AlloCiné
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Votre avis sur [REC] ?
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Quand un reportage tv vire en huit-clos horrifique et anxiogène, où l'angoisse monte crescendo pour arriver à une scène finale ultra flippante, en dépit d'un scénario assez grotesque.
C'est long... ennuyeux... pénible... hurlements... par contre le dernier quart d'heure est terrible! deux étoiles du coup mais uniquement pour un final effectivement super flippant... si on tient jusque là!!!
Ambiance oppressante garanti, pas mal de sursaut en perspective. Cependant, cela reste malheureusement du déjà vu.
Un savant mélange de "Le projet Blair witch", "Zombie" et une touche de "Silent Hill", quelques maladresses mais un chef d'oeuvre du genre
Rec et un très bon film du genre "horreur". Un peu long à demarrer, il est cependant très très très stressant. Une seule chose cependant : LA FIN
spoiler:
, qu'on devine tout au long du film, mais à laquelle on espère que ça se terminera autrement. Le pire moment ? la coupure de courrant lorqu'elle est avec son caméra-man, qu'il regarde en haut et voit cette "chose"...
Je VOUS LE RECOMMANDE forTeMENT ! CHEF-D'OEUVRE
Je VOUS LE RECOMMANDE forTeMENT ! CHEF-D'OEUVRE
Une expérience horrifique incroyable mise en boîte par deux prodiges espagnols dont les conceptions du cinéma sont diamétralement opposées en les personnes de Jaume Balaguero (plus porté sur la suggestion) et Paco Plaza (plus ancré dans le saignant) dont la rencontre ne pouvait qu’être explosive.
[Rec] est donc une merveille du septième art où les deux compères s’amusent à réinventer l’horreur en se situant volontairement entre Resident Evil pour le scénario et Le Projet Blair Witch pour la réalisation (ultra précise et toujours lisible), tout en y injectant leur propre style afin d’obtenir une des bobines les plus angoissantes de ces dix dernières années dont l’ultime séquence est un sommet d’effroi à la puissance inégalable.
Au final, [Rec] m’a donc mis dans le même état d’esprit que The Descent de Neil Marshall, à savoir avec l’impression de m’être mangé un vilain coup de boule en pleine face qui ne fait que prouver que des putains de cinéastes, lorsqu’ils sont amoureux du genre, arriveront encore et toujours à nous en mettre plein les yeux.
La preuve ultime que le cinéma d’horreur n’est pas mort… Un sommet du genre déjà culte !
[Rec] est donc une merveille du septième art où les deux compères s’amusent à réinventer l’horreur en se situant volontairement entre Resident Evil pour le scénario et Le Projet Blair Witch pour la réalisation (ultra précise et toujours lisible), tout en y injectant leur propre style afin d’obtenir une des bobines les plus angoissantes de ces dix dernières années dont l’ultime séquence est un sommet d’effroi à la puissance inégalable.
Au final, [Rec] m’a donc mis dans le même état d’esprit que The Descent de Neil Marshall, à savoir avec l’impression de m’être mangé un vilain coup de boule en pleine face qui ne fait que prouver que des putains de cinéastes, lorsqu’ils sont amoureux du genre, arriveront encore et toujours à nous en mettre plein les yeux.
La preuve ultime que le cinéma d’horreur n’est pas mort… Un sommet du genre déjà culte !
Nicolas V
la caméra a l'épaule , nous suivons plus intensément que n'importe quel autre film d'horreur les dernieres heures de tout ces personnages.la tension est palpable grace a une fabuleuse mise en scène.un classique qui a dépoussièré le genre.
Ba y'a pas de quoi faire tout le flan que j'entends par ci par là sur REC. Ni plus ni moins qu'une nana "mignonne" coincée avec un groupe de personnages d'un cliché monstre qui se font attaqués puis contaminés un par un par des zombies enragés (mais seulement quand ça leur chante); que du déjà vu mais en pas crédible quoi. Alors certes c'est filmé à la Cloverfield mais à part une envie omniprésente de gerber et un sentiment de soulagement quand Pablo le cadreur prétendu professionnel qui joue au tape-taupe avec le variateur du zoom tout le long du film se fait bouffer à la fin ça n'apporte pas grand chose. Quant au dernier plan ba c'est un gros plan sur une paire de nichons et quand la fille se fait attraper elle se laisse trainer parterre en tendant les bras vers la caméra (comme si cette dernière allait l'aider) au lieu de se débattre et de mettre son pied dans la tronche de Golum; si encore il n'y avait que ça comme incohérence dans ce film... Bref je pense que tout est parti de l'idée de l'équipe de tournage qui se retrouve prise au piège, qui en soi est une bonne idée, mais ça ne suffit pas il faut tenir la route en développant ça et comme ni le scénariste ni le réalisateur n'a eu d'autre bonne idée ben ça tombe à plat dans les clichés la facilité et le déjà vu.
C'est tout bonnement affreux. D'une part c'est filmé avec des pieds, ou plus vraisemblablement avec un téléphone portable (et encore, pas dernier cri...), et d'autre part, le scénario est bourré d'incohérences. Insupportable.
pierrre s.
Même si il avait été moins long à "commencer", REC, ne m'aurait pas passionné. Le sujet manque d'originalité, et l'ensemble est trop mou.
Surfant sur la ligne directrice du projet Blair Witch, Rec use d'effets connus et prévisibles qui nous amènent à penser que le film Rec est comme un remake du PBW. Le rythme est certes croissant mais le début est très lent. Dans le style épouvante, je préfère largement le PBW qui n'usait pas d'effets sanguins superficiels tout en gardant une tension réelle.
Novateur ; certainement le film d'horreur le plus immersif de tous les temps.
Un super film d'horreur qui est tourné version live c'est a dire on est a la place du cameraman. Ça le fait super bien, on sursaute, l'histoire est super, la saga Rec commence bien
Ah, ça faisait longtemps que je n'avais plus sursauté devant un film d'horreur (même si ce n'a été que 3-4 fois avec [REC]).
Ce film mérite le titre du meilleur film d'horreur de l'année et aussi le titre de la meilleur adaptation (non-officiel) de Resident Evil tant les ressemblances avec l'intrigue du jeu sont flagrantes.
On regrettera par contre la durée du film: 1h15 seulement (générique de fin compris).
Ce film mérite le titre du meilleur film d'horreur de l'année et aussi le titre de la meilleur adaptation (non-officiel) de Resident Evil tant les ressemblances avec l'intrigue du jeu sont flagrantes.
On regrettera par contre la durée du film: 1h15 seulement (générique de fin compris).
Pour encourager le cinéma Espagnol je ne peux pas donner plus à ce film très court qui m'a vraiment interpellé que pendant le dernier quart d'heure.
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