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Malgré l'effort synthétique, la toile de fond d'ensemble reste énigmatique, et la structure un peu laborieuse. Mais en dépit de ces précautions, "Useless" est un admirable documentaire.
(...) c'est un portrait d'une remarquable justesse qu'une fois de plus il [Jia Zhang-Ke] donne de la Chine, en ayant l'air de ne pas y toucher, de simplement montrer au spectateur.
[Useless] est construit en plusieurs parties distinctes et subtilement raccordées entre elles (...). Ce prisme (...) confère naturellement au film une dimension politique globale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
[Jia Zhangke] Sa patience à observer, la juste distance qu'il sait trouver par rapport à ceux qu'il filme, qu'ils se confient à lui ou qu'ils soient observés, font le prix de "Useless".
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) de motifs en motifs, Jia Zhang-ke tisse (...) une allégorie composite de son pays, à bonne distance des choses et des gens, antithèse des reportages télé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
C'est calmement cinglant, et paradoxalement, de cet univers âpre le cinéaste parvient à extraire de la beauté.
Cahiers du Cinéma
Malgré l'effort synthétique, la toile de fond d'ensemble reste énigmatique, et la structure un peu laborieuse. Mais en dépit de ces précautions, "Useless" est un admirable documentaire.
L'Humanité
(...) c'est un portrait d'une remarquable justesse qu'une fois de plus il [Jia Zhang-Ke] donne de la Chine, en ayant l'air de ne pas y toucher, de simplement montrer au spectateur.
La Croix
Documentaire subtil qui cherche à capter les réalités sociales de la Chine contemporaine à travers le vêtement.
Le Monde
[Useless] est construit en plusieurs parties distinctes et subtilement raccordées entre elles (...). Ce prisme (...) confère naturellement au film une dimension politique globale.
Libération
Useless tombe à point nommé, (...) fonctionnant en dyptique, apposant deux images symétriques de la Chine.
MCinéma.com
Jia Zhang-ke (...) nous [embarque] dans un rêve éveillé dont on ressort dans la ouate. Pas si inutile que ça.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
[Jia Zhangke] Sa patience à observer, la juste distance qu'il sait trouver par rapport à ceux qu'il filme, qu'ils se confient à lui ou qu'ils soient observés, font le prix de "Useless".
Première
(...) un instantané de la Chine contemporaine, dans laquelle les traces du passé témoignent d'un présent où le luxe est devenu indispensable.
TéléCinéObs
Trois circuits de fabrication de vêtements (...), trois itinéraires [qui] fascinent, au risque cependant d'un certain ennui.
Télérama
(...) de motifs en motifs, Jia Zhang-ke tisse (...) une allégorie composite de son pays, à bonne distance des choses et des gens, antithèse des reportages télé.
Chronic'art.com
Film de transition, dispensable, presque useless, dont on espère qu'il n'est qu'une parenthèse dans l'oeuvre de Jia Zhang-ke.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com