'on découvre l'innocence et le désarroi des protagonistes par rapport à l'inconnu, et donc le naturel de leurs réactions. Le point négatif : On peut sûrement lui reprocher de mettre un peu trop de temps à vraiment démarrer, mais cela reste un problème vraiment mineur.
Ce film se base s'appuie sur une bonne idée de départ: les habitants d'un immeuble se retrouvent mystérieusement "enfermés" de l'extérieur avec l'équipe de tournage qui réalisait un reportage sur les pompiers intervenant sur les lieux. Premier constat au bout de quelques minutes, le doublage en version française est une véritable catastrophe et avorte complètement une atmosphère que l'on espérait étouffante. Impossible donc de faire preuve d'empathie envers les protagonistes qui en deviennent insupportables à la moindre phrase.
L'esthétique minimaliste (qui fonctionnait à merveille dans le projet Blair Witch) demande malgré tout un certain soin visuel que l'on ne retrouvera pas ici. Bien qu'appréciant le style "Found Footage", j'ai eu beaucoup de mal ici avec la réalisation: une caméra sans cesse en mouvement qui ne fait que donner maux de tête et mal de mer. Au final et une fois le scénario bien installé après la première demi-heure, l'intérêt et le suspense retombent vite et "Rec" devient alors un film à recommander à un public adolescent et/ou adepte de Resident Evil.
Premier opus de la célèbre saga d'horreur espagnole! Le found footage est parfaitement bien utilisé, c'était une excellente idée d'intégrer ce procédé dans un film d'horreur, et sa marche à merveille. Manuela Velasco est convaincante. Les dialogues sont moins débiles que la moyenne de la plupart des films de ce genre. On est transporté dans ce grand, sombre et effrayant immeuble de Barcelone du début à la fin et on en ressort plu. On n'a peur bien souvent. Le suspens est omniprésent. On ne voit pas le temps passé. Bref, l'ensemble est vraiment très bien foutu. Il s'agit clairement du meilleur film de la saga. Un bon film d'horreur comme j'ai du mal à en trouver, à voir.
Je peux dire que dans son style, filmé a la caméra, j'ai été plutôt surpris agréablement par ce film même si je ne suis pas vraiment fan de ce type de film mais la je dois avouer que j'ai bien accroché Bin tourné et donc réussi
Pourquoi ce film a-t-il une si bonne réputation? On m'avais dit qu'il était flippant et angoissant. J'ai ressentis rien de tout cela. L'atmosphère est légèrement stressante, mais quand je dis légèrement, c'est vraiment très très léger. Pratiquement aucun jump scare. Je n'ai pas vu les autres [REC] mais si ils sont du même niveau que celui-ci, je passe mon chemin. Scénario beaucoup trop prévisible à mon goût. Attention, je ne dis pas que le film est mauvais, mais je ne vois juste pas pourquoi il as un telle réputation. Si quelqu'un a une explication, je l'attend!
[REC] de jaume balaguero et paco plaza fait parler de lui lors de sa sortie en 2008 comme étant la plus grande réussite jamais réalisé en found foutage (caméra épaule). Il se fait également repérer à plusieurs festivals, et marque un nouvel impact dans le film de genre. En effet, cette œuvre plus effrayante qu’impressionnante plonge ses téléspectateurs dans un trip ahurissant d'une heure quinze, que se soit pour sa surenchère d'intensité oppressante que pour son intelligente irréprochable. Ce film est véritablement une bombe d’adrénaline qui offre aux témoins du visionnage un sentiments de malaise permanent avec une chute et un finale d'une force indescriptible, ce qui augmente son hypertension de façon crescendo et qui ne laisse pas indifférent. Le but de cet œuvre pour ses auteurs était de créer une sorte de montagne russe d'une efficacité exorbitante pour les amateurs de sensation forte tout en gardant sa crédibilité, coup réussie pour balaguero et plaza ! Pour conclure, je pense tout simplement que [REC] est, à mon goût, le plus grand film d' « horreur » des années 2000.
Un survival claustrophobe de qualité et particulièrement efficace. La montée en tension va vraiment crescendo dans l'angoisse et la terreur, ce qui aboutie à des vraies montées d'adrénaline et à une atmosphère singulièrement oppressante. On pourrait critiquer le fait que ça hurle beaucoup trop mais c'est justement crédible puisque c'est ce genre de réactions qu'ils se passeraient dans la réalité je pense. Le Found Footage est quant à lui utilisé jusqu'au bout et la qualité d'interprétation est belle et bien là ; cela renforce encore d'avantage l'immersion. Les infectés sont superbement grimés pour un film indépendant, notamment celui de la fin (scène des plus réussie !) On pardonnera assez aisément les quelques erreurs de scénario, même si j'ai relativement bien aimé la manière d'entrouvrir les portes pour suggérer les origines du virus. Court mais intense !
REC a été mon introduction dans le genre de films d'horreur "found footage", et une bonne introduction. Le concept est simple et intéressant, à l'image du film qui représente une vérité montée progressive de l'horreur, passant du film divers suivant le reportage d'une sympathique jeune journaliste au thriller de plus en plus sanglant et angoissant, spoiler: et ce jusqu'à la scène finale tout bonnement glaçante . J'ai du mal à évaluer le film car l'horreur n'est pas mon genre de prédilection, mais ce qui est sûr, c'est que j'ai aimé.
La sortie de Rec annonce un nouveau genre de cinéma d'horreur. Après Projet Blair Witch, peu de cinéastes se sont concentrés sur sur ce mode found footage. Le résultat donne quelque chose d'original, la tension va crescendo mettant le spectateur de plus en plus mal à l’aise dans sa situation de « victime/voyeur », à tel point qu’on perd complètement le contrôle devant les événements se succédant à l’écran. Mais pourtant.. Le film n'est pas vraiment effrayant. Plusieurs situations ne sont pas très crédibles, et comme ça se veut « amateur », des personnages ont des réactions qui ne sont pas naturelles et on perd donc un peu de l'efficacité de cette façon de filmer. Certes, les espagnols semblent gérer les mécanismes de la peur, sans nous ajouter des jump scares à tout va, mais le scénarios et les personnages ne parviennent pas à mettre le spectateur dans une situation qui semble vraie puisque ça ne sonne pas crédible. C'est dommage car la montée en tension est très efficace et il s'agit sans doute de l'un des meilleurs films de found footage que l'on ait fait.
Pas spécialement fan de films d'épouvante mais celui-ci a l'avantage d'être aussi beaucoup suggéré. C'est ce qui m'a plu. Et le mystère reste entier au sein de cet immeuble assez angoissant surtout quand il vient a être bâché.
Entièrement tourné en caméra subjective, on est rapidement embarqué dans l'enfer des personnages face à la propagation du virus.De la tension, des sursauts... un film d'horreur imparfait (quelques clichés et des péripéties à mon goût trop prévisibles) mais qui remplit son contrat.