Le plus percutant, saisissant et psychologique détournant de l'esprit humain, un nouveau chapitre totalement barrer pensé tel une fête foraine ou les nouveaux pièges d'une imagination, férocité et morale sont clairement les mieux pensés à ce jour, une double particularité qui cette fois fat plaisir, on profite enfin pleinement des visuels d'horreur comme il ne l'étaient pas encore depuis le début.
Un récit d'horreur oui, mais une morale humaine sur l'arrogance des riches face aux plus pauvres, comment décider qui s'en sortir, déterminer les "meilleurs" profiles et découvrir au grand jour les vrais comportements de chacun. Peter Outerbridge dont le récit lui est entièrement consacrer, voit son passé peu à peu dévoiler et se confronte à ses démons ou plutôt des démons qu'ils à fait naître. Un récit plus psychologique que jamais dans lesquels les victimes (collègues & anciens clients d'Easton) sont mis à l'épreuve, l'épreuve du choix par ce dernier ou vérités et mensonges s'entrechoc pour leur survie commune. Un jeu machiavélique qui fait réfléchir sur le type de choix qu'on fait au long de sa vie, la manière de procéder mais surtout, l'entourage que l'on se créer. La fin officielle ou presque pour la seconde grande intrigue depuis le 4, une conclusion parfaite depuis le premier ou pour la première fois, on comprend, je comprend réellement le pourquoi du comment on nomme Kramer "le tueur au puzzle". Quant à la scène Costas Mandylor (Hoffman), Athena Karkanis (Perez) & Mark Rolston (Erikson), elle est celle faisant évidement tous basculer pour devenir le point d'orgue parfait. Un montage visuel et sonore impeccable. Un récit doublement parfait, visuellement haut de gamme avec toute la psychologie monstre et inversée possible, un final un poil à revoir car, revenant à la complexité, encore et toujours, du 4 mais qui n'empêche pas la parfaite osmose des séquences.
Assurément les scènes les mieux pensées, le meilleur volet à ce stade pour qu'assurément, le prochain nommé "Chapitre final", soit une apothéose, du moins, je l'espère.