Avis : The Girl Next Door - Page 4

Je ressors du film et je ne sais pas quoi dire. Ce film m'a poussé à faire des recherches sur les faits et à découvrir le livre qui a inspiré cette production, "une fille comme une autre" de JACK KETCHUM. J'ai été choqué, Scandalisé, outré... ce film est une gigantesque claque, la réalisation est soignée, les acteurs auraient mérités TOUS un prix. ne le regardez SURTOUT pas si vous avez un coeur fragile, non, oubliez-en même le titre. Par contre, à l'inverse, si vous êtes amateurs regardez le tout de suite si vous l'avez sous la main mais vous n'en ressortirez SUREMENT pas indemne !

Je suis presque honteux de mettre 4 étoiles car on ne peut pas dire que l'on n'aime voir une personne se faire torturer......Mais je les ai mis car pour un petit film avec des acteurs inconnus, des doublages catastrophique, je n'ai jamais autant ressenti une telle émotion........De la colère, de la tristesse, du dégout...........Tout y est passé.......Tiré librement d'une histoire vrai.......C'est choquant et pourtant j'ai regardé jusque la fin..........Et toujours la même réflexion " comment peut on faire souffrir une jeune fille et qui vient à dire pardon sur des choses qu'elle n'a pas faite " . L'autre film the american crime tiré de la même histoire est différent, moins choquant mais l'émotion reste........... Préférence pour the girl next door malgré tout...........

J'ai découvert ce film hier.... et sachant que c'est tiré d'une histoire vraie, je me demande toujours comment des personnes arrivent à de tels stades, où est l’Âme humaine ? quelquefois on a envie au cours du film de prendre cette pauvre fille afin de la tirer de là, en castagnant tout le reste...

Des questions me reste en suspend, spoiler: on sait qu'elle est sauvée mais.... que lui est il arrivé après (si c'est une histoire vraie) est ce que Daniel est resté en contact avec elle ? est ce que les autres garçons ont eu affaire à la justice ?


Il aurai été appréciable de faire à la fin un petit post film pour savoir le futur de ce qu'il s'est passé.

Malgré l'horreur, un très beau film qui montre ce que peut faire l'homme.

Éprouvant, terriblement malsain... et inspiré de faits réels. Durant l'heure et demie du film, je me suis demandé comment et pourquoi, confronté à la perversité d'une mère folle à lier et de son "talent" à entrainer ses enfants dans sa propre spirale de violence.
Parallèlement, la vision que nous donne le réalisateur des années 50 à travers les quelques regards sur la famille "normale" du narrateur est tout aussi dérangeante.
Un film choc!

J'ai adorée, et c'est cela qui m'a le plus dérangée, car c'est un film qui ouvre une porte sur les plus profondes angoisses de n'importe qu'elle femme, à savoir le viol et la séquestration.

Tout commence comme un voyage dans le temps au sein des années 50, dès le départ meme si je connais la critique de stephen king, je me laisse porter en oubliant ses mots, et me plonge dans une comparaison de notre société et la leur.

Et tout va très vite, comme un tour de manège, tellement vite que je suis prise de vertige, quand je réalise, que je suis enfermée avec eux, tour à tour, je me pose en victime, en voyeuse en tortionnaire et en impuissante.

C'est ce dernier rôle que je garderai jusqu'au générique.
A la fin du film je ne peux toujours pas répondre à cette question, à douze ans aurais-je fait quelque chose?
Je n'en ai pas la moindre idée.....

En tant que individu je sais où est ma place, l'incertitude.
En tant que cinéphile je sais que le réalisateur, à réussi une prouesse, me faire aimer un film violent, bestiale, immorale, une réalité dérangeante et insoutenable, car elle est tout autour de nous à chaque seconde à travers le monde.

Film écoeurant, d'une violence insoutenable qui m'a hanté plusieurs jours. Nous ne sommes pas mieux que ceux agissent en prenant plaisir à regarder des horreurs.
Si vous êtes saints d'esprit ne le regardez pas.

Un film très perturbant et tellement malsain sachant que c'est tiré d'une histoire vraie (et encore on ne nous a pas tout montré ; les faits véritables sont toujours pires que dans les films). Il laisse des ''séquelles'' des années et des années après sa vision (pour ma part). Ce genre de chose arrive en secret sans qu'on ne puisse rien y faire ; il est souvent trop tard. Tu assistes impuissant et sous des yeux voyeurs au calvaire de cette jeune fille. T'as envies de rentrer dans la télé et d'aller l'aider, c'est horrible (oui je sais ce n'est qu'un film mais quand même il joue pas mal sur nos nerfs).
Les enfants peuvent être aussi cruels que les adultes, c'est révoltant et pourtant c'est bien la réalité de ce qui se passe dans ce bas-monde. L'homme a deux visages ! Ce n'est pas nouveau.

La descente aux enfers d'une jeune fille placée chez sa tante qui la prend en grippe et lui fait subir tous les outrages possibles.Brulures de cigarettes ,viol par des ados etc...bon film.A voir.Kénavo.

Ouh là, c'est violent!!! Superbe mise en image d'une histoire s'inspirant de faits réels (qui font vraiment froid dans le dos!!!). La photographie est excellente et donne l'ambiance parfaite de ces années 50-60. A découvrir mais ayez le coeur bien accroché tout de même.

Le fait que ça soit un direct to DVD me semble un peu dur. Le film est quand même pas mauvais. Bon, je pense qu'en gros le mec a un peu foiré son truc qui l'a dépassé. Le sujet est tellement énorme qu'il a pas su trop quoi en faire. Enfin, foiré c'est un peu méchant car il arrive quand même à installer une ambiance génante et oppressante, mais le film manque d'idées de mise en scène pour vraiment donner plus de cinéma là dedans. Là, je trouve que le réalisateur se repose beaucoup sur le scénario (absolument horrible, ça lui permet de créer notamment l'ambiance je pense), mais je pense que le film aurait pu être d'un autre calibre avec des réalisateurs plus expérimentés, enfin du moins plus doués. Voilà, du coup le film est sorti en direct to dvd alors qu'avec un autre mec derrière la caméra il aurait eu plus d'échos je pense.

Un film qui raconte la même histoire abominable qu'"An american crime". L'ayant vu en 2ème, connaissant donc l'histoire, cela fausse un peu le jugement. Mais celui-ci montre parfaitement comment les gens peuvent être abjects dès qu'ils sont en groupe, et comme l'autre film, le dénonce parfaitement.
Mais j'ai tout de même "préféré" "An american crime", qui paraissait entre plus enfermant, sans sortie que celui-ci. Histoire terrible en tous cas... ça fait froid dans le dos.

Bien sûr, ce film à un côté téléfilm de stephen king, surtout les 15 premières minutes. Pourtant il m'a bcp marqué, car l'histoire est bien réelle. Il n'y a pas d'exagération sur les faits. L'horreur intervient dans le quotidien. Pas besoin de vampires ou de loups-garous. La tragédie vécue par Sylvie Likens méritait d'être portée à l'écran. Le livre de Jack Ketchum, dont le film est tiré, est à lire de toute urgence. C'est un ouvrage choc, un must.

Mais qu'est ce que c'est que ce film ???? Fort heureusement le tournage 100% téléfillm désamorce un peu la violence psychologique et physique de "the girl next door" tout comme la musique bucolique totalement à côté de la plaque.... dans les années 50, 2 soeurs sont recueillies (hélas pour elles) par une tante d'un sadisme sans limite, sadisme qu'elle va exercer avec les enfants des environs en particulier sur la soeur ainée. Si la mise en scène avait été plus aboutie, froide et réaliste je pense que ça aurait été à la limite du regardable. Si c'est pour nous donner une idée de jusqu'ou peut aller l'etre humain, on savait.... 3.5 / 5 quand même pour l'originalité et le caractère sans concession du propos

L'ambiance et l'histoire sont malsains, les acteurs jouent bien, spoiler: mais pourquoi David mets autant de temps a réagir? Franchement ça m'a énervé! Il a quel age ? 10 ans au moins, a cette âge on a conscience du bien et du mal.
. Un film a découvrir même si'il est parfois limite. C'est le genre de choses qui arrivent et c'est bien de les dénoncer.

Dans les années 60 dans une banlieue paisible, deux sœurs sont placées chez leur tante suite au décès de leurs parents. Elles vont rapidement devenir les souffre-douleurs et endurer les pires sévices…

A ne pas confondre avec le teen-movie éponyme (et inoffensif) de Luke Greenfield sorti 3ans plus tôt, The Girl Next Door (2007) de Gregory Wilson est adapté du roman à controverses de Jack Ketchum "Une fille comme les autres" (publié en 1989). Interdit aux moins de 18ans dans de nombreux pays, ce DTV reste interdit aux moins de 16ans dans l’hexagone et pour cause, ce film relate un effroyable fait divers ayant réellement existé et où il est question de séquestration, de menace, de mutilation, de sadisme, de torture, de viol, d’inceste, de nudité et autres « joyeusetés ».

Le film ne fait que parcourir cette histoire vraie, contrairement à An American Crime (2007) de Tommy O'Haver avec Ellen Page et sorti 6 mois plus tôt. Contrairement à la précédente adaptation, le film de Gregory Wilson ne s’intéresse pas à la psychologie des personnages (Sylvia Likens, décédée à l’âge de 16ans suites aux nombreuses tortures dont elle a été victime et encore moins à Gertrude Baniszewski, la tante).

Avec ses allures de téléfilm, Gregory Wilson fait le choix d’adapter ce fait divers au détriment d’une reconstitution et ne lésinera pas sur les effets dans le seul et unique but de choquer ses spectateurs (bien que les scènes de sévices soient suggérées plutôt que montrées frontalement). Sachant que les bourreaux sont tous mineurs, il ne pouvait bien évidemment pas mettre en scène des séquences de viols et de tortures perpétrés par des ados. Les séquences n’en restent pas moins perturbantes, d’autant plus quand ces dernières sont commises par des personnes aussi jeunes.

Le film est relativement long à se mettre en place et ne cherche pas à sonder l’âme des tortionnaires et encore moins à s’intéresser à la frêle victime, c’est un parti pris (celui qu’à fait la précédente adaptation). Le film mettant en scène des actes de tortures et à caractères sexuels impliquant des enfants, il va de soi que ce film n’est pas à mettre en toutes les mains (sa classification le justifie).

(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2022)

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