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Alexandre T.
8 critiques
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5,0
Publiée le 29 mars 2017
En une phrase que m'a appris ce film et qui me sauve la vie tous les jours ? Quelque soit les chemins que l'on emprunte, ils sont tous bon, cela dépend juste de nos objectifs dans la vie. Ce film est la définition de la Tolérance, il me l'a appris de A jusqu'à Z.
une demi étoile pour remercier le réalisateur de m'avoir permis de faire la plus fabuleuse sieste de ma vie au cinéma, c la que je me remerci d'avoir pris une carte d'abonnement au moins c sans regret quand on tombe sur de tel navets, bien sur ensencé par la critique, c vrai qu'il fo avoir l'esprit tordu comme c pseudo intellectuels pour pouvoir apprécier. c mou mal joué ca part dans tous les sens aucun fil conducteur scenario completement loufoque on s'ennui du debut a la fin .
Mais pourquoi je suis allé voir ce film ? Pourquoi ???!! Mal de tête pendant deux jours, je me suis presque endormi pendant la séance. Alors je ne dis pas que le sujet n’est pas intéressant, au contraire. Mais il a déjà été traité par d’autres et de bien meilleures façons. Ca finit par ne plus trop tenir la route, on ne voit pas vraiment à quoi servent certains passages, bref si y’a bien un film pour lequel j’étais sur le point de quitter la séance, c’est bien celui là.
C’est devenu une blague entre nous d’ailleurs. Genre, un niveau d’incompréhension et d’ennui à ne pas dépasser, « fais gaffe, tu nobodises ! ».
Une petite demi étoile pour le thème qui me plait toujours …
Un beau film prenant du début à la fin, c'est très bien réalisé avec des plans superbes et une BO magnifique. Le scénario est bon il faut réfléchir pour ne pas être perdu c'est peut être un peu trop long mais ça ne m'a pas gêné. Les acteurs sont tous très bons.
Un film très très étonnant mais qui possède un force d'émotion intense. Une phrase laconique résume le film et lui confère une aura qui dépasse son traitement: "quelque soit le chemin que l'on suit, c'est toujours celui-là qui est le bon"
Entre Amélie Poulain et Benjamin Button, ce conte moderne qui évoque les choix et les hasards de la vie fait rêver et réfléchir le spectateur. L'aventure est longue (plus de deux heures) mais elle veut le coup. (Bien)
Le réalisateur Belge du " 8 éme jour " à mon avis que ce soit le travaille en amont avant le tournage ou pendant les 6 mois de tournage à certainement fumer au minimum une tonne de " moquette Belge " pas possible . Ce film dramatique mélangeant la science -fiction , le fantastique , sur un scénario complexe, intéressant et entraînant. La réalisation et la mise en scène sont maîtrisées mais il m'a fallut resté très concentré pour ne pas m'y perdre. Parlons en de la réalisation , Jaco nous sort toute la panoplie de tout les déplacements de caméras possible et même inventif . Un montage de toute beauté , et au même titre que les maquillages , effets spéciaux, visuelles c 'est à ce point vu géant . le tout sur une sublime BO très varié
Les gens sortaient de la salle un par un.. Et pour cause, ce film (qui a dû coûter une belle somme) et complètement chiant.. Comment peut-on écrire ça, et surtout comment peux-tu produire ce genre de daube ? Et je vous parle pas du vieux qui a 118 ans et qu'on a envie de frapper chaque fois qu'il intervient !
Après un premier visionnage frustrant car tout bonnement incompréhensible, la remise en ordre des pièces de cet étrange puzzle cinématographique est prétexte à une vaste interrogation sur la question du partage entre le choix et le destin. Dans un souci évident de fuir les voies étriquées de la narration conventionnelle pour y mettre à plat sa démonstration philosophique, Jaco van Dormael, peut-être trop ambitieux, préfère nous perdre dans son montage surréaliste et un scénario délaissant les personnages secondaires, pourtant très liés à l'acheminement intellectuel du principal, au point de faire perdre sa force émotionnelle à cette grande aventure humaine. Mr Nobody n’en reste pas moins un objet stylistique plein de poésie portée par une esthétique inoubliable et une bande originale intemporelle.
Bashé dans tous les sens par la critique "Presse" du cinéma. "Mr. Nobody" de Jaco Van Dormael n'en est pourtant pas moins une vraie réussite. Il est vrai que le scénario a été quand même un peu tiré dans tous les sens pour masquer une évidente facilité narrative. En soit, ce n'est qu'un enfant qui rêve et imagine sa vie avec toutes les conséquences et imaginables possible autour de l'amour. Du coup, pour faire bien compliqué, le film part dans un puzzle sans fin et des longueurs rebutantes à travers des métaphores et interrogations sur le choix. Le problème, c'est que la question du choix s'apporte à peu près à chaque évènement, ce qui est un peu trop facile. Du coup, ça donne en apparence un film compliqué, qui après deux visionnages, ne fait pas de doutes sur les intentions du réalisateur.
L'ambition de ce film a cependant été largement atteinte, avec un univers très coloré, esthétisé et d'une bande-son très bien choisie. Sa réalisation est d'une propreté inégalable et c'est assez dommage que les critiques ne lui ont pas au moins attribuer ce mérite là, car sur ce point, il a tout du très grand film.
Le jeu des acteurs est plutôt bon, j'ai beaucoup apprécié la prestation de Sarah Polley, assez déroutante. Linh Dan Pham, sans lui faire offense n'a pas été très utile mais seulement pour faire office de progression à l'histoire. De même pour Diane Kruger, que j'apprécie pourtant mais qui n'a pas été sauvé par le rôle proposé et ne renouvelle pas grand chose. Jared Leto, lui réussit son pari mais n'atteint pas le niveau de ses précédentes sorties notamment dans Requiem For A Dream, Panic Room ou encore Fight Club (second rôle seulement)
Tout simplement sublime, on passe par une multitude d'émotion en quelques minutes, une véritable réussite visuelle, avec des acteurs vraiment talentueux. Seul bémol à ce magnifique film, son scénario un peu labyrinthique qui nous parfois perdre le fil. Mais aussi non, un grand bravo !