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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 mars 2012
Un titre et un sous titre racoleurs pour un documentaire sur le planning familial sans grand intérêt, avec des cas un peu grossiers et une pléiade d'acteurs dont on se demande ce qu'ils foutent là (Béatrice Dale en conseillère, on a du mal à y croire). Bref, ennuyeux !
"Les Bureaux de Dieu" n'est ni un film, ni un documentaire, du coup on s'ennuie vite en le regardant. D'ailleurs, je ne pense pas que le film sera vu par le publique qui en aurait le plus besoin.
"Tiens, un film sur le planning familial".C'est ce qu'on se dit en voyant l'affiche du film.Puis, on remarque des noms connus: Nathalie Baye,Isabelle Carré,Béatrice Dalle,Michel Boujenah,Nicole Garcia.Puis, on regarde le film.Et puis on pense.Beaucoup.Aux acteurs.A Nathalie Baye et Michel Boujenah, surtout.Et, plus le film avance, plus une question revient, à propos de ces deux très bons acteurs: "Mais que Diable allaient-ils faire dans cette galère?" Le film,semblant de documentaire,est en fait un assortiment d'intox,d'acteurs pour la plupart perdus,même si les deux cités plus haut tentent de sauver les meubles, et, surtout,de propagande raciste anti Musulmane,qui vise à plonger le spectateur dans la haine populaire. Ce "nanard",comme on dit,n'est PAS un documentaire,et déçoit d'un bout à l'autre.A oublier.
Rien de cinématographique dans ce film de docu-fiction... Son exécrable et musique inadéquate autant dans le choix qu'à sa place. Le montage est trop découpé on dirait une suite de scénettes. Intéressant dans l'idée et dans le fond on s'aperçoit vite que ce film n'est pas indispensables car c'est beaucoup trop survolé (mettre une capote par exemple, cette scène ne va pas au bout), il s'agit avant tout d'une accumulation de témoignages. Les actrices sont elles, investies et toutes superbes de justesse mais ce n'est pas suffisant pour le grand écran. A la rigueur c'est un film pédagogique pour le collège et les lycées , pour une diffusion sur F3 et/ou Arte mais ce film n'a absolument rien à voir avec le cinéma.
Probablement ai-je regardé ce faux-documentaire avec de mauvaises intentions.J'ai été attiré par l'idée de voir de grandes actrices au naturel,sans fard,dans des rôles où il ne faut pas jouer mais être,tout simplement.De ce point de vue,Nathalie Baye,Nicole Garcia,Isabelle Carré,Béatrice Dalle et d'autres reviennent à la source de leur métier,et apparaissent plus humaines que jamais.Ce sont des conseillères du Planning familial,un métier qui s'apparente avant-tout à de la psychanalyse de proximité.Des lieux trop souvent méconnus des jeunes filles,qui ne savent pas comment aborder le sujet de la sexualité avec leurs parents,ou comment réagir en cas de grossesse.On y parle IVG,stérilet,préservatifs,pilule et des différents moyens de contraception."Les bureaux de Dieu" a une double fonction:informer les jeunes femmes,et interpeller les hommes sur un sujet qui ne les concerne qu'indirectement.Honorable tâche.Mais il n'est pas un film.Plus un reportage,qui de plus,comporte de nombreuses longueurs,de redites.Et plus grave,au final,on n'y apprend pas grand chose.Complètement passé à côté.
Le film ne touche que le public féminin,il ressemble à une leçon sur la sexualité qui est du vue et du revue et ne parle à aucun moment du film des violences conjugale et physique.
Un film vide, sans histoire ni intérêt, il suffit de regarder un reportage sur un planning familial à la télé... Je suis parti au bout d'une heure de la salle, ça ne m'était pas arrivé depuis très longtemps ! Malgré une bonne interprétation et une mise en scène stylée, ce film n'a pas de fond, ni de caractère pour arriver à capter l'attention...
Déception ! Un sujet pétillant et une brochette d’actrices superbes qui pourtant n’ont pas sauvé ce film ennuyant et sans grand intérêt. On sent bien le style du documentaire mais sans pour autant apprendre, ni découvrir quoi que ce soit ! Les scènes sont très réalistes mais sans cohérence et ne procure aucun plaisir à les regarder : ni drôle, ni d’une originalité quelconque. De plus, la séquence avec la prostituée bulgare n’a particulièrement surpris : la seule qui précise sa nationalité et son nom ! Etant de la même ville en Bulgarie et vivant en France depuis 10 ans, vous pouvez imaginer mon étonnement d’entendre un exemple si lamentable s’un pays que les français connaissent à peine. Si encore c’était un documentaire, j’aurai compris ! Bref, malgré les bonnes critiques dans la presse, je suis sortie du cinéma vide!
Les Bureaux de Dieu ou comment réaliser LE film de la contre-exception. En effet, le long métrage de Claire Simon manque cruellement d'originalité : même si le postulat de départ fut rarement ( voire jamais ) exploité au cinéma - comment appréhender la contraception tout en la conciliant avec sa vie sexuelle -, le film bascule très vite dans la pleurnicherie et le pathos ( même l'atmosphère d'une rame de métro en début de semaine est moins déprimante ). En outre, c'est un film totalement dénué d'intérêt, puisque la réalisatrice adopte une approche documentaire qui n'est pas sans rappeler celle des témoignages de Ca se Discute, émission dans laquelle des invités exhibent leurs tracas quotidiens face à un présentateur ridiculement impuissant : dans Les Bureaux de Dieu, on a droit à un long bavardage totalement stérile ( pour ne pas dire Sterilex ! ) doublé d'une structure narrative répétitive ( on ne compte pas moins de quatre scènes reprenant une expérience sexuelle similaire ). Et puis c'est très platement filmé... Un navet fadasse qui n'apporte rien et qui se réduit à des témoignages inintéressants. Bref, la quintessence de la monotonie. Je préfère encore m'emmerder dans une salle d'attente...
Voila très longtemps que je n'étais pas sorti de la salle avant la fin d'un film ! Nous étions trois et si nous avons tenu 1h, c'est parce que nous n'osions pas reconnaitre notre mauvais choix. Ni un film, ni un documentaire. Quel est l'intérêt ? le message ? Aucun plaisir. Nul, nul et nul.
Sueurs froides, nausées, hauts le coeur...Voilà encore un film réalisé avec les pieds donc le syndrome Graine et mulet et Cloverfield a encore frappé ! Résultat sortie de salle au bout de 30 minutes ! Dommage le sujet me plaisait et je me faisait une joie de voir toutes ses grandes actrices dont Marie Laforêt trop rare sur les écrans. J'attendrai le passage télé...
La vague du cinéma ficto-documentaire a encore frappée. S'affranchissant du vrai et du faux, du récité à l'improvisation, du travail formel à l'expression libre, "Les bureaux de Dieu" fait partie de cette nouvelle mode de cinéma dont je ne cacherai pas une légère part d'incompréhension. Adaptant le même concept qu' "Entre les murs" (que j'ai décidé de citer pour rester dans l'actualité et dans la polémique), soit un réservoir de séquences communes liées les unes aux autres sans réel crescendo dramaturgique (car l'effet et le but est ailleurs), "Les bureaux de Dieu" pénètre dans l'antichambre de la sexualité féminine. Ici, l'action se déroule dans un centre du Planning familial, où la caméra va se mettre à l'écoute des conseillères et des patientes, à travers un flot de paroles échangées, parfois poétiques, parfois crues, dérangeantes ou irrésistibles. C'est là que le film de Claire Simon rejoint celui de Cantet ; dans sa manière d'aborder, ici dans le cadre de séances quand l'autre s'immiscait dans des cours, l'approche de la langue, du dialogue, de l'échange. Du partage d'un savoir et d'une transmission éducative ou informative. Sauf que, là encore, la faute à un procédé monotone et d'une personnalité relative, "Les bureaux de Dieu" est fictionnellement et documentairement inintéressant, ainsi sa démarche n'aboutit à rien d'autre qu'une distance inconfortable et à la sensation d'un film radiophonique dans lequel l'on ne pourrait rien faire d'autre que d'écouter quelques joutes verbales se débattre dans une situation aussi pleine qu'elle en devient vide, aussi passionnante qu'elle en devient pénible et interminable. A seule condition d'être un(e) adolescent(e) dénué(e) de connaissances sur le sujet, auquel cas le film étudiera quelques questions essentielles pour y apporter une réponse souvent limpide à travers un procédé éducatif sur la sexualité, ce docu-menteur apportera une once d'interêt à la personne concernée. Pour les autres, le minimalisme abstrait de la co