Salt est une héroïne, joué par Angelina Jolie, une femme d’action au cinéma, ça ne manque pas depuis Nikita, elle rajoute un peu beaucoup passionnément à la folie, du sel dans son personnage d’Evelyn sûr-femme espionne double agent pleine d’ambiguïté fictive.
On est laissé sur le carreau du cinéma, la meilleure de la CIA versus FSB ex-KGB, tous en chœur, armée rouge de libération populaire république soviétique, 1980 -1990 de Philip Noyce, réalisateur comeback 2010 de The Saint alias Val Kilmer.
Il n’y a pas assez de salé dans ce personnage féminin, le film manque d’épaisseur, de consistance, trop maigre, ni très gras, on va mettre une étoile Michelin pour pas dire que c’est nul, c’était drôlement chouette comme crédibilité de scénario.
La meuf est super forte, glamour comme star de cette intrigue, l’histoire.... on en reparlera, ça laisse à désirer...... Salt, Evelyn Salt she is....... torture accusation espionnage, ligne démarcation 36ème parallèle vestige guerre froide.
Menace sanction ONU célèbre essai nucléaire, la mère Russie Motherland président, tentative de coup d’état, d’assassinat sur sa personne, sécurité d’état hautement sensible en fiction américaine, une rivalité exacerbée de la Maison Blanche Pentagone NSA Pothus.
Tout le monde est potentiellement dans le collimateur, de l’action kamikaze sacrifice patriotique la paranoïa voit des traîtres partout, Liev Schreiber bilingue, dictionnaire anglais-russe, plus qu’à attendre l’issue de dingue tant de violence chez salé.
Le thriller à ne pas couper le souffle en hélicoptère peu de suspense, le collègue agent de liaison aérienne et terrestres, Chiwetel Ejiofor s’interroge, agacé apparemment, les terroristes neutralisés, K.O enfin mis sous les verrous ou échappée Jolie définitivement, plongeon en apnée, ne demandant autant.