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Alors miracle que de voir enfin ce film qui fait son or avec rien, une petite caméra, une grande actrice, des rues de Paris comme on n'en voit jamais que chez Rivette, et un sens de la poésie qui fait de Bernardi un correspondant italien de Werner Schroeter.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le cinéaste filme les enjeux de son récit avec un soin et une égalité intransigeante. (...) Le choix d'Isabelle Huppert pour interpréter le personnage principal du film s'avère extrêmement judicieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cette manière de couper les ailes à la puissance meurtrière d'Huppert permet à l'actrice de retrouver une veine années 80 de son jeu, entre Godard (...) et Pialat (...) : ce mixte de fureur prolo (...) et de bonté exploitée qui lui va aussi si bien.
Malgré une absence de moyens qui se voit malheureusement parfois à l'écran et quelques séquences qui n'échappent pas au ridicule, "Médée miracle" possède la force de nous proposer une image de la France comme on ne la voit pas souvent. Pas depuis "Cités de la plaine" de Robert Kramer, en tout cas.
Dans "Médée Miracle", Isabelle Huppert est toute seule. Nous apercevons à peine Maria de Medeiros qui aurait pu être son alter ego. Ses partenaires jouent mal. Elle aussi.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Si la lecture contemporaine de l'oeuvre laissait présager une puissante orientation politique, l'interprétation des acteurs – en premier lieu Isabelle Huppert – flanque tout par terre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Une réalisation qui manque cruellement de recherche esthétique (...) et une narration poussive [pour] ce conte mythique à la sauce moderne qui jamais ne décolle.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Non, le film de De Bernardi n'expérimente rien, ne teste rien, si ce n'est la patience des spectateurs, qui sera mise à rude épreuve par cette bobine hermétique, abstraite et ennuyeuse. Un film qui aurait dû s'appeler "Meydey Miracle"...
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Libération
Alors miracle que de voir enfin ce film qui fait son or avec rien, une petite caméra, une grande actrice, des rues de Paris comme on n'en voit jamais que chez Rivette, et un sens de la poésie qui fait de Bernardi un correspondant italien de Werner Schroeter.
Le Monde
Le cinéaste filme les enjeux de son récit avec un soin et une égalité intransigeante. (...) Le choix d'Isabelle Huppert pour interpréter le personnage principal du film s'avère extrêmement judicieux.
Les Inrockuptibles
Cette manière de couper les ailes à la puissance meurtrière d'Huppert permet à l'actrice de retrouver une veine années 80 de son jeu, entre Godard (...) et Pialat (...) : ce mixte de fureur prolo (...) et de bonté exploitée qui lui va aussi si bien.
Cahiers du Cinéma
Malgré une absence de moyens qui se voit malheureusement parfois à l'écran et quelques séquences qui n'échappent pas au ridicule, "Médée miracle" possède la force de nous proposer une image de la France comme on ne la voit pas souvent. Pas depuis "Cités de la plaine" de Robert Kramer, en tout cas.
Elle
Filmé à la sauvette et en décor naturel, "Médée miracle" capture l'invisible.
Le Figaroscope
Une vision parfois aride, mais parfois d'une grande puissance poétique.
Télérama
"Médée Miracle" oscille entre des moments de grâce, de pure mélancolie, et pas mal d'impasses formalistes, d'intentions qui restent théoriques.
Brazil
Dans "Médée Miracle", Isabelle Huppert est toute seule. Nous apercevons à peine Maria de Medeiros qui aurait pu être son alter ego. Ses partenaires jouent mal. Elle aussi.
Critikat.com
Si la lecture contemporaine de l'oeuvre laissait présager une puissante orientation politique, l'interprétation des acteurs – en premier lieu Isabelle Huppert – flanque tout par terre.
Excessif
Une réalisation qui manque cruellement de recherche esthétique (...) et une narration poussive [pour] ce conte mythique à la sauce moderne qui jamais ne décolle.
Filmsactu
Non, le film de De Bernardi n'expérimente rien, ne teste rien, si ce n'est la patience des spectateurs, qui sera mise à rude épreuve par cette bobine hermétique, abstraite et ennuyeuse. Un film qui aurait dû s'appeler "Meydey Miracle"...
Première
Le vidéaste se serait-il trompé de public en prenant le spectateur de cinéma pour le visiteur d'une galerie d'art ?
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.