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Un visiteur
4,5
Publiée le 31 août 2012
Ce film est vraiment un cadeau pour les fan, dommage qu'il ne soit pas sorti en salle, peut être n'aurai t'il pas remporté le même succès au prés de personne lambda (non-fan de Marvel et accessoirement du Punisher) de plus Ray Stevenson est véritablement un sosie du Punisher de Garth Ennis !
Surprise !!! Enfin une adaptation digne du Punisher, avec un esprit "Comics" très prononcé (le méchant n'est pas sans rappeler un certain "Joker") et une violence graphique complètement surréaliste (ça éclabousse souvent et c'est très bienvenue !). Ray Stevenson ("Outpost", la série "Rome") campe un Frank Castle plus crédible et déterminé que ses prédécesseurs Dolph Lundgren et Thomas Jane, Julie Benz en brune ("John Rambo", la série "Dexter") promène son jolie minois et Dominic West ("300") apporte au Bad Guy de service une prestance redoutable et un sacré humour noir amplifiés par son taré de frère. Question : pourquoi des films aussi généreux ont tant de mal à sortir au cinéma ?
« Punisher: Zone de guerre » est l'une des adaptations du célèbre héros de Marvel, dont la pire est « The Punisher » réalisé par Jonathan Hensleigh en 2004, et la meilleure, la série portée par Jon Bernthal. Je vais passer rapidement sur l'histoire classique et convenue, ainsi que sur l'interprétation assez fade de Ray Stevenson qui n'arrive pas à incarner un Punisher hanté par ses démons. Ce qui se démarque le plus, ce sont les scènes d'action très spectaculaires et l'introduction d'un super-vilain très très méchant, Jigsaw (ou Le Puzzle en français), qui lui, est habité et incarné. C'est un vrai psychopathe qui fait paraître ce Punisher comme un tendre (envahi par un sentiment de culpabilité). « Punisher : Zone de guerre » est un film violent et parfois spectaculaire, mais qui manque de subtilité. On peut lui reprocher son éloignement par rapport à l'essence du personnage et sa surenchère en matière de violence. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Si le film avec Thomas Jane était jugé un peu trop soft, force est d'admettre que cette troisième adaptation du comics "Le Punisher" est bien plus fidèle au matériau d'origine. Tiré des planches de Garth Ennis et Lewis Larosa, ce nouveau reboot s'avère sombre, glauque et surtout hyper-violent, la réalisatrice Lexi Alexander (Hooligans) prenant un malin plaisir à nous livrer une succession de plans gore absolument inattendus. À nouveau film, nouveau casting : on fait table rase et on accueille le monolithique Ray Stevenson (la série Rome) dans la peau du vigilante bourrin, lequel réussit à clairement s'imposer à l'écran. Ne se préoccupant plus des origines du personnage (exposées ici à travers quelques flashbacks), l'intrigue nous re-présente notre anti-héros sanguinaire dans sa lutte finale contre un cartel new-yorkais et en particulier contre un nouveau Némésis qu'il a lui-même défiguré... Nous faisons donc connaissance avec le déjanté Billy Russoti alias Jigsaw (campé par Dominic West, habitué aux rôles de méchants depuis 300) accompagné de son dégénéré de frangin cannibale (Doug Hutchison, qui interprétait le mémorable Percy dans La Ligne verte). Ainsi, s'il reste fantasque et assez basique dans la forme, le scénario reste donc très fidèle au comics (en particulier le tome "Au commencement..."). Et si on peut regretter un cabotinage exécrable de la part des comédiens, cette troisième mouture cinématographique reste foncièrement badass et rentre-dedans. La réalisatrice nous en met plein la vue avec une succession de gunfights et de plans extrêmement sanglants, optant pour une mise en scène léchée (hélas gâchée par une accumulation de couleurs flashy) et quelques emprunts inavoués comme la scène où Jigsaw découvre son visage, calquée sur celle du Joker dans le Batman de Burton. Au final, que retenir de cette Zone de guerre ? Tout simplement un festival d'action et d'hémoglobine qui, malgré quelques défauts, fait enfin honneur au comics.
Après le nanardesque Punisher de Jonathan Hensleigh, Lexi Alexander tente à son tour d’adapter sur grand écran les péripéties du justicier notoire, en se rapprochant nettement plus de l’esprit du comics. Finies les tortures avec un bâtonnet de glace, bienvenue aux exécutions sanglantes et autres carnages à grande échelle ! Et… c’est tout. Si la seule chose qu’a retenu Alexander de l’excellent comics est son ultra violence, c’est assez navrant. Et encore, alors que normalement Franck Castle abat ses victimes de manière froide, « nonchalamment », et avec une classe incroyable, ici on retrouve un Punisher qui fait des cabrioles et dézingue à tout va les pieds suspendus à un lustre… Tout semble vide, sans âme. Ray Stevenson est aussi charismatique qu’une patate, et les autres acteurs ne sont pas mieux (Colin Salmon est devenu culte avec son permis de dynamitage) ; même si le summum est atteint avec la doublette de vilains méchants, j’ai nommé les terribles Jigsaw et Loony Bin Jim, hallucinants de cabotinage et de ridicule. Il n’y a pas la moindre histoire, tous les évènements s’enchainant sans la moindre logique, jusqu’à aboutir à un carnage incompréhensible entre russes, asiatiques, blacks et skins (non vous ne rêvez pas). La bande-son elle aussi est exécrable, les dialogues sont ridicules…Bon, j’arrête, vous avez compris.
ATTENTION! Ici on fait pas dans la dentelle. Punisher War Zone n'est pas a mettre entre toute les mains, car comparé au autre vision qui retrace l'histoire tragique de Frank Castel, ici la violence atteins sont apogée. La violente est cru, sadique et extrêmement détailler (donc âmes sensibles s'abstenir). Mais l'avantage de cette version c'est l'incroyable ressemblance avec sont homologue papier. Car Oui, le Punisher n'est pas un tendre est il tue sans remord. Maintenant le film n'est pas parfait, loin de la. La mise en scène est bien trop banal, tous comme les acteurs on les décors (ça fait plus télé film qu'autre chose) est les deux grand méchant du film fond plus rire que peur, car entre le fou fan de Yamakasi et sont frère, sosie de Double face mais super mal fait, on a du mal a savoir si le film veut faire dans le tragique ou la comédie. Enfin soit, a voir a location es de toute façon même si celui-ci n'est pas parfait, ça reste celui le plus proche du comics.
Après la bouse avec Thomas Jane et Travolta, il était dur de rendre ces lettres de noblesse au plus dark des dark knight. Et finalement c'est fait, Punisher: War Zone est un hommage au cinéma bis d'action et la meilleure adaptation des aventures de Franck Casttle. Tout y est: le Punisher est véritablement un ange vengeur et exterminateur (Ray Stevenson EST le Punisher), un méchant complètement cinglé (Dominic 300 West s'éclate dans la peau de Jigsaw) et une violence à la limite du gore (chaque fois que ça castagne, le sang coule à flot, les têtes sont décapitées ou explosées à coup de shootgun, les corps déchiquetés). En plus Lexi Alexander (HOOLIGANS), une ancienne cascadeuse reconvertie dans la réalisation, se lâche et nous balance des scènes d'action dantesques où les cadavres ne peuvent plus être comptés sur les doigts des 2 mains (le début et le gunfight final en sont de parfaits exemples). Le seul petit reproche c'est un léger manque de punch et de darkness. Mais ce Punisher: War Zone est une réussite totale, qui fera oublié le Punisher de 2004, et un excellent film d'action décérébré, fun, bis, jouissif et qui s'assume comme tel. Allez! La prochaine fois sera la bonne.
A la date d'aujourd'hui, ce film est le troisième et denier des films "punisher" de l'univers Marvel. A mi-chemin entre thriller, épouvante et action, on en prend plein les yeux, jusqu'à la nausée. C'est vraiment violent.
Superbe film d'action et superbe adaptation. Je ne pouvais lui mettre que quatre étoiles et je ne mes donne pas facilement, mais j'ai eu beau chercher je n'ai rien trouvé qui aurai pu réviser ma note à la baisse tout y est, très bonne réalisation, très bon jeu d'acteur, très bon scénario, très bonne BO,... Un film à regarder de toute urgence.
Les effets spéciaux et les maquillages sont hideux,ainsi que le jeu d'éclairage de chaque scènes par différente lumières, on nage en plein 1990. Le scénario est inexistant tout comme la mise en scène d'ailleurs. Et le pire reste le casting avec des mafieux qui ne tiennent pas en place et ne se prennent pas au sérieux. Un Punisher qui joue les gros durs, mais qui n'est franchement pas charismatique. C’est nul.
Cette version du Punisher est de très loin la plus violente et automatiquement la moins recherchée d'un point de vue scénaristique. Cependant les différents personnages et surtout l'interprétation de Ray Stevenson rendent le film très rythmé et vraiment jubilatoire!
Totalement bidon et minable, tels sont les principaux adjectifs qu'il faut attribuer à ce film que je n'ai même pas su regarder jusqu'au bout.... Pourtant il est difficile d'apposer sa critique sur un désastre pareil, mais je vais comme même faire un effort. La mise en scène est complètement baclée, le script écrit de l'arrache pied. Les scènes sont grottesques. Et le pire reste le casting, des mafieux qui ne tiennent pas en place et ne se prennent pas au sérieux. Un punisher qui joue les gros durs, mais qui n'est franchement pas aussi charismatique que Thomas Jane et un reste de casting pas mal. Plutôt que de rester fidèle à l'ancien film, ce réalisateur a choisi de prendre une nouvelle direction pour le punisher, pari risqué et le résultat est un échec lamentable. On a presque honte d'avoir vu ça.
ATTENTION!!!! FILM CHOC & GORE, vous vouliez du "Punisher", l'ancien était trop hollywoodien, préparez-vous à vous prendre une grosse claque avec "War zone", il ne fait pas dans la dentelle, du "Marvel Knight" pur et dur. Hormis le scénario qui est là seulement pour que le film soit là, tout y est: de l'action, du sang, des bruitages "intéressant" et du Franck Castle très en forme qui décapite avec une facilité dérangeante la tête d'un homme avec le coutelas de John Rambo. Les acteurs sont bons pour ne pas dire corrects, les deux méchants me font un peu penser à Jim Carrey et Tommy-Lee-Jones dans le 3°Batman (pas terrible), quand à Ray Stevenson, il fait facilement oublier Thomas Jane et c'est tant mieux.