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OMTR
18 abonnés
192 critiques
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4,5
Publiée le 26 décembre 2023
spoiler: V'Ger, les Unités Carbone et Le Créateur
L'écrivain fantastique et de science-fiction Alan Dean Foster a conçu l'histoire et écrit le scénario de ce premier volet de la série de films Star Trek, basé sur la série télévisée Star Trek originale créée en 1966 par Gene Roddenberry, qui a également officié en qualité de producteur sur "Star Trek : Le film".
L'intrigue, spoiler: qui se déroule dans les années 2270, est inspirée de manière perspicace par les personnages historiques qui sont tous brillamment incarnés par la distribution originale et le programme Voyager du 20e siècle de la NASA .
Douglas Trumbull, pionnier et superviseur des effets spéciaux, et son équipe, qui ont notamment créé des scènes époustouflantes pour "2001 : L'Odyssée de l'espace" (1968), "Rencontres du troisième type" (1977) et plus tard "Blade Runner" (1982) accomplissent encore une performance extraordinaire pour ce premier film de l'univers cinématographique de Star Trek.
Le début de l'aventure cosmique humaine est accompagné de l'une des bandes originales majeures de Jerry Goldsmith et mis en scène efficacement par le réalisateur chevronné Robert Wise.
Moi qui n'est pas vu la série originale, je dois reconnaitree que cela ne m'a pas empêché d'être assez décu par cette transposition cinématographique. Bien que l'ensemble soit relativement divertissant, il faut tout de même reconnaitre que l'ensemble a bien vieilli, notamment au niveau des costules, assez fadasses. Les effets spéciaux passent eux plutot correctement. En réalité, c'est plutot la deuxième partie qui arrive à convaincre, plus tonique, et avec de réelles bonnes idées derrière. Même si le scénario n'est pas irréprochable, il arrive tout de même à rendre quelques données intéressantes, même si on n'aurait aimé quelque chose d'un peu plus structuré. Le fait d'avoir gardé les acteurs originaux est par contre une assez bonne chose. On retiendra enfin l'excellente musique signé par le tout aussi excellent Jerry Goldsmith, et un coté visuel parfois de grande qualité. Robert Wise nous avait toutefois habitué à mieux dans l'ensemble. Divertissant, ni plus ni moins.
23ème siècle: L'Enterprise est de nouveau en service: Il est flagrant que les auteurs, qui ont adopté cette fois un ton davantage réaliste, font jouir ce film, de +, des 3 lois de la robotique d'I.Asimov; & qui nous entraîne dans un voyage d’inspection ou un genre inhumain menace soudain l’équipage de l’Enterprise pris d'ailleurs de paranoia & d'autisme du fait de l'absorption de drogues (notons entre autres l'apparition d'1 de ces nouveaux membres se suffisant hautement à lui même, le Lt Llia; & que les scènes d'illusions sont particulièrement réussies): Il est dommage que ce film n’ait eu qu’un succès critique, et non celui qu’il méritait...
Histoire absurde, situation grotesque, dialogues idiots, on sent le film de commande à plein nez et celui-là n'ajoutera rien à la gloire de Robert Wise. Cherchant un palliatif à l'ennui que me provoqua ce film, je cherchait un dérivatif et m’intéressait aux oreilles en plastique de Monsieur Spock. Elle sont moches.
Premier volet, qui aura de nombreuses suites, adapté de la série culte que je ne connais pas beaucoup "Star Trek" ; j'ai visionné tout ça d'un œil un peu attentif mais pas franchement captivé. Les acteurs sont excellents, et il y a un ou deux seconds rôles, dont Leonard Nimoy, qui pour échanger des répliques cinglantes sont en belle forme, et il y a un petit charme diffus indéniable qui réussit un peu à faire comprendre le culte de certains pour cet univers. Mais entre un scénario très confus et qui s’embarrasse de longueurs, des décors et des costumes kitch, des effets spéciaux vieillots (ça n'a rien à voir avec l'époque, il suffit pour s'en assurer de voir "2001, l'Odyssée de l'espace" qui a onze années terrestres de plus et qui est incroyablement criant de réalisme ; et dans un autre registre je ne parle pas de "Star Wars" !!!), il est difficile de prendre au sérieux cet ensemble. Résultat, à moins d'être un fan absolu de "Star Trek" l'expérience s’avérera très vite oubliable.
Après le succés de la série, "Star Trek" avait le droit à son long métrage alors même que Star Wars sortit au cinéma peu de temps avant. Ce space opera fut confié à l'excellent Robert Wise. Ce dernier, arrivant au bout de sa longue carrière de cinéaste s'était déjà investit dans un film de science fiction avec "Le Jour où la Terre s'arrêta " ou encore avec "Le Mystère Andromède". Autant dire que cette première adaptation sur grand écran était en de bonnes mains. Cependant, le résultat est décevant et le film plutôt moyen. La faute en premier lieu à un scénario faiblard. L'histoire aurait, pour le coup, eut plus sa place dans un épisode de la série que dans un long métrage. Plate et longue, l'intrigue, qui s'étale sur plus de deux heures, ne convainc pas et ne passionne guère. La première moitié du fil manque clairement de punch. Comparé à la saga Star Wars (comparaison obligatoire), les effets spéciaux et l'univers général (design du vaisseau, costumes,...) de "Star Trek: Le Film" ont mal vieilli. Film fade mais non moins divertissant.
Pas une œuvre vraiment marquante que ce premier opus de la saga Star Trek, et ceci à cause principalement à une histoire pas forcément très emballante et qui possède malheureusement quelques longueurs. Le casting est quant à lui globalement moyen (Leonard Nimoy est bon dans le rôle de Spock, par contre William Shatner manque de charisme dans celui de l’Amiral Kirk). Reste des effets spéciaux plus que convaincants (même si on peut légitimement préférer ceux qui sont présent dans La Guerre des Etoiles), une photographie très soignée ce qui rend l’œuvre très belle sur certaines séquences, une mise en scène de Robert Wise non dénué de charme et une BO signée Jerry Goldsmith très agréable.
Alors qu'un redoutable et mystérieux objet se dirige vers la Terre, l'amiral Kirk est chargé d'intercepter celui-ci avec son fameux vaisseau. Le projet d'adapter la série "Star Trek" au cinéma avait été laissé de côté par la Paramount, jusqu'à ce que le succès de "Star Wars" et de "Close Encounters of the Third Kind" ne leur fasse changer d'avis. Voilà donc le premier film de la célèbre franchise, que l'on pourrait résumer avec un seul qualificatif : contemplatif. En effet, "Star Trek : The Motion Pictures" semble tout miser sur l'esthétique. Les plans s'attardent sur les vaisseaux et autres entités cosmiques, néanmoins cette esthétique est assez réussie : les décors et effets spéciaux fonctionnent bien, tandis que la musique planante de Jerry Goldsmith parvient à leur donner un peu de magie. Le problème étant que le scénario est pauvre. On alterne entre du jargon SF (qui ravira sans doute les trekkies, mais laissera les autres de glace), et une intrigue qui n'avance guère, sauf dans la dernière partie, un peu plus vive. Quant aux acteurs, l'ensemble est inégal : on alterne entre de bonnes scènes et des passages qui prêtent à sourire. Au final, ce premier "Star Trek" est donc moyen, ce qui n'empêchera pas la franchise de se poursuivre.
"Star trek", c'est avant tout l'immersion dans un vaisseau spatial, le fameux Enterprise. En effet, on mettra rarement la tête en dehors du poste de commandement de ce bolide. On devra donc avant tout accepter cette approche lente et peu attrayante si l'on souhaite persévérer jusqu'au bout de cette longue saga, mais on devra aussi se refuser à vivre une expérience mouvementée dans cet univers finalement plus restreint que ce que l'on aurait pu imaginer. Le voyage ne sera effectivement pas plus entraînant que cela, le film est calme, il manque de rebondissements, et même tout simplement d'action. "Star trek" a plutôt bien vieilli visuellement, mais l'aventure ici proposée, et bien qu'elle soit plus complexe qu'une simple bataille entre le bien et le mal, ne rivalisera certainement pas avec la saga de l'espace concurrente, celle au vaste univers et au pouvoir d'attraction nettement supérieur, à savoir "Star wars".
Ce premier épisode de Star Trek sorti en 1979 est un monument de la S.F, il associe le concept de dieu avec la science spatiale; Tout ce qu'un féru de science fiction peut apprécier. L'ingénierie spatiale avec Voyager 6 alias Vdiger. Provenant du programme spatial Voyager de la NASA où deux sondes Voyager 1 et 2 avaient été lancés afin de mieux découvrir notre système solaire. Ici on imagine que la Terre en est à sa sixième expédition et qu'elle a rencontré une forme de vie largement supérieure à la notre. Dans l'idée ce concept est très intéressant. Pour revenir au film, le capitaine Kirk alias Hooker alias William Shatner (ami de Sheldon Cooper ^^ ) est un personnage arrogant qui est trop sûr de lui. Spock un personnage rationnel dénué de toutes émotions humaines alors qu'il est lui-même le fruit d'un croisement humain et extra-terrestre. Le docteur mac coï et M Sulu avec sa tête de merlan frit étonné à chaque péripétie. Bref le jeu des acteurs, c'est du lourd qui a le don de m'amuser. Tout est dans le scénario bien fichu du film: on veut savoir de quoi il retourne tout le long de cette quête. Les effets-spéciaux sont aussi très bien pour l'époque. Pour moi le seul bémol c'est le jeu des acteurs sinon le film est très bien.
Après le succès incontestable du premier Star Wars, le fait d’adapter sur grand écran la série de science-fiction culte devenait, aux yeux de la Paramount, une nécessité évidente. En faisant appel à l’excellent Robert Wise, qui avait déjà marquer sa patte dans le domaine de la SF en signant le mythique Le jour où la Terre s’arrêta, en cumulant un budget trois fois supérieur à celui de Star Wars pour lui permettre des effets spéciaux flamboyants et en faisant soin de rester fidèle à la série dont il se devait de devenir à fois la suite et un nouveau départ, les studios se pensaient assurer du succès public de leur projet. Pourtant il n’en fut rien car, à part les fans de la premières heures des aventures stellaires de l’USS Enterprise, la plupart des spectateurs reprochèrent, à juste titre, au scénario une perte de rythme intimement liée au fait de s’être trop inspiré de l'inégalable 2001 L’odyssée de l’espace (tant pour son aspect contemplatif que dans sa thématique de l’intelligence artificielle) et préférèrent largement l’autre space-opéra sorti la même année, Alien, qui offrait au genre une approche bien plus originale que cette anticipation humaniste. La musique de Jerry Goldsmith restera finalement un meilleur pilier à la renaissance de la franchise que le scénario de ce film trop peu novateur.
Robert Wise est capable du très bon (West side story, La Maison du diable) comme du moins bon (La Mélodie du bonheur), Star trek appartient à cette dernière catégorie. Malgré d'excellents effets spéciaux signés Douglas Trumbull (2001, l'odyssée de l'espace, Rencontre du troisième type ou Blade runner) et John Dykstra (Star wars), on s'ennuie ferme. Le scénario accumule les pseudo-termes scientifiques pour rendre crédible la situation mais cela empêche le spectateur de s'impliquer dans l'histoire et semble servir à masquer l'absence d'action et de rythme que ne rattrape pas la réalisation de Robert Wise. Cet aspect, ainsi que le non-respect de certains codes de raccord comme la règle des 180° lors de quelques champ-contrechamp, est d'ailleurs très surprenant de la part d'un ancien monteur de talent. A moins d'être un fan de l'univers Star trek, il est conseillé de voir West side story si on souhaite voir un film de Robert Wise.